Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 03-03-2013 14:45

Communiqué final du Conseil des Ministres du 28 février 2013

Sous la Haute Présidence de SE Ali BONGO ONDIMBAPrésident de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des ministres s’est tenu, ce Jeudi 28 Février 2013 à 11 heures, dans la salle habituelle au Palais de la Présidence de la République.

 

 

A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a tenu à rendre un hommage particulier à Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui a pris part, aux côtés de ses Homologues Africains et Sud Américains, au3ème sommet des Chefs d’Etat et Chefs du Gouvernement d’Afrique et d’Amérique du Sud, ayant pour thème : "Stratégies et mécanismes pour le renforcement de la coopération Sud-Sud" dont les assises ont eu lieu à Malabo en Guinée Equatoriale, du 20 au22 Février 2013.

 

Parmi les sujets abordés, outre l’exploitation des opportunités commerciales, d’investissement, les potentialités de partenariat dans les domaines de l’Education, de la Santé et de l’Agriculture, les crises en Afrique ont fait l’objet d’examen aux fins de résolution notamment à Madagascar, en Guinée Bissau, en République Démocratique du Congo et en Centrafrique.

 

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, fidèle au programme "L’Avenir en confiance", a profité de cette tribune de haut niveau pour faire la promotion du Plan Stratégique "Gabon Emergent" (PSGE) sur la base duquel le développement harmonieux de notre pays se poursuivra, grâce à des partenariats divers, et conséquemment, l’amélioration des conditions de vie de nos populations affirmant ainsi l’opiniâtreté de hisser notre GABON dans le peloton des pays émergents.

 

Suite au décès des valeureux soldats Tchadiens venus en renfort pour le retour à la paix au pays frère du Mali, le Conseil des Ministres a exprimé ses vives condoléances, son soutien et sa solidarité à Son Excellence Idriss DEBY ITNO, Président de la République du Tchad,aux familles endeuillées et à tout le Peuple Tchadien.

 

Par ailleurs, le Conseil des Ministres a salué et encouragé l’organisation de la première édition du Carnaval International de Libreville (CIL) ayant pour thème : "Nature, Culture, Diversité", avec la participation de l’école de Samba "Gres Beija Flor de Nipolis" du Brésil.

 

Cette manifestation riche en couleur, en sons et en lumières, a offert aux populations un agréable et mémorable moment de réjouissance, et hisse résolument notre cher pays le Gabon au peloton des pays ouverts au métissage culturel.

En outre, la promotion de la culture gabonaise s’est affirmée dans le cadre du Festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou (FESPACO) au Burkina Faso.

 

Sur invitation de la Première Dame du Burkina Faso, Madame Chantal COMPAORE, Madame la Première Dame du Gabon, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA a pris part à cette manifestation dédiée aux femmes sur la thématique "Cinéma Africain, Politique Publique en Afrique".

 

Cette thématique permet de réfléchir à la relance du cinéma africain en net recul ces dernières années.

Le Conseil des Ministres note que le cinéma gabonais doit être doté d’infrastructures fiables, répondant aux normes de la profession. Un trophée a été décerné à titre posthume à notre compatriote Charles MENSAH pour son remarquable talent.

 

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres a vivement salué l’initiative avant-gardiste deMonsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, dont le programme de société "L’Avenir en confiance" réserve une place privilégiée à la Jeunesse, le Gabon de demain.

 

Comme annoncé dans l’axe n° 9 dudit programme et aux fins de matérialiser cette noble ambition, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a organisé un Forum de la Jeunesse en Septembre 2011 ; Forum qui a vu la participation de deux mille (2.000) jeunes de la diaspora et de l’intérieur du pays. CeForum, placé sous le thème : "Contrat de partenariat, pour une Jeunesse responsable", a été un franc succès.

 

Le Forum de la jeunesse a permis la rédaction de la Politique Nationale de la Jeunesse du Gabon. Notre Jeunesse étant confrontée à des réels fléaux qu’il faut enrayer, les Pouvoirs Publics, le Secteur Privé et la Jeunesse consciente et responsable, doivent, dans la concorde, inverser la tendance.

