Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 13-06-2011 23:25

Akoghé Michel porté à la tête de la mairie de Lambaréné

 Le conseiller municipal Akoghé Michel a été élu vendredi dernier, à la tête de la mairie de Lambaréné en lieu et place de Davin Akouré, démissionnaire depuis le mois de janvier 2011.

Le nouveau Maire de la commune de Lambaréné, Akoghé Michel, candidat soutenu par le Parti Démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir), a été élu avec 22 voix représentant 67% contre 11 pour son adversaire Faustin Kopangoye.

« Le scrutin s’est déroulé dans de très bonnes conditions, dans l’esprit et la convivialité, sans anicroches », a  confirmé Pascal Yama Lendoye, gouverneur de la province du Moyen-Ogooué ayant supervisé les opérations.

Elu maire sous la bannière du Parti Démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir), le docteur Akouré, a démissionné en décembre 2010 pour une affaire de masque qui avait créé la polémique entre les groupes ethniques fang auquel il appartient et les Goloa. Il a finalement fondé l’Alliance pour le Nouveau Gabon (ANG), son propre parti politique au mois d’avril dernier.

A noter également l’élection dans la même journée, du nouveau président du Conseil départemental de l’Ogooué et des Lacs, David Evoung du PDG, seul candidat en lice élu à 100% de voix.

Premier vice-président du Conseil départemental de l’Ogooué et des Lacs, David Evoung, a longtemps assuré l’intérim de son prédécesseur décédé il y a plus d’un an.

 


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le 13-06-2011 23:23

La production agricole accrue au cœur des préoccupations du Gabon


 Progresser vers une plus grande autosuffisance alimentaire et réduire la dépendance aux importations est devenu une priorité absolue pour le gouvernement gabonais dans le cadre de son plan de diversification économique à long terme, Le Gabon émergent.

Le pays revoit actuellement ses politiques agricoles afin de dynamiser la production nationale et accroître les investissements étrangers ; dans cette optique, le gouvernement a annoncé en février la création de l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (AGASA).

L’AGASA, qui a pour vocation d’accroître la production locale et d'améliorer les normes sanitaires, a été chargée d'élaborer un plan d'urgence axé sur la sécurité alimentaire afin de limiter les importations nationales d’au minimum 5 % par an, notamment les importations de denrées alimentaires de base, telles que les céréales et le riz, ainsi que les importations de viande et de légumes.

Malgré l’abondance de terres fertiles et le succès modeste des cultures marchandes, telles que le cacao, le café, le caoutchouc et l’huile de palme, plus de 85 % des besoins alimentaires du Gabon sont satisfaits par les importations, dont le coût atteint chaque année plus de 250 milliards de francs CFA (381,12 millions d’euros).

Au mois de février, le ministre de l'Agriculture, Raymond Ndong Sima, s’est rendu dans les neuf provinces du pays en prévision du lancement d’un autre programme, le Programme agricole de sécurité alimentaire et de croissance (PASAC). Mené sous l’égide du ministère de l'Agriculture, ce programme englobe un certain nombre d'initiatives de petite envergure, ayant toutes pour objectif de créer un secteur agricole compétitif en développant la production locale, en augmentant les exportations, en améliorant l’accès aux financements et en mettant l’accent sur les zones rurales sous-développées. Par ailleurs, le ministère de l’Agriculture destine 34 milliards de francs CFA (51,8 millions d’euros) au financement des investissements agricoles et agro-industriels, et a également mis en place un fonds de garantie agricole de 900 millions de francs CFA (1,4 million d’euros).

Ces diverses initiatives sont le résultat des fluctuations des prix alimentaires sur le marché international, qui ont incité le Gabon à limiter son exposition à la volatilité des prix tout en maximisant les effets multiplicateurs de la production locale. Si le secteur agricole emploie actuellement 35 % environ de la population gabonaise, il ne représente que 5 % du PIB.

Dans le cadre du Gabon vert, l’un des piliers de la stratégie de diversification Le Gabon émergent, le gouvernement a pour objectif d’augmenter d’au moins 20 % la part du secteur agricole dans le PIB, et d’intensifier la production issue des 15 millions d’hectares de terres cultivables que compte le pays. L’une des priorités du gouvernement a été de favoriser les investissements institutionnels privés dans un secteur jusque-là particulièrement fragmenté, même si l’attention reste tournée sur les cultures marchandes.

