Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 25-01-2011 19:00

Ali Bongo à Tchibanga: « l’absence d’électricité ne sera plus qu’un mauvais souvenir »


 A son arrivée à Tchibanga, chef-lieu de la province de la Nyanga (sud) dans le cadre d’un séjour de quatre jours, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, répondant aux allocutions du maire de la ville, Jérôme Kwenzi Mikala et du député Beni Ngouah Mbina, a reconnu que la province exprime de réelles attentes en matière de réseau routier, d’électrification, d’éducation, entre autres.

L’intervention du numéro un gabonais entre dans le cadre du Conseil des ministres délocalisés, le troisième du genre, après Port-Gentil, Oyem, qui a lieu cette fois à Tchibanga et de la visite des différentes localités du pays pour s’imprégner, de près, des conditions de vie de la population.

Ici comme dans les deux précédentes villes, Ali Bongo a reconnu la pléthore de problèmes à résoudre et a promis d’y remédier.

« J’ai pleinement conscience des difficultés qui sont les vôtres et j’ai parfaitement connaissance de vos attentes en matière de réseau routier, d’électrification ou de développement agropastoral, ainsi que de décentralisation de l’Etat. Vous savez, la place qu’occupe la route en particulier et toutes les autres infrastructures en général », a déclaré le président Ali Bongo Ondimba.

Dès lors, le chef de l’Etat a précisé que « c’est autour de ces projets d’infrastructures et des équipements structurant que nous bâtiront le pays dit émergent que nous appelons de tous nos vœux ». 

Il s’est ainsi engagé à œuvrer sans relâche à la satisfaction des infrastructures et d’équipements collectifs.

C’est à titre qu’il a relevé que « bientôt l’absence d’électricité ne sera plus qu’un mauvais souvenir pour les habitants de Tchibanga et de la Nyanga ».

En attendant le Conseil des ministres qui devrait annoncer de grandes décisions, l’on observe  que cette délocalisation permet au numéro un gabonais et au gouvernement de la République de se rapprocher des populations et d’être à l’écoute des maux qui minent leur existence aux fins d’apporter des solutions progressives, mais adéquates.

 


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le 25-01-2011 00:03

99% DE DÉPUTÉS PDG A L’ASSEMBLÉE NATIONALE GABONAISE AUX PROCHAINES ELECTIONS

PDG OYEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!

OBJECTIF
 : 99% DE DÉPUTÉS PDG(Parti Démocratique Gabonais) A L’ASSEMBLÉE NATIONALE. 


Dans le cadre de la tournée d’information et d’échanges qu’elle a entreprise depuis plus de deux semaines à travers les différentes structures de base du Parti, la caravane des membres du Bureau politique de l’Estuaire, emmenée par le membre du Comité de concertation, Paul Biyoghé Mba a été l’hôte des 1ers, 2ème, 3ème arrondissement de Libreville et la Commune d’Owendo.


La caravane, conduite par le Premier Ministre, Paul Biyoghé Mba en sa double qualité de vice-président du PDG et membre du Comité permanent a été accueillie par le membre du Bureau politique, Alexandre Barro Chambrier, la délégation composée des hiérarques du PDG de la province de l’Estuaire a, après avoir pris un inoubliable bain de foule des militants presqu’électrisés de recevoir les plus hautes personnalités de leur formation politique, repris en chœur, l’hymne du Parti.


Tour à tour, les militants des quatre fédérations qui composent cet arrondissement ont exprimé leurs préoccupations au chef du Gouvernement qui de surcroît, est aussi le chef de la délégation des membres du Bureau politique de l’Estuaire.


Lors de l’adresse du camarade Alexandre Barro Chambrier, il ressort que cet arrondissement qui n’a jamais failli à son ancrage au Parti démocratique gabonais éprouve un énorme besoin de formation des militants de base afin que chacun s’approprie la nouvelle vision du PDG. Il en est de même de la prise en compte des conditions de vie des populations.



Cet appel du membre du Bureau politique vise non seulement à redonner confiance aux militants du Parti, mais, également à faire fléchir les indécis qui n’auront d’autres choix que le PDG lors des prochaines consultations.



Pour ABC, comme on l’appelle affectueusement, il s’agit ici de présenter la vraie vision du Parti face aux enjeux qui se profilent à l’horizon.