 

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat exhorte la Jeunesse à l’abnégation au travail, à demeurer jalouse des valeurs de paix et d’unité parce qu’elle constitue une pourvoyeuse de solutions.

Aussi, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat a t- il instruit la mise en place d’une Commission aux fins de mettre en œuvre les exigences de la Politique de l’Emergence déclinée dans la Politique Nationale de la Jeunesse.

 

Le Conseil des Ministres a chaleureusement félicité les exploits de notre compatriote Anthony OBAME qui, de la position de second, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Londres, remporte la médaille d’or de l’US Open, championnat mondial en taekwondo, matérialisation de l’abnégation au mémorable travail qui hisse au haut de l’affiche, l’impétrant, comme le recommande inlassablement et fortement Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA.

 

Par la suite, le Conseil des Ministres s’est réjoui du énième couronnement international pour la concrétisation du Plan Stratégique Gabon Emergent en matière sportive.

 

En effet, notre pays s’est vu attribué l’organisation du trophée des Champions en prélude à l’ouverture de la ligue 1 de football de France. Cette distinction est bien le signe de la reconnaissance du savoir faire gabonais en matière d’organisation d’évènement sportif.

 

L’immensité des infrastructures tant sportives qu’hôtelières réalisées en un laps de temps à la faveur de la 28ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations 2012, confirme Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans sa position de Visionnaire, d’Architecte et de Bâtisseur Emérite.

 

Enfin, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, toujours soucieux de la bonne santé de ses concitoyens, a lancé un appel de conscientisation et de responsabilisation à l’adresse des parents, dont les devoirs et les obligations à l’égard de leur progéniture commande d’assurer la couverture en soin de santé notamment par la prévention.

 

A cet effet, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a instruit leGouvernement afin que des campagnes de vaccination dédiées aux enfants se déroulent sur l’ensemble du territoire national pour renforcer leur immunité et les protéger de certaines maladies.

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a approuvé le projet d’ordonnance modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 7/96 du 12 Mars 1996portant dispositions communes à toutes les élections politiques. Le présent texte indique que les dispositions de l’article 45 de la loi susvisée sont modifiées et se lisent désormais comme suit :

"Article 45 nouveau : L’enrôlement d’un citoyen donne lieu à la délivrance d’un récépissé d’enrôlement.

L’enrôlement se fait sur présentation :

Pour les citoyens gabonais d’origine,

·d’un acte de naissance légalisé, d’un jugement supplétif, de la carte nationale d’identité ou d’un passeport ordinaire biométrique ;

Pour les citoyens gabonais naturalisés,

·outre le décret de naturalisation et le certificat d’authenticité délivré par le Président de la République, ou le jugement de nationalité et le certificat de conformité délivré par la juridiction compétente, la carte nationale d’identité ou le passeport ordinaire biométrique ;

Pour les citoyens gabonais nés à l’étranger,

·d’un acte de naissance dressé par l’autorité diplomatique ou consulaire gabonaise habilité, ou d’un acte de naissance transcrit à la Mairie du 1er arrondissement de Libreville.

Au moment de l’enrôlement, sont relevés, le nom patronyme, le nom d’épouse s’il y a lieu, le(s) prénom(s), la date et le lieu de naissance, le domicile ou la résidence, la profession, l’adresse, le centre de vote et les données biométriques nécessaires à l’identification de l’électeur.

 

MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE

 

Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, un projet de décret portant réorganisation du Service de Santé Militaire.

Le texte susmentionné renforce les missions et les structures du Service de Santé Militaire.

A cet effet, le Service de Santé Militaire est structuré de la manière suivante :

·la Direction Générale ;

·les Organes et Formations Sanitaires Rattachés à la Direction Générale ;

·les Organes et Formations Sanitaires Déconcentrés.

