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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 13-06-2010 21:16

Un gabonais répond à Bruno Ben Moubamba


– Dans un article intitulé  » le Gabon est attaqué » et publié sur www.lvdpg.org le jeudi 10 juin 2010, Bruno Ben Moubamba, Vice-président de l’Union Nationale (UN, Opposition), a fait état d’une opération de nettoyage politique en ce moment au Gabon, et ce, depuis des mois ! Selon lui, le nouveau pouvoir gabonais a distribué allègrement des poisons à qui de droit, y compris à des traitres dans l’opposition.

Cette déclaration a suscité la réaction de plusieurs gabonais, comme le cas de ce compatriote.

Détails.

Monsieur Bruno Ben MOUBAMBA

Je suis extrêmement déçu par vos analyses sur un pays que vous prétendez aimer et être attaché : le Gabon.

Je vous rappelle qu’en votre qualité de philosophe, vous êtes tenu de dire les faits avec objectivité et sérieux, car celui qui est passé par la douleur, la patience et le travail du négatif a conquis sa liberté et peut donc libérer le peuple dans la caverne en lui apportant la lumière. Je l’ai déjà dit dans l’appel de Dakar, il est temps de refaire de la politique de manière sérieuse au Gabon. Nous ne voulons plus d’hommes politiques en robe de chambre mais en vêtements sacerdotaux comme le gouvernement de l’émergence.

Vous affirmez que « le nouveau pouvoir a distribué des poisons à qui de droit ». A qui faites vous allusion ?Etes-vous certain de pouvoir démontrer sinon affirmer cela devant les juridictions compétentes ?Je vous rappelle que vous êtes depuis votre activisme militant de 2008 un homme public gabonais et qui a accès à des médias sinon des vecteurs d’information et pas des moindres. Vous ne devez donc pas vous donner le loisir de dire et raconter tout ce qui vous enchante et faire transparaitre aussi clairement votre haine à l’endroit du nouvel exécutif gabonais. Les raisons pour lesquelles vous n’aimez pas la personne du Distingué camarade Ali BONGO ONDIMBA m’importent peu vue l’incommensurabilité paradigmatique qui vous sépare au plan politique et existentiel. Faites attention à vos propos, vous risquez de porter atteinte à la sureté de l’Etat. A un certain niveau de sérieux dans le débat politique  je vous invite à plus de cohérence et de rigueur dans la méthode. Ne dites point des choses que vous ne pouvez prouver et mieux qui peuvent porter atteinte à la stabilité de votre pays.  S’il vous manque des arguments politiques pour contredire le gouvernement de l’émergence ne prenez pas des incidents isolés et surtout des décès pour jeter l’opprobre sur vos adversaires. Ce n’est ni loyal ni crédible comme tactique et c’est indigne des études de philosophie que nous avons faites. Ce n’est plus de la politique en termes de combat d’idées, mais autre chose qui est le débat de personnes et qui est indigne  de celui qui a été sur les bancs de Socrate ou dePlaton. Laissez en paix reposer les morts et ne cherchez pas la petite bête là ou elle n’est pas. Je ne vous savais pas déjà médecin légiste qui fait aussi des autopsies et diagnostique des « poisons ». Arrêtez Bruno, cela n’est pas digne de vous,cessez de faire honte aux études combien nobles de philosophie. Lorsqu’on a été confronté aux textes cartésien, kantien, hégélien et nietzschéen au moins il y a des choses qui ne peuvent plus figurer dans votre vocabulaire. Le Gabon n’est pas attaqué, c’est plutôt vous qui voulez l’attaquer. Toutefois, je vous prie d’arrêter de semer la zizanie dans les cœurs et les esprits des gabonais qui ont énormément de choses à faire afin de faire sortir leur pays du retard accumulé par vos amis opposants qui n’ont aucune idée si ce n’est que la simple contestation. Le nouveau pouvoir a t-il réellement besoin d’empoissonner qui ? Pour quelles raisons ? Le Gabon sauf si nous ne parlons pas du même pays est un pays ou les hommes et les femmes se sont toujours exprimés en toute liberté. Nous avons encore en souvenir les différentes marches de protestation des années 90 jusqu’à la vôtre du 07 aout dernier. Quand bien même vous avez à chaque fois violé les dispositions réglementaires en enfreignant la consigne du ministère de l’intérieur via la préfecture de police mais elles ont tout de même eu lieu et sans heurts majeurs, sauf pour bien évidemment ramener à l’ordre ceux qui veulent en profiter pour faire du vandalisme. Les hommes sont libres au Gabon mais dans le respect des règles en vigueur et ça vous le savez plus que bien vu l’environnement dans lequel vous vivez au quotidien. Quand aurons un véritable état de droit au Gabon pour tous et pas seulement appliqué sur le PDG ? Car, je remarque et j’en profite aussi pour répondre à vos amis qui ont estimé qu’il y a eu fraude aux élections partielles. Comme par hasard au Gabon les lois sont faites pour que seuls les pédégistes les appliquent et quand elles ne vous arrangent pas vous criez sur tous les toits. Quand l’opposition gagne une élection alors elle est transparente, et lorsque le PDG gagne il y a fraude, monsieur Moubamba cher confrère philosophe, c’est de la sorcellerie politique véritable et pas celle que vous théorisez. Il n’y a que le PDG qui a  en permanence le souci du respect des signes et des symboles de la République, vous les opposants n’hésitez pas à les bafouer dès que cela vous enchante.L’opposition gabonaise en manque d’idées fait dans la forfanterie et pratique la sorcellerie politique. A titre d’exemple, il n’y a qu’au PDG ou des gens ont été démis de leurs fonctions au secrétariat exécutif pour incompatibilité avec le statut de fonctionnaire, les autres continuent de faire la sourde oreille faisant dans le dilatoire. Entre autres, lorsque les hiérarques du PDG se sont vus retirés leurs passeports de service ou diplomatique  pour défaut de fonction cela n’a pas couru les rues. Cependant il a suffit que quelques opposants soient empêchés de voyager pour les mêmes raisons pour que le monde entier soit secoué et remué juste pour des citoyens qui ont du mal à se mettre en règle ,et surtout nostalgiques d’un ordre ancien. Voilà votre opposition, tels des hommes  en robe de chambre.