Paul Biyoghé Mba, après avoir présenté la délégation qui l’accompagne, s’est soumis à la phase des questions/réponses avec les militants voulant savoir un peu plus sur les tenants et les aboutissants de l’action de leur formation politique.


Il ressort de cet échange que les préoccupations des populations et des jeunes en particulier, sont les mêmes partout.

Ils sont ainsi confrontés au problème du chômage, de l’insécurité dans les quartiers, l’insalubrité, et au sein des organes de base du Parti, le manque de formation et d’information.


Sur le plan général, les populations venues écouter le chef de délégation et qui sont aussi concernées par ces maux ont exprimé, par le canal des représentants du Parti, des doléances à l’endroit de l’exécutif.


Il s’agit entre autres du manque des aires de jeux pour les jeunes, le manque d’équipement et de dotation en produits pour ce qui concerne les structures de santé présentes dans cet arrondissement, le sempiternel problème de voies de circulation, la voirie, l’insalubrité et le phénomène des filles-mères en quête de formation pour une éventuelle insertion dans la société, à défaut de se prendre en charge par l’octroie des petits crédits.


Après avoir suivi avec un intérêt particulier les différentes interventions, les membres de la délégation ont chacun sur le domaine qui est le sien, répondu aux interrogations des militants.

Sur le plan des emplois et de la formation des jeunes, le camarade secrétaire national en charge des jeunes, Axel Jesson Ayenoue a donné des éclaircissements quant à la vie des jeunes au sein du PDG.

Il leur a demandé de toujours se rapprocher des instances dirigeantes afin d’avoir la bonne information.


Le membre du Secrétariat Exécutif a demandé à ses jeunes camarades d’avoir un moral de vainqueur et de battant afin de mériter la confiance du Distingué Camarade, Président du Parti.

Evoquant l’opération en cours en vue du recrutement de 3000 jeunes pour la profession de conducteur de taxi, Axel Jesson Ayenoue les as invités à se rapprocher de leurs responsables locaux du Parti afin d’être en contact avec l’organe décisionnaire.

Pour André Dieudonné Berre, membre de l’illustre délégation, la formation étant à la base de toute réussite, il ne saurait être autrement si les jeunes du PDG veulent s’exercer aux métiers des mines et du bois en cours de développement au Gabon.

Même son de cloche pour Paul Biyoghé Mba qui a dit avoir compris et mesuré la forte demande sociale qui lui est faite.


Il a admis que, en dépit des efforts déjà consentis par les pouvoirs publics, beaucoup restait à faire et il a sollicité l’implication de tous pour mener des actions concertées.

Sur un tout autre plan, le Premier ministre a solennellement appelé les militants du 4è arrondissement à un sursaut d’orgueil face aux prochaines consultations et ce, malgré le fait que cette circonscription, n’ait jamais failli à sa réputation de bastion du parti au pouvoir.


La rencontre entre la délégation des membres du Bureau politique de l’Estuaire et le 4è arrondissement s’est terminée avec la promesse pour les militants, de s’investir davantage dans l’enracinement du PDG sur l’ensemble de la circonscription et inciter les indécis à venir se joindre au train de l’émergence qui n’attendra pas éternellement les retardataires.

PDG OYEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!

 


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le 24-01-2011 23:56

Le Gabon et Sao Tomé font l’évaluation de leur feuille de route économique

Le Premier ministre gabonais Paul Biyoghé Mba et son homologue santoméen, Emery Patrice Trovoada, ont examiné, lundi à Libreville, la feuille de route établie par le président gabonais Ali Bongo Ondimba, pour redynamiser la coopération économique entre les deux pays.
 

‘’Je suis de passage à Libreville, c’est l’occasion pour moi de discuter avec le Premier ministre gabonais des dossiers que nous avons en cours’’, a déclaré M. Trovoada.

‘’A l’initiative du président Ali Bongo Ondimba, nous avons mis en place, il y a maintenant presque six mois, une feuille de route qui s’articule autour des projets structurants touchant les entreprises du secteur privé, ainsi que les domaines du transport et financier’’, a-t-il expliqué.

‘’Entre temps, nous avons eu la visite des entreprises qui opèrent au Gabon. Nous envisageons dans un avenir proche, leur installation à Sao Tomé’’, a poursuivi le chef du gouvernement santoméen.