         

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet d’ordonnance d’orientation relative au Développement Durable en République Gabonaise. Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, le présent texte complète les dispositions sectorielles régissant les différentes composantes du développement durable, en fixant les principes et les objectifs fondamentaux de l’action des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et de la Société Civile, pour assurer un développement durable du Gabon, axé sur le bien-’tre des générations actuelles et futures au moyen d’une économie qui utilise, de manière rationnelle et efficace, les ressources naturelles. Outre les dispositions générales, l’ordonnance traite : des règles et principes fondamentaux et de la Stratégie Nationale du Développement Durable ; des instruments et outils du développement durable ; des mécanismes et instruments financiers ; des dispositions fiscales ; du cadre institutionnel ; des dispositions transitoires, diverses et finales.

 

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

Sur présentation de Madame le Ministre, le Conseil des Ministres, a adopté, deux (2) projets de décret :

1. le projet de décret portant modification du décret n° 806/PR/MFEBP du 17 Mai 1996 fixant les modalités d’application de la loi n° 4/96 du 11 Mars 1996†fixant le régime général des pensions de l’Etat ;

2.le projet de décret réglementant la démission des agents publics permanents.

Le premier texte dispose que l’article 7 du décret n° 806/PR/MFEBP du 17 Mai 1996, ci-dessus cité, est modifié et se lit désormais comme suit :

"Article 7 nouveau : Si aucune limite d’âge spécifique n’est fixée identiquement au statut général des fonctionnaires appuyé du statut particulier de l’agent, les services pris en compte pour la constitution du droit à pension, sont arrêtés à l’âge limite de soixante (60) ans.

La cessation d’office des fonctions est réputée régulière le jour anniversaire de la naissance ou l’âge limite statutaire est atteint. Elle est au 1er janvier de l’année anniversaire correspondant à l’âge limite pour les agents "nés vers".

La pension des agents, dont la limite d’âge est supérieure à soixante (60) ans et qui obtiennent une mise à la retraite entre soixante (60) ans et l’âge limite qui leur est applicable, est liquidée sur la solde de base hiérarchique réglementaire existant lors de la mise à la retraite. Sa jouissance est immédiate".

S’agissant du projet de décret réglementant la démission des agents publics permanents, il faut entendre par démission, l’acte par lequel l’agent public permanent, par acte sous-seing privé, marque sa volonté non équivoque de quitter la Fonction Publique.

Ainsi donc, la démission intervient dans trois (3) cas, à savoir :

1. pour cause de convenances personnelles ;

2.dans le cadre d’un programme de départ volontaire ;

3.dans le cadre d’un programme de départ anticipé à la retraite.

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a communiqué au Conseil des Ministres, qui en a pris acte, le rapport national sur la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) 2003-2012.

Le rapport susvisé fonde ses recommandations sur la mise en úuvre des politiques publiques sectorielles dans les vingt (20) domaines suivants :

1.la non-discrimination ;

2.le respect des opinions de l’Enfant ;

3.l’enregistrement des naissances ;

4.la torture et la maltraitance ;

5.la responsabilité des parents ;

6.le recouvrement de la pension alimentaire ;

7.les enfants privés d’un milieu familial ;

8.la protection contre les sévices et la négligence ;

9.la vaccination ;

10.la santé des adolescents ;

11.le VIH/Sida ;

12.les enfants handicapés ;

13.le niveau de vie ;

14.les enfants réfugiés, demandeurs d’asile non accompagnés ;

15.l’exploitation économique, notamment le travail des enfants ;

16.la traite et l’enlèvement des enfants ;

17.les enfants vivant dans la rue ;

18.l’exploitation sexuelle à des fins commerciales et pornographiques ;

19.l’administration de la justice pour mineurs ;

20.les enfants des minorités.

 

AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la tenue, à Libreville, de la 13ème Conférence Générale de l’Association des Universités Africaines (AUA), du 16 au 31 Mai 2013, avec pour thème : "Tranformer l’enseignement supérieur africain pour l’employabilité des diplômés et le développement socio-économique".