Par ailleurs, la mort est une réalité avec laquelle il ne faut guère jouer monsieurMOUBAMBA. Ne jouez pas avec des familles qui ont perdu un des leurs en instrumentalisant ce débat là sur des faits politiques. Si entre vous opposants vous vous faites la guerre pour des positionnements cela n’engage que vous mais n’emmenez pas le PDG. Distingué camarade Ali ne cesse de vous dire trêve de politique maintenant il est temps de travailler. Nous attendons votre contribution à l’émergence du Gabon et non une contribution qui sème la zizanie et la confusion dans l’esprit et les cœurs du peuple. Il faut savoir laisser avancer les autres, cher confrère, c’est cela aussi être un bon philosophe. Soyez humble comme le pèreSocrate et reconnaissez pour un instant que ce que vous savez n’est rien par rapport à ce qui vous reste à apprendre. Contentez vous s’il vous pait de bien faire votre travail d’opposant que vous avez choisi en toute liberté et vous verrez que le pays ira mieux. Quand le PDG fait mal dites le et quand il fait bien dites le aussi a répété leDistingué camarade Ali lors de son discours de vœux à la presse nationale. Et comme je sais que vous en êtes un,  essayez je vous en prie de ne plus nous distraire à l’avenir. Le philosophe selon Aristote est celui qui sait tout autant que faire se peut. Inspirez vous en cher confrère non pour  prêcher le faux mais pour dire la vérité au peuple. Vous n’êtes pas encore capable de diriger le Gabon mettez vous à l’école du PDG vous apprendrez beaucoup plus que ce que savez. A titre de rappel  lePDG à lui seul  formerait cinq gouvernements de 40 ministres s’il le faut et ce ne seront pas des ministres incompétents. C’est le plus grand vivier de compétences nationales et vous le stigmatisez de la sorte ? Non confrère Vous n’êtes pas un rêveur  mais vous savez bien ce que vous faites. Et arrêtez car je vous vois et entre athéniens nous savons quel chemin tentez-vous d’emprunter. Je vous signale juste qu’il ne mènera nulle part. Mais ce n’est pas à cette allure que vous aurez une place au bord de mer ni au gouvernement de l’émergence. dans vos guéguerres de bas niveau. Le nouvel exécutif n’a nul besoin de distiller des poisons, il est très occupé à faire du Gabon un pays qui bouge un pays émergent. C’est vous qui distribuez des poisons dans la conscience du peuple par vos intoxications intellectuelles et la haine que vous portez à l’endroit de la politique de l’émergence et de son chef de file.

La dernière chose sur laquelle j’insiste est que les gouvernements d’union nationale sont faits non pas tant que le PDG ne peut le faire tout seul, juste que feu le Grand camarade a toujours voulu associer tous les fils de la nation à la gestion du pays quelque soit leur bord politique. Le Distingué camarade Ali s’inscrit dans la même logique de partage, de dialogue toutefois il vous demande de regagner la maison il y a de la place pour tout le monde. Il n’est pas encore trop tard la porte est ouverte et il n’y a pas de honte à reconnaitre que l‘on était sur le mauvais chemin, et pour un philosophe encore mieux. Le Gabon a besoin de vous Bruno pas dans la lutte armée ni la violence mais dans la construction en paix d’un idéal de développement un désir de voir ce pays porté aux plus hautes cimes du continent. Tout cela « ensemble » je dis bien « ensemble ».

 

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le 13-06-2010 20:55

La Cour constitutionnelle confirme le réalisme du PDG sur le terrain lors des législatives et sénatoriales partielles du 6 juin


La Cour constitutionnelle a confirmé vendredi dernier, les résultats des élections législatives et sénatoriales partielles du 6 juin, rendus publics mercredi par le ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou.
 


Selon le verdict de la plus haute institution du pays en matière électorale, le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) a remporté 3 sièges de députés sur les 5 en compétition et raflé les 3 sièges de sénateurs en lice.