Le Gabon et Sao Tomé entretiennent des relations politiques de bonnes références. Les deux pays ont signé quatorze accords dans les domaines importants que sont l’Agriculture, le Tourisme, le Transport aérien, la Marine marchande et la Santé.

Les deux pays ont déjà réuni à cinq reprises les assises leur grande commission mixte de coopération. La dernière remonte à mars 2004.

L’économie de Sao Tomé repose pour l’essentiel sur le cacao et le tourisme. Le pays dispose aussi d’immenses ressources pétrolières non encore exploitées.

 


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le 24-01-2011 23:48

Bons résultats économiques en 2010 au Gabon

La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est vous livre une synthèse du rapport annuel du cabinet 

consulting Oxford Business Group 

 

de l’année 2010 du Gabon.

 

Economie, industrie, ressources naturelles et bien d’autres thématiques y sont abordées pour mieux comprendre l’essor du Gabon Émergent vue par le Chef de l'Etat Son Excellence Ali Bongo Ondimba et mis en pratique par le gouvernement en tête desquelles son Premier Ministre Paul Biyoghe Mba.

 

 

 

 

 

 

 

 

  

« Le Gabon a connu de bons résultats économiques en 2010 dans le cadre du nouveau plan économique national « Gabon émergent ». Les évaluations actuelles du Fonds monétaire international (FMI) estiment la croissance du produit intérieur brut (PIB) du pays pour 2010 à environ 4.5% et la croissance du PIB excluant le pétrole à 5.7%, et ce, grâce à une hausse des investissements publics et à une reprise de l’exploitation minière.

 

 

 

 

 

 

 

Ce sont de très bonnes nouvelles, dans la mesure où le Gabon sort d’une année difficile, pendant laquelle le PIB a décru de 1.4%, selon certaines évaluations. En effet, en 2009, aux incidences de la crise économique mondiale et à la baisse des recettes pétrolières qui s’en suivirent, s’est ajouté le décès du président Omar Bongo Ondimba en juin. Cependant, le retour de la stabilité politique grâce à l’élection du président Ali Bongo Ondimba haut la main a permis aux entreprises de sortir du statu quo et, jusque-là,la croissance économique semble prometteuse. 

                                       

La stratégie « Gabon émergent » du gouvernement vise à maximiser l’exploitation des riches ressources naturelles du pays tout en soutenant des pratiques qui respectent l’environnement et en créant un contexte plus favorable au commerce. Grâce à la diversification des activités visant à réduire la dépendance à l’égard des recettes découlant de la production du pétrole et du gaz, les autorités espèrent engendrer une stabilité et une croissance économiques à long terme, de façon à assurer au Gabon une place parmi les économies émergentes.

Le programme est basé sur trois piliers : « Gabon industriel », « Gabon vert » et « Gabon des services ». Le progrès dépendra largement du développement de l’industrie minière, mais également d’activités de transformation à valeur ajoutée dans le secteur forestier et d’investissements publics dans l’infrastructure. L’attention particulière accordée à tout ce qui ne touche pas au domaine pétrolier a porté ses fruits en 2010, puisque le FMI évalue la croissance du PIB excluant le pétrole à 5.4% pour 2011, alors que l’on s’attendait à une croissance totale du PIB de 5%.

   

 

 

 

On considère les activités à valeur ajoutée de sylviculture comme un secteur privilégié de la croissance. En effet, les exportations de bois d’œuvre ont été interdites en janvier 2010 et un fonds de 20 milliards de francs CFA (30.49 millions d’euros) a été mis en place afin de stimuler le développement des activités de transformation du bois d’œuvre à l’échelle locale, notamment par le biais d’incitations fiscales pour les entreprises qui investiront dans l’industrie entre 2010 et 2013.


La zone économique spéciale de Nkok, créée en juillet 2010, devrait être fonctionnelle en mars 2011 et devenir un centre de transformation du bois d’œuvre majeur. Cette zone industrielle, qui s’étend sur 1 146 ha, sera la première dans son genre en Afrique centrale et de l’Ouest et aura la capacité de transformer un million de mètres cube de bois d’œuvre par année.