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres

 

MESURES INDIVIDUELLES

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Cour Constitutionnelle

Assistants à la Cour Constitutionnelle :

MM. Paterne SOUGOU, Magistrat, précédemment Avocat Général près la Cour d’Appel Judiciaire de Libreville ;

 Nestor MBOU, Magistrat, précédemment Procureur Général Adjoint près la Cour de Cassation.

Cabinet du Président

Directeur de Cabinet : M. Joël Dominique LEDAGA, Ingénieur Informaticien, précédemment Directeur de Cabinet Adjoint du Président de la Cour Constitutionnelle.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Christian BAPTISTE QUENTIN

Chef de Cabinet : Mme Christine MBA NDUTUME, Contractuel de l’Etat.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Claudine MENVOULA ME NZE épouse ADJEMBIMANDE

Chef de Cabinet : Mme Clarisse ELLA, Contractuel de l’Etat, précédemment en service au Ministère de la Justice.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Antony ADIWA

Chef de Cabinet : M. Yannick Aristide DIOP IGUENDA, précédemment en service au Parquet du Tribunal de Première Instance de Libreville.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Christian BIGNOUMBA FERNANDES

Chef de Cabinet : Mme Sylvie OBOUAKIMA.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Jacques LEBAMA

Chef de Cabinet : M. Serge NDZI-NDZI, précédemment Greffier au Tribunal de Première Instance de Libreville.

*Cabinet du Juge Constitutionnel Afriquita Dolorès AGONDJO

Chef de Cabinet : M. Serge Mathias MADOUNGA, Attaché Culturel.

Greffe de la Cour Constitutionnelle

Greffier en Chef Chargé des Requêtes : M. Jean Laurent TSINGA, Conseiller des Greffes, précédemment Greffier en Chef Adjoint à la Cour.

Greffier en Chef Chargé de la Législation : M. Nosthène GUINDA, Conseiller Adjoint des Greffes, précédemment Greffier à la Cour.

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

Cabinet du Ministre

Conseiller Chargé du Développement Rural : M. Jean Lucien DOUMBENENY, en remplacement de M. Sylvestre MAKANGA.

Office National du Développement Rural (ONADER)

Les anciens Responsables de l’Office National du Développement Rural dont les noms suivent sont remis à la disposition de leur administration d’origine, il s’agit de :

MM.CHEYI LENDOYE ;

ATOME Jean Jacques ;

EVEVE NGUELEY Joël ;

MVE ONDO Michel ;

MOUPOUMBOU Clément ;

MOUWAKA NGONGA Jean François.

 

MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE

 

Secrétariat Général

Directeur de l’Office National des Anciens Combattants : Général de Brigade MOUELE MOUELE Romain, en remplacement du Colonel OKEMBA Steve Fréderic.

Gendarmerie Nationale

Inspecteur Technique : Général de Brigade ASSANAGA Eugère.

Conseiller du Commandant en Chef Chargé de la Gendarmerie Départementale :Général de Brigade LECKOMBO Jean Pierre.

Chef d’Etat Major de la Gendarmerie Départementale : Général de Brigade MAGNAGNA Jacques, en remplacement du Général de Brigade MOUELE MOUELE Romain.

Directeur Général des Recherches : Lieutenant-colonel POUNGUI Dieudonné, en remplacement du Général de Brigade LECKOMBO Jean Pierre.

Directeur Général Adjoint : Chef d’Escadron BARASSOUAGA Yves, en remplacement duColonel ASSEMBE OBIANG Hilarion, appelé à faire valoir ses droits à la retraite.

Directeur Général des Ecoles : Chef d’Escadron PANGOU MBEMBO Sylvain Florient, en remplacement du Lieutenant-colonel PONGUI Dieudonné.

Commandant du Groupement Estuaire : Capitaine MBIMA Gaston, en remplacement duLieutenant-colonel MADJOUPA Norbert.

Commandant du Groupement Moanda-Franceville : Chef d’Escadron MBANGUI Maurice, en remplacement du Chef d’Escadron BARASSOUAGA Yves.

