Le chef du Gouvernement et plusieurs membres de son cabinet se sont retrouvés, dès l’annonce du décès de leur collègue, Rose Békalé, et l’ensemble des Ministres ont le regret d’annoncer le décès de Madame Rose Elise BEKALE, Ministre Déléguée auprès du Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie, survenu le jeudi 6 janvier 2011, à 17 H 15, à la Polyclinique El RAPHA de Libreville.
A côté du premier ministre, il y avait les ministres des Affaires Etrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie, Paul Toungui ; de la Défense nationale, Angélique Ngoma ; de la Communication, de la Poste et de l’Economie Numérique, Laure Olga Gondjout ; du Budget, des Comptes Publics , de la Fonction Publique, chargé de la Réforme de l'Etat, Blaise Louembé ; de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l'innovation, Porte-parole du gouvernement , Séraphin Moudounga ; des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures, Julien Nkoghé Békalé; de l'Equipement, des infrastructures et de l'aménagement du territoire, Flavien Nzengué Nzoundou, celui de l'Energie et des ressources hydrauliques, Régis Immongault.
Les membres du Gouvernement ont tenu à rassurer la famille de l’illustre disparue en accompagnant la dépouille dans une maison de pompe funèbre de Libreville et ce, en attendant le programme officiel des obsèques qui sera communiqué par les parents. Il faut dire que Rose Békalé, qui décède des suites d’une affection médicale était âgée de 62 ans et laisse une fille de 34 ans.
Le Fonds d’Aide à la Presse (FONAPRESSE) sera disponible dès année 2011 et remplacera l’enveloppe de 500 millions de francs CFA octroyée depuis sept (7) ans par l’Etat au titre d’aide à la presse nationale privée, a indiqué, ce jeudi, le président Ali Bongo Ondimba, recevant les vœux des médias gabonais, au palais de la Présidence.
Le FONAPRESSE, contrairement à la subvention annuelle accordée depuis 2003 à la seule presse écrite privée, sera transversale. Y ont désormais accès autant la presse écrite, en ligne qu’audiovisuelle.
Selon le chef de l'Etat, ce « Fonds permettra de financer toute la presse et surtout devrait favoriser la mise en place de groupe de presse seuls capables d’assurer, par des fusions horizontales et verticales, une meilleure survie de votre secteur avec une mutualisation des forces , des expériences et des stratégies ».
Des actions qui éviteraient « une trop forte dépendance » des hommes de médias « vis-à-vis des hommes politiques qui vous utilisent pour résoudre leurs problèmes et vous aident ainsi à détruire votre métier, c’est –à-dire votre raison de vivre », a-t-il ajouté.
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