En revanche l’Union nationale, le nouveau bébé de l’opposition a obtenu deux députés sur quatre présentés. Il s’agit de l’ancien Premier ministre, Jean Eyeghé Ndong, vice-président de l’UN qui a laminé le leader du Rassemblement pour le Gabon(RPG), Paul Mba Abessole, porte étendard de la majorité républicaine pour l’émergence, 80,64% contre 19,38% de suffrages exprimés.

Le secrétaire exécutif de l’UN, l’ancien ministre de l’Intérieur, André Mba Obame a largement battu à Médouneu son adversaire du RPG, Claude Guy Assey, 66,89% contre 33,11% des voix.

Par contre les trois députés élus du parti au pouvoir sont : l’actuel ministre du pétrole, Julien Nkoghé Bekalé qui terrassé l’ancien baron du PDG, Casimir Oyé Mba, passé à l’opposition dans le département du Komo-Mondah 71,16% contre 19,66% des suffrages, le ministre de l’Energie, Régis Immongault qui a ridiculisé à Lastourville, l’ancien ministre, Paulette Missambo, également membre influente de l’UN, 81,28% contre 18,72% des voix et Charles Otando qui a battu dans le département de Bendje, le candidat de l’Union pour la nouvelle République (UNPR, opposition), Gabriel Ogoula Monyama 53,87 contre 46,13 de suffrages..

Par ailleurs les vainqueurs des sénatoriales sont Adeste Dilivie Yossangoye (PDG) à Lastourville, Fidèle Afatoghé Nsolé (PDG) à Ovan et Augustin Ndong Oyono (PDG) dans le départemetn du Ntem (nord).
 
 
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le 12-06-2010 23:13

Le site du Futur aéroport international d’Andem (Kango) visité par Paul Biyoghé Mba


Le premier ministre, Paul Biyoghé Mba, a visité vendredi dernier, le site sur lequel sera construit le futur aéroport international d’Andem, à une soixantaine de km de Libreville, a-t-on appris ce samedi auprès de la presse de la primature.

 

Lors de cette sortie, le chef du gouvernement était accompagné des membres du gouvernement concernés par ce projet et de leurs techniciens respectifs. Il s’agissait notamment du ministre de l’Equipement, des infrastructures et de l’Aménagement du territoire, Flavien Nzengui Nzoundou, ainsi que du ministre des Transports, Remy Ossélé Ndong, du gouverneur de la province de l’Estuaire, Nzé Thomas Débouillon, entre autres.

Paul Biyoghé Mba a donc pu se rendre compte dans un premier temps, de l’étendue du terrain estimé à 10.000 hectares et dans second temps, des travaux qui y sont effectués (terrassement tous azimuts).

Cet aéroport aura une piste d’atterrissage long de 3 km et 1,5 km de large et sera seulement à 10 km de fleuve Komo qui donne son nom au département. 

Ainsi, Flavien Nzengui Nzoundou n’a pas manqué de rassurer le chef du gouvernement sur l’éventualité que d’avoir une double piste dans cet aéroport.

Satisfait de ce qu’il a vu et entendu sur ce site, le premier ministre a demandé aux responsables de ce dossier de sécuriser toute cette zone devenue propriété de l’Etat.

 

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le 12-06-2010 21:36

Le succès du président élu sera le succès de tous les Gabonais


  »Le succès du président élu le 30 août sera le succès de tous les gabonais », a déclaré mardi à Libreville, le président de l’Assemblée nationale gabonaise, Guy Ndzouba Ndama, à l’ouverture de la 2e session ordinaire de l’Assemblée nationale.

 

 

M. Ndzouba Ndama a, par la même occasion, invité ses compatriotes au sortir du scrutin de dimanche 30 août, à la cohésion, à l’unité et à la paix, quel que soit le président élu, ingrédients essentiels pour bâtir un pays prospère et émergent en Afrique.

 »Nous avons élu le dimanche 30 août le président de tous les Gabonais. Son succès sera celui du Gabon. Il passe par le concours actif du parlement (Assemblée nationale et Sénat) que nous formons. Quelle que soit la difficulté des temps, nous devrions avoir la confiance en notre pays, en son peuple composé de nombreux atouts dans tous les domaines », a-t-il dit.

Pour le président de l’Assemblée nationale, l’intersession parlementaire a été marquée par un événement d’envergure majeure, l’élection d’un nouveau chef d’Etat. Celle-ci, a-t-il fait remarquer, sera une période historique pour les parlementaires gabonais.

Au terme du scrutin de dimanche 30 août 2009, sera dévoilé mercredi, comme l’a laissé entendre lundi dernier le président de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), René Aboghé Ella, à l’issue d’une plénière, le nouveau président de la République gabonaise  »que le peuple gabonais aurait choisi dans le calme et la sérénité pour présider aux destinés de notre pays », a conclu Guy Ndzouba Ndama.

La deuxième session de la première chambre du parlement gabonais (Sénat) devrait, selon l’annonce officielle du bureau de cette institution, s’ouvrir ce mardi dans l’après-midi.

 

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