Forces Armées

Etat Major Général des Forces Armées

Conseiller du Chef d’Etat-major Général des Forces Armées : Colonel OKEMBA Steve Fréderic.

 


 


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le 02-03-2013 12:32

Le Gabon encourage par Tansparency International pour sa bonne gouvernance

 Partager les réformes engagées par le gouvernement gabonais dans la perspective de la consolidation de la transparence et de la bonne gouvernance dans les secteurs clés de l’économie, c’est le but du séjour actuel à Berlin en Allemagne d’une délégation gabonaise. Ce groupe est conduit par le Ministre de l’Economie Luc Oyoubi et le Porte-Parole de la Présidence de la République, Alain-Claude Bilie By-Nzé.

 

 

Depuis quelques jours une délégation gabonaise, conduite par le Ministre de l’Economie, Luc Oyoubi et le Porte parole de la Présidence, Alain Claude Bilie By Nze, séjourne à Berlin en Allemagne. Elle y participe à une séance de travail avec le bureau directoire de l’ONG Transparency International, afin de partager les réformes engagées par le gouvernement gabonais dans la perspective de la consolidation de la transparence et de la bonne gouvernance dans les secteurs clés de l’économie.

 

La délégation gabonaise et Transparency International ont échangé leurs vues sur les différents mécanismes pour impulser de manière plus efficace la bonne gouvernance à tous les secteurs clés de l’économie. Trois temps ont marqué les échanges entre les parties.

 

Primo, il s’agissait de présenter à Transparency International, le Gabon, dans ses réformes majeures, ses acquis et ses perspectives de développement. Cette présentation, axée essentiellement sur les volets économique et judicaire a permis au Ministre Luc Oyoubi de dresser un état des lieux de la gestion économique et financière du Gabon.

 

Un accent particulier a été mis sur l’objectif stratégique d'amener la gouvernance économique du Gabon au niveau des meilleurs standards internationaux. Présentation qui a recentré le débat autour des efforts consentis par le gouvernement pour assainir l'économie et rendre le climat des affaires plus propice aux nouvelles ambitions de développement.

 

En second lieu, l’exposé du Conseiller Juridique du Chef de l’Etat Gabonais, Guy Rossatangalt. Son propos portait sur le corpus juridique et pratique pour présenter la lutte contre la corruption au Gabon. Il s'est agi d'aborder essentiellement le cadre juridique qui traite de la prévention et de la répression de l'enrichissement illicite en République Gabonaise.

 

Au cours son exposé, Guy Rossatangalt a expliqué les tenants et aboutissants des différents textes de répression de ‘’l’enrichissement illicite’’. Il a expliqué que ces textes englobent les variantes les plus subtiles de la corruption. Un dispositif qui témoigne de la volonté des pouvoirs publics Gabonais d’assainir et de rendre transparentes les finances publiques du pays.

 

Pour sa part, Transparency International a profité de l’occasion pour redéfinir ses axes d’intérêt, pour l’essentiel portés sur la bonne gouvernance et l’appui du secteur public. L’ONG a encouragé le Gabon à opérer une meilleure sensibilisation des citoyens sur leur rôle en tant qu’observateur de la vie économique de leur pays et acteurs de la bonne gouvernance. Elle a également proposé au Gabon la mise à la disposition par leurs soins d’un accompagnement dans le but d’aider le pays à atteindre ses objectifs de transparence publique.

 

Lors de son intervention, le Porte-parole de la Présidence de la République, Alain Claude Bilie Bi Nze, s’est appesanti sur le rôle de la société civile dans la consolidation de la bonne gouvernance. Il a appelé Transparency International à avoir un regard plus objectif et plus circonstancié sur un positionnement impartial et objectif de ces acteurs du développement.

 

Source: GABONECO 

 
 

 


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le 02-03-2013 00:55

Organisation, par le Secretaire National du PDG, Axel Ayenoue,d'une conference-debat avec la jeunesse pdgiste de Franceville

Sous les instructions du Secrétaire Général du Parti Démocratique Gabonais, le Secrétaire National, Axel Jesson Denis AYENOUE, est arrivé á Franceville le vendredi 1er Mars 2013 dans la Province du Haut-Ogoue pour animer une conférence-débat avec la communauté estudiantine de cette partie du pays.

