Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 24-03-2011 20:10

L’ENEF dans le noir


L'Ecole nationale des eaux et forêts (ENEF), au Nord de Libreville, pourrait suspendre ses cours dans les prochains jours. Il n’y a plus de carburant pour alimenter les groupes électrogènes qui fournissent l’électricité à cet établissement.
 
© D.R.
Les cours sont menacés de suspension à l'Ecole nationale des eaux et forêts (ENEF), en raison d'une pénurie de carburant dans les groupes électrogènes qui alimentent en électricité cet établissement, situé au nord de Libreville. «Si aucune solution n’est trouvée dans les prochains jours, les cours vont être officiellement suspendus à l’ENEF et les étudiants renvoyés chez eux», a affirmé une source proche de la direction de l’école.

Le 22 mars effet, les responsables de l’établissement ont organisé une réunion d’urgence avec l’ensemble du personnel concernant cette nouvelle crise d’énergie qui risque de paralyser totalement le fonctionnement de l’ENEF pour une longue période. A cette occasion, le personnel a été informé que le ministère de l’Energie aurait cessé de fournir l’ENEF en carburant pour ses groupes électrogènes qui alimentent en l’électricité cet établissement et les populations locales.

Une situation alarmante d’autant que l’ENEF ne peut prendre à son compte l’achat du carburant parce que ne disposant pas encore de son budget de fonctionnement pour 2011. Par ailleurs, une délégation de l’établissement s’est rendue le 23 mars au cabinet du ministre pour lui présenter la situation.

En attendant, les étudiants et les enseignants habitant le Cap Estérias continuent à s’éclairer à la bougie et à prendre leur bain dans les rivières environnantes, le système hydraulique de l’ENEF ne pouvant fonctionner sans électricité. Certains étudiants auraient déjà quitté le campus pour rejoindre leurs parents à Libreville, en attendant le retour de l’électricité.

Deux semaines plus tôt, l’ENEF a été confrontée à situation identique qui s’est rapidement normalisée grâce au ministère de l’Energie qui a fourni plus de 1000 litres de carburant ayant permis la reprise normale des activités. Mais à quand une solution pérenne à cette situation ?
 


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le 23-03-2011 20:58

Le transformateur du quartier Akébé - Apostrophe hors d’usage depuis ce mercredi matin


 La population d’Akebé-Apostrophe, a été surprise ce mercredi matin lorsque le transformateur de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a cédé, laissant les habitants de ce quartier du 4ème arrondissement de la capitale gabonaise sans électricité.

Les agents de cette société d’électricité et d’eau, en situation de monopole sur le territoire national se sont aussitôt rendus sur les lieux afin de résoudre le problème alors que les habitants de ce quartier étaient privés d'électricité.

A première vue, le problème viendrait d’un court-circuit dû à la vétusté du matériel, selon un agent de cette société qui a requis l’anonymat.

Cet incident a fait de gros dégâts sur ce transformateur situé en face de l’immeuble Babagana à Akebé-Apostrophe.

L’interruption inopinée de l’électricité a causé bien de désagréments chez les habitants de ce quartier de la capitale gabonaise qui se sont rendus, pour les uns, dans leur lieu de travail avec des vêtements froissés, n’ayant pas pu les repasser, et pour d’autres, ce sont des appareils électro-ménagers qui auraient pris un coup.

« Si tout se passe bien, le courant sera rétabli dans la soirée », a ajouté l’agent en plein exercice.

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) s’est engagée à injecter cette année, 47 milliards de francs CFA pour améliorer la qualité de ses services aux clients, selon le rapport du Conseil d’administration de cette entreprise qui date du 11 mars dernier.

Les montants de l’investissement en 2010 (27,5 milliards de FCFA) et en 2009 (18 milliards de FCFA) se sont révélées insuffisantes pour réaliser certains travaux nécessaires à l’amélioration de la distribution de l’eau et de l’électricité sur l’ensemble du territoire national, indique ce rapport.

Par ailleurs, le chiffre d’affaires de l’entreprise a augmenté de 15% pour atteindre 154 milliards de francs CFA en 2010, peut-on lire dans ce rapport.

 


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le 23-03-2011 20:50

exploitation du sable : Le Gouvernement tape du poing sur la table


  Le Ministère gabonais des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures a, indique une source officielle, décidé d’interdire l’exploitation du sable au nord de Libreville. Afin de prévenir l’érosion de la façade maritime de la capitale gabonaise où l’on observe une tendance générale au recul des plages d’une moyenne de plusieurs mètres. 

                                                     

Les autorités dénoncent l’attitude des opérateurs qui se livrent à une exploitation effrénée du sable, indiquant qu’aucune autorisation ne sera jamais plus délivrée dans le secteur pour cette activité.

Les autorisations exceptionnelles actuelles devront prendre fin au plus tard le 31 décembre prochain.

La mesure a été prise en application d’un arrêté ministériel du 2 novembre 2005, visant à protéger les côtes de Libreville de l’érosion inéluctable qui s’opère. Même si les causes de l’érosion sont à trouver dans le processus naturel de sédimentation.

Selon les mêmes spécialistes, le prélèvement illicite de sable au voisinage de la côte peut déséquilibrer localement le bilan sédimentaire, et entraîner l’intensification de l’érosion côtière marquée par l’éboulement de falaises, la réduction ou la disparition de plages.

 


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le 23-03-2011 20:47

La crise libyenne au centre des entretiens entre Ali Bongo Ondimba et Nick Clegg


 La visite de travail à Londres du Chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba a été marquée par l’entrevue avec le vice Premier Ministre britannique, Nick Clegg et le Ministre des Affaires Etrangères, William Hague. Annonce une source proche de la Présidence de la République gabonaise.

Au cours de ces échanges qui ont eu lieu mardi dernier, les questions de coopération ont été au centre. Il était utile pour le numéro un gabonais et ses hôtes de faire le tour d’horizon des sujets d’actualité, notamment la crise libyenne.

Le Gabon, à l’instar de la Grande Bretagne, siège au Conseil de Sécurité qui a voté la résolution 1973 donnant le feu vert aux actions menées sur ce pays africain. Une action dont l’évolution a conduit le Gouvernement gabonais à appeler à un cessez-le-feu et invité l’Union Africaine (UA) à s’inscrire dans une démarche pacificatrice.

Les deux parties ont donc eu un échange sur ce sujet, de même que sur les voies et moyens de revigorer les relations bilatérales tissées depuis des décennies mais qui, malheureusement, ne semblent plus guère être portées à leur niveau d’autrefois.

Le Président Ali Bongo Ondimba avait aussi à cœur d’ouvrir le dialogue avec les autorités anglaises qui apprécient, à l’image des autres membres du Conseil de Sécurité, d’une part, et d’un G8, les efforts déployés par les nouvelles autorités gabonaises en vue de consolidation de l’Etat de droit, de la démocratie, de la bonne gouvernance. Un soutien qu’a d’ailleurs exprimé l’ancien Premier Ministre britannique, Tonny Blair, reçu la veille par le Président Ali Bongo Ondimba.

 


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