En octobre 2010, par exemple, Olam, une société multinationale basée à Singapour, a signé un contrat chiffré à 394 milliards de francs CFA (600,6 millions d’euros) avec le gouvernement gabonais concernant le développement de vastes plantations d’huile de palme. La phase initiale du projet portera sur 50 000 hectares de palmeraies. La superficie totale des terres couvertes par le contrat pourrait atteindre 300 000 hectares. La plantation devrait débuter en 2012.

Olam n’est pas la seule société désireuse de renforcer sa présence dans le secteur agricole gabonais. À titre d’exemple, la Société d’investissement pour l’agriculture tropicale (SIAT), implantée en Belgique et présente au Gabon depuis 2004, affiche des rendements de caoutchouc parmi les plus élevés au monde (2.2 tonnes par hectare) dans ses plantations gabonaises. Plus récemment, au mois de mars, le groupe israélien LR a signé avec le gouvernement un accord chiffré à 9,5 milliards de francs CFA (14,5 millions d’euros) portant sur la création de six exploitations agropastorales.

Le gouvernement s'est non seulement donné pour priorité d'accroître le capital et la compétitivité du secteur, mais s’efforce également, dans le même temps, de promouvoir le développement des régions rurales. En 2008, le Gabon a initié le projet de développement agricole et rural (PDAR) afin de faire reculer la pauvreté dans les zones rurales grâce à une diversification des sources de revenus et une amélioration du niveau de vie.

Le gouvernement a annoncé que 160 villages représentant quelque 33 % de la population rurale de la province de Woleu-Ntem, située dans le nord du pays, bénéficieraient d'une aide dans le cadre du PDAR. En 2009, la ville d’Oyem a bénéficié à elle seule d'une aide de 768 millions de francs CFA (1,17 million d’euros). En février, le gouvernement a déclaré que 34 nouveaux projets menés dans la province seraient financés dans le cadre du PDAR, avec l’aide du Fonds international pour le développement agricole (FIDA).

Si les importations de denrées alimentaires resteront probablement, dans un futur proche, un poste de dépenses important pour le pays, les efforts déployés récemment pour stimuler la productivité et la compétitivité du secteur devraient toutefois générer à terme des résultats positifs.

 


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le 13-06-2011 16:49

La coopération énergétique au centre d'entretiens maroco-gabonais à Rabat

 La coopération énergétique entre le Maroc et le Gabon a été au centre d'entretiens, lundi à Rabat, entre la ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, Mme Amine Benkhadra, et son homologue gabonais Régis Immongault.

A cette occasion, Mme Benkhadra a donné un aperçu à la délégation gabonaise sur les stratégies entreprises par le Maroc dans le domaine de l'énergie et de l'Eau.

Elle a, dans ce sens, rappelé le lancement de plusieurs projets et réformes d'envergures notamment ceux d'énergies solaire et éolienne.

La ministre a, également, fait remarquer que le Maroc procède également au lancement d'une stratégie renouvelée du secteur de l'eau et de l'environnement, partant du constat que cette ressource se fait de plus en plus rare et que la situation risque de se dégrader sous l'effet du changement climatique.

Elle a fait savoir que le Royaume fait de "la politique de l'eau une priorité élevée, d'autant plus que les problèmes liés à cette question ont des impacts sur l'Agriculture, l'industrie, l'habitat ou encore le tourisme et la santé".

L'année 2010 des accords bilatéraux ont été signés et devront permettre d'intensifier les échanges d'informations et d'expertises ainsi qu'en matière d'assistance technique et de transfert de technologie.

Ces conventions concernent les domaines de l'énergie et des mines, deux secteurs stratégiques pour le Gabon, de la formation professionnelle, l'eau et l'environnement, ainsi que la coopération touristique et l'échange du savoir-faire.

 


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le 13-06-2011 13:49

JT du 12 Juin 2011 a 20 heures


1 ere partie
 
2 e partie
 
3 E PARTIE 
 
 
 


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