 

 

Nous notions aussi dans la salle la présence du Directeur de Cabinet du Ministre de la Défense, Pacome Ruffin ONDZOUNGA.

 

Le Secrétaire National était accompagné á cet effet d'un co-conférencier en la personne de Béchir-Pascal PEMENGOYE et d'un proche collaborateur, Arel BIVEGHE. La thématique abordée a trait á <<La Place des Jeunes dans le Débat Politique>> á l'heure où le Président de la République, Ali BONGO ONDIMBA, entend impliquer la Jeunesse Gabonaise, force vivrière, dans le processus de développement irréversible vers lequel le Gabon se dirige. Car aucune grande nation au monde ne s'est véritablement faite sans l'apport d'une Jeunesse consciente et motivée.

 

Lors de cette conférence-débat, trois principaux points ont été discutés:

 

1) La Biométrie

2) La Politique Nationale de la Jeunesse

3) La Mesure de 30% des Jeunes sur les listes de candidatures

 

Concernant l'entrée en vigueur de la biométrie sur le territoire national pour les prochaines élections locales, le Secrétaire National a rappelé que le processus était déjà en marche mais que la biométrie, bien qu'étant une avancée considérable, ne constituait pas forcement la panacée ou la fin des contestations des élections.

 

Quant au point sur la Politique Nationale de la Jeunesse, Axel Jesson Denis AYENOUE a identifié les recommandations qui ont été remises au Chef de l'Etat par les Jeunes du Forum National de la Jeunesse. Il s'agissait notamment de:

 

- Renforcer la place des jeunes dans les instances démocratiques

<!-Développer le partenariat

<Restructurer le Conseil National de la Jeunesse

<!Développer l’auto emploi et l’entreprenariat des jeunes

<!-Restaurer et construire plus d’infrastructure sportive dans les provinces

<Elaboration d’un programme de planning national

<!Affecter des travailleurs sociaux dans les commissariats et les centres de préventions pour encadrer les jeunes.

Encourager le bénévolat

 

Quant á la mesure sur les 30% des Jeunes sur les listes de candidatures, Béchir-Pascal PEMENGOYE a noté que Le rôle des partis politiques est déterminant dans les mécanismes de représentativité des Jeunes et d’accès au pouvoir. Dans leur fonctionnement, poursuit-il, les partis politiques doivent proposer des actions pour que des mesures appropriées soient prises pour que les JEUNES aient une chance honnête et égale d’être candidats à toutes charges ou fonctions publiques, électives et non électives. Ce changement ne peut être possible que par l'adoption de mesures positives volontaires à l'intérieur des partis, en éliminant toutes les discriminations qui, directement ou indirectement font obstacle à la participation des JEUNES. Cela doit ressortir à tous les niveaux. Avant de remercier le Chef de l'Etat pour cette mesure, Mr PEMENGOYE a proposé quelques pistes de stratégies que le législateur pourrait apprécier.

 

C'est dans une salle comble et une ambiance époustouflante que la conférence-débat a pris fin.

 


 


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le 01-03-2013 13:42

Au terme du récent Conseil des ministres : Les prémisses d’un futur et véritable Tsun’ Ali


Présidé par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba et tenu le jeudi 21 février dernier à Libreville, le récent Conseil des ministres a quasiment constitué « une sorte d’avant-goût, par rapport aux potentiels recentrages et autres bouleversements qui pourraient intervenir progressivement dans les jours, semaines et mois à venir tout au long de cette année 2013.»

 

 

Des recentrages et bouleversements qui devraient logiquement toucher une administration publique gabonaise qui, au niveau de plusieurs de ses secteurs et pans, « peine visiblement à suivre le rythme de travail imprimé par le président Ali Bongo Ondimba et à offrir de performantes prestations aux usagers qui, de surcroît, sont des contribuables.»

