Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 23-07-2010 17:44

Ali Bongo Ondimba visite le site des fossiles pluricellulaires découvert à Franceville

Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a visité lundi le site de Moulendé à la sortie ouest de Franceville où a été découvert en juin dernier 250 fossiles en excellent état de conservation portant sur l’existence d’organismes pluricellulaires datant de 2,1 milliards d’années.

Au cours de cette visite, le numéro un gabonais était accompagné de plusieurs de ses ministres.

Cette découverte place le Gabon au centre de la science de la vie dont les origines étaient plutôt datées en terme de millions d’années au lieu de milliards d’années.

Jusque là, les premières formes de vie complexe ; dotées de plusieurs cellules, remontaient à près de 600 millions d'années. De formes et de dimensions diverses, ces nouveaux fossiles supposent une origine de la vie organisée et complexe beaucoup plus précoce que celle admise jusqu'à aujourd'hui. Ainsi, ils révisent les connaissances actuelles sur l'apparition de la vie sur terre.

L’enjeu est de grande importance. Le Chef de l’Etat avait donc de bonnes raisons pour s’y rendre en présence de l’étudiant Gabonais Frantz Ossa Ossa, l’homme par qui tout a commencé, afin de comprendre le phénomène qui, d’ores et déjà fera du Gabon le centre de toutes les attentions sur le plan international.

Pour soutenir sa thèse de doctorat à l’université de Poitiers où il suit ses études supérieures, l’étudiant Ossa Ossa s’est rendu au Gabon pour recueillir des roches sur lesquelles il devait axer sa soutenance. Mais le caractère curieux des ces roches dans lesquelles ils ont d’ailleurs trouvé des fossiles pluricellulaires ont attiré l’attention de M. El Albani avec qui il travaillait.

Un examen minutieux a permis de les dater à plus de 2 milliards d’années !

Huit jours plus tôt, le ministre des mines, Julien Nkoghé Békalé s’est rendu sur le même site et a exigé à l’entreprise Socoba qui y extrayait de la caillasse pour le bitumage des routes de stopper toute activité jusqu’à nouvel ordre. Sur le coup, le site a été interdit au public.

Le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba s’est ensuite rendu au stade de Franceville pour se rendre compte de l’état d’avancement des travaux de construction de celui-ci.

Ali Bongo Ondimba séjourne dans le Haut-Ogooué depuis dimanche dernier après avoir parcouru par la route une bonne partie de l’arrière pays, en passant les provinces de l’Estuaire, du Moyen-Ogooué, de l’Ogooué-Ivindo, de l’Ogooué-Lolo.

Quelques semaines avant son épouse, Sylvia Bongo Ondimba avait entrepris le même voyage pour être au contact des populations du Gabon profond.
 


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le 20-07-2010 17:59

L'UPG: Vingt ans sans congrès c’est un peu gênant

Les responsables de l’Union du peuple gabonais (UPG) de Pierre Mamboundou organise  le 21è anniversaire de la création de cette formation politique. Le fait majeur de l’UPG est que ce Parti politique depuis sa création n’a jamais organisé de Congrès. Instance dit-on supérieur pour prendre les décisions concernant les militants de ladite structure politique.

Sauf absence de textes constituants, cela montre une violation flagrante et totale de ces textes qui régissent la formation, curieusement, sous le silence approbateur des militants de l’UPG dans ce rôle de mutation de leurs partis en clubs de soutien à sa personne. . Si prompts pourtant à accabler les autres de pratique anti-démocratique.

M. Pierre Mamboundou confisque ainsi son parti. Ce qui fait que ces détracteurs lui ont taillé une image d’autocrate. Puisque ne se souciant plus du tout de la conformité des statuts qui fondent le parti et en la matière, l'attitude du président de l’UPG est pour le moins étrange. En clair, le président de l’UPG, qui se veut très à cheval sur l'application des textes au Gabon, aurait dû organiser au moins deux congrès ordinaire depuis la création de son parti le14 juillet 1989.

La faute de Mamboundou est double : non seulement il n'a pas organisé de congrès, mais aussi, étant donné que l’organisation d’un congrès de parti est un acte démocratique qui permet le débat contradictoire, il bloque de ce fait, le renouvellement des instances du parti si elles existent. Etant donné que le président de l’UPG est entouré de militants plus prompts à voir le grain de paille qui est dans l'oeil des militants d’autres partis que la poutre qu'ils ont dans le leur, alors ils dorment tranquille sous leur silence.

Ce parti semble même avoir érigé cette situation qui devrait être exceptionnelle, en une norme. La question de la place du débat dans les partis politiques est d’autant plus importante que ceux-ci sont contestés et critiqués. Or il semble qu’il est reproché au président de l’UPG de ne pas