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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 25-05-2010 01:48

le candidat PDG, Régis Immongault lance sa campagne à Lastourville


La cérémonie de lancement de la campagne du candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) à l’élection partielle du 6 juin prochain, Régis Immongault s’est ouverte dimanche sur la place Albert Tsamba de Lastourville dans la province de l’Ogooué Lolo, où de nombreux jeunes ont devisé avec le candidat.

 

La place Albert Tsamba noire de monde a vibré dimanche soir au rythme des chants et cris de joie pour ces jeunes venus de tous les coins de Lastouville pour témoigner leur confiance au candidat du PDG.

 

Sur les banderoles de campagne disséminées partout dans la ville, l’on pouvait y lire, entre autres, « Régis, la jeunesse de Lastourville te soutient massivement et t'assure d'une victoire cash le 6 juin ».

 

Regroupé autour de l’impétrant qui était accompagné du secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi,  des membres du bureau politique, Blaise Louembé, Etienne Guy Mouvagha, Patrice Tonda et Boundoukou Lata,  la jeunesse de Lastourville, par la voix de la représentante des jeunes a rappelé qu’ils soutenaient fortement la candidature de ce fils du terroir.

 

Apres les quatre interventions des jeunes,  le candidat a axé son propos sur le renforcement de l'unité et la cohésion sociale des fils et filles de Mulundu  et de défendre toujours les idéaux du Parti.

 

Il a également exhorté les uns et les autres à faire confiance au gouvernement de l'émergence et à son président, Ali Bongo Ondimba.

 

D'autres interventions ont suivit notamment le mot des membres du bureau politique, Patrice Tonda,  Guy Mouvagha , Blaise Louembé qui ont déclaré que « Régis Immongault était la solution », tout en demandant « d’oublier les infidèles au PDG et de voter les fideles au parti ».

Une grande marche de la place Albert Tsamba au domicile du candidat et la lecture d'une charte de fidélité des jeunes de Mulundu au candidat a clos l'événement.

 

Pour ce siège, Régis Immongault est opposé à Paulette Missambo, démissionnaire du Parti démocratique gabonais, plusieurs fois ministre et ayant occupé ce poste plus d’une dizaine d’années. Elle est désormais membre de l'Union National (UN, opposition).

 

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le 25-05-2010 01:00

RENCONTRE DE TADIC AVEC LE CHEF DE DIPLOMATIE DU GABON


Le président de Serbie Boris Tadic et le ministre des Affaires étrangères du Gabon, Paul Toungui ont constaté lors de l’entretien à Belgrade que les relations politiques de plusieurs décennies étaient au niveau élevé et qu’il existait un bon fondement pour l’amélioration des relations économiques.
 
 
 
Tadic a souligné que la Serbie soutenait la bonne politique du Gabon en Afrique et le rôle important de ce pays dans l’Union africaine et le Mouvement des pays non-alignés. Tadic et Toungui ont constaté que les relations des deux pays dans les organisations internationales étaient au niveau élevé.
 
 
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le 25-05-2010 00:50

Lancement mardi d'un Conseil climat présidé par Ali Bongo Ondimba


 Le Gabon lancera mardi un "Conseil National sur les changements climatiques, dénommé Conseil Climat" qui aura pour mission "l'élaboration et l'orientation stratégique de la politique nationale en matière de changements climatiques", a annoncé la présidence lundi.

 

 

 

Signe de l'importance attachée à ce projet, le président gabonais Ali Bongo Ondimba, qui n'avait pas donné de conférence de presse au Gabon depuis le 4 mars et l'annnonce de mesures d'urgence, lancera officiellement les travaux avant de donner une conférence de presse à 17h00 locales (16h00 GMT).

 

Le Gabon, qui a été un des pays africains les plus actifs lors de la Conférence des Nations Unies sur le réchauffement climatique à Copenhague en décembre 2009, se veut précurseur dans le domaine et ambitionne d'être un exemple sur le continent.

 

 

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le 24-05-2010 22:06

La CPCR reçoit son cadre juridique sur fond de recommandations du Chef de l’Etat


 

 La Conférence des cadres de la Confédération Pentecôtiste des Eglises du Réveil (CPCR) s’est close dimanche à Libreville, avec la remise de son cadre juridique par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, qui a mis en relief notamment les missions d’éducation, de conscientisation et de moralisation des communautés religieuses. 