Au total, 150 millions d’euros d’investissement seront nécessaires pour ce projet, qui créerait 9 000 emplois d’ici 2013. On s’attend à ce que la zone économique spéciale aide à surmonter nombre d’obstacles auxquels est confronté le secteur actuellement, dans la mesure où un programme de formation en sylviculture sera élaboré et que des incitations fiscales seront offertes aux entreprises travaillant dans la zone. En effet, on a annoncé que celles-ci seront exemptées de la taxe sur la valeur ajoutée pendant 25 ans et des impôts sur le revenu au cours des 10 premières années.


Les nouveaux investissements dans l’industrie minière mettent en lumière un autre secteur au potentiel de croissance important. En effet, l’extraction de manganèse demeure la première activité minière du Gabon, qui détient, selon les estimations, environ un quart des réserves mondiales. Après une année difficile en 2009, due à la récession économique mondiale, les rendements de l’industrie recommencent à augmenter. La plus grande entreprise minière d’exploitation de manganèse, Comilog (Compagnie minière de l’Ogooué), une filiale de la société française Eramet, a été déclarée comme ayant les revenus les plus élevés du Gabon à la fin 2010 : 898 milliards de francs CFA (1.36 milliard d’euros) de recettes entre janvier et septembre 2010.

Cette société, qu’Eramet et l’Etat gabonais possèdent conjointement (à raison respectivement de 67.25% et 25.4%), a financé, à Moanda (dans la province du Haut-Ogooué où elle mène ses activités d’extraction de manganèse), la construction d’un nouvel aéroport. Inauguré en décembre 2010, il permettra d’assurer le transport de ses produits.

Le Gabon fait également le nécessaire pour développer ses riches gisements de minerai de fer, jusque-là largement inexploités. En effet, on estime que le site de Belinga, à lui tout seul, contiendrait un milliard de tonnes de minerai, dont 64% de pur minerai. Le travail dans les mines de Belinga est toutefois suspendu depuis 2006 à cause de longues négociations avec la China National Machinery & Equipment (CMEC) concernant la structure du projet et ses effets sur l’environnement. Une proposition effectuée par le Gabon a été soumise en 2010 et est actuellement examinée par le consortium, selon la CMEC.

La situation mondiale du minerai de fer s’améliore de façon continue depuis plusieurs trimestres. La société australienne Resource Council Research (RCR) prévoit, d’une part, une augmentation de 7.7% dans les prix contractuels du minerai de fer au cours du premier trimestre et, d’autre part, la stabilité du marché mondial. Le facteur le plus important dans le redressement après la crise financière, selon la RCR, est l’urbanisation continue de la Chine et de l’Inde, qui devrait continuer à créer une demande pour la production mondiale de minerai de fer et d’acier.

Etant donné que l’industrie pétrolière demeure le plus grand contributeur au PIB du Gabon, une baisse de la demande mondiale depuis quelques années a eu un effet considérable sur le pays. En effet, la raffinerie nationale, la Société gabonaise de raffinage (SOGARA), a connu des pertes de l’ordre de 33 milliards de francs CFA (501.6 millions d’euros) en 2009, 17.5 milliards de francs CFA (266 millions d’euros) en 2008, et 12 milliards de francs CFA (18.2 millions d’euros) en 2007, selon le directeur général de la SOGARA, Pierre Reteno Ndiaye.

Une délégation provenant du géant américain Bechtel a visité la SOGARA en novembre 2010 en tant que consultant technique pour l’industrie du pétrole et du gaz. On espère que ce partenariat ravivera la SOGARA, améliorera ses capacités et augmentera les possibilités d’investissements. »

 Un bilan extrêmement positif qui prouve encore à ceux qui sont dépourvus d'une intelligence et d'une rationalité raisonnables que le" Train de l’Émergence" mis en marche par le Chef de l'Etat le 16 Octobre 2010 ne fut pas une utopie mais une réalité qui se manifeste de jours en jours et cela assure notre Parti (PDG) de victoires absolues lors des prochaines échéances électorales de 2011 (législatives), 2012 (sénatoriales) et 2016 (présidentielles) avec pour cette dernière une confirmation du peuple gabonais de sa confiance au Président de la République Gabonaise Son Excellence Ali Bongo Ondimba pour un second mandat .    

                    

 


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