 

Dans ce cadre précis et à l’écoute du communiqué final issu de ce Conseil des ministres, les premières mesures de restructuration ont d’abord touché la structure gouvernementale.

 

Du fait que « contrairement aux débordements constatés auparavant dans l’organisation et le fonctionnement des départements ministériels, les choses ne se présenteront plus comme avant.» A cet égard, « des dispositions légales ont été prises pour qu’à quelques légères variantes près, tous les ministères fonctionneront sur la base d’une même organisation générique et standardisée.»

 

Ainsi et pour éviter des de retomber dans les errements du passé, chaque département ministériel comprendra le cabinet du ministre et les services rattachés, l’inspection générale des services, le secrétariat général, les directions générales, les établissements et organismes sous tutelle ainsi que les directions centrales.

 

Ensuite et sur le plan de la gestion des affaires économiques du pays, d’importantes décisions ont été prises pour « restructurer, redynamiser et mieux exploiter fructueusement des établissements publics tels que le Conseil gabonais des chargeurs (CGC) et la Compagnie de navigation intérieure (CNI) qui a été transformé e en Compagni e nationale de navigation intérieure et internationale (CNNII).»

 

Cela afin que, « loin d’être des éternelles charges financières pour l’Etat, le CGC et l’actuel le CNNII constituent des véritables structures économiques dont la performance des résultats permettra au Trésor public national d’engranger de substantielles ressources financières. »

 

Lesquelles ressources contribueront à renflouer les caisses de l’Etat ainsi qu’à renforcer les moyens de consolidation et de modernisation des infrastructures socio-économiques de développement du pays.

 

Par ailleurs, en vue de mieux entretenir et préserver les biens meubles et immobiliers de l’Etat, le récent Conseil des ministres, sur initiative du président Ali Bongo Ondimba, a finalement décidé de « la création de l’Agence nationale de gestion et d’exploitation des infrastructures sportives et culturelles de l’Etat (ANGEISC). »

 

Une agence qui aura pour mission de « tout mettre en œuvre pour maintenir en bon état ainsi que gérer commercialement, financièrement et fructueusement les infrastructures sportives et culturelles publiques.»

 

En commençant donc par les premières infrastructures existant sur l’ensemble du territoire national, celles héritées de l’organisation de l’édition 2012 de la Coupe d’Afrique des nations ainsi que les nouvelles qui continueront à être moderniser et construites par l’Etat.

 

Sans oublier la reprise en main de la gestion des fameuses cases d’écoute construites par feu le président Omar Bongo Ondimba tant à Libreville qu’à l’intérieur du pays.

 

En outre, tenant à prendre en compte les contraintes liées à la poussée démographique que connaissent certaines communes et déterminé à promouvoir les conditions idoines d’une administration de proximité, le Conseil des ministres a donc pris d’importantes et conséquentes mesures.

 

A cet égard, « plusieurs des communes concernées ont été gratifiées d’une subdivision en arrondissements. Ce qui permettra aux élus locaux de mieux gérer les collectivités locales dont ils ont la charge.»

 

Tout comme le Conseil des ministres a décidé de réorganiser, restructurer et redynamiser les directions et services de l’état-major général des forces armées gabonaises. Un état-major qui sera désormais mieux fixer sur ses réels champs de compétence, missions républicaines, moyens d’action et objectifs majeurs à atteindre.

 

Autant des nouvelles mesures, décisions et stratégies initiées par le président Ali Bongo Ondimba et qui , prises par le récent Conseil des ministres, vont nécessairement déboucher sur la prise des textes d’application conséquents.

 

Avec en prime, « la désignation des nouveaux hommes qui auront pour mission de mieux traduire dans les faits la vision du chef de l’Etat et les aspirations les plus légitimes des populations gabonaises.»

 

Ce qui suppose alors l’intervention d’un véritable Tsun’ Ali au sein de la plupart des directions et services administratifs publics qui tardent encore à s’arrimer correctement au train de l’émergence du Gabon.

  


 


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