« ACCOMPAGNER L’ACTION DE L’ETAT »

S’exprimant devant l’assemblée de Pasteurs et de « Ministres de Dieu », le Président de la République a dit la nécessité d’une implication générale des composantes de la société gabonaise, sans laquelle la politique de l’émergence ne saurait se matérialiser sur le terrain.

« Tous ce qui touche au changement de mentalité, au changement d’attitude ou de comportement, donc à l’adhésion de tous à un nouveau paradigme, est un travail de longue haleine et nécessite la contribution de tous », a observé Ali Bongo Ondimba.

En ce sens, dans son propos, le Chef de l’Etat a également exprimé sa « ferme conviction que les communautés religieuses au Gabon, avec toutes les structures qui émanent d’elles, ont un rôle majeur à jouer » dans le processus de développement du pays.

Pour le numéro un gabonais, en effet, les « leaders » des communautés religieuses au Gabon ont pour « noble mission », non seulement « d’éduquer », mais encore de « conscientiser, de moraliser » et enfin, d’« accompagner » l’action de l’Etat.

POUR UNE MEILLEURE ORGANISATION DE LA CPCR

Aussi, peu de temps après avoir rappelé le « soutien moral et spirituel » offert par les Communautés pendant la période de transition politique qui est parue après le décès du Président Hadj Omar Bongo, il a loué l’accent, qui, lors de ces assises, a été mis sur le thème de la chretienneté et de la citoyenneté

« Que votre initiative serve d’exemple que ces mobiles restent ceux qui concourent à la paix au développement et au partage », a souhaité Ali Bongo Ondimba.

Saisissant l’opportunité donnée par cette cérémonie de remise du cadre juridique à la CPCR, le Chef de l’Etat a appelé les « ministres de Dieu » à une meilleure structuration. Structuration qui, par ailleurs,  sous tendrait la culture notamment de la « charité ».

« C’est dire qu’au-delà d’être membre d’une église, d’appartenir à une communauté religieuse en général et chrétienne en particulier, vous êtes aussi et avant tout des citoyens. Et vous avez des devoirs à remplir vis-à-vis du Gabon », a-t-il martelé.   

Si Ali Bongo Ondimba a relégué à « de lointains souvenir » les « faits » reprochés par le passé à la Communauté, il l’a toutefois exhorté à manifester une détermination sans failles à s’organiser et à donner une image meilleure d’eux-mêmes et de leur communauté, mais également cultiver la foi, l’espérance, la charité.

« Car la charité ne s’enfle point d’orgueil, elle ne se réjouit point d’injustice. La charité se réjouit de la vérité. Alors je ne doute pas, un instant, que vous y parviendrez, et que le cadre juridique que j’ai personnellement tenu à vous remettre aujourd’hui contribuera certainement à réunir toutes les valeurs sans lesquels les hommes ne peuvent se construire », a affirmé le Chef de l’Etat.

FONCTION DE REPRESENTATION AUPRES DE L’ETAT

S’exprimant à son tour, Président de la CPCR, le Révérend Pasteur Jude Ngouwa, s’est réjouit, de la présence du Président Ali Bongo Ondimba à l’ultime journée de la conférence des Cadres.

« Votre présence aujourd’hui prouve à suffisance votre volonté affirmée de mettre l’ensemble de nos communautés dans un même pied d’égalité. Tout en favorisant  l’expression de la foi de chaque courant religieux dans notre pays », a-t-il déclaré.

Dans le prolongement des recommandations du Chef de l’Etat, le Secrétaire général de la Communauté, le Révérend Francis Michel Mbadinga s’est appesanti sur les devoirs de la CPCR qui, a-t-il insisté, « n’a pas pour vocation à se substituer ou à remplacer les entités ecclésiastiques existantes », mais sert à « une meilleure organisation et à une fonction de représentation  auprès de l’Etat ».

Au terme de trois jours de travaux, la Conférence des cadres de la CPCR s’est close par la remise solennelle de son cadre juridique par le Président de la République.

Quatre sous thèmes ont été abordées durant ces journées, à savoir: « Chrétienneté et citoyenneté, l’Etat de droit, la bonne gouvernance, et l’apport des cadres chrétiens pour un pays  émergent ».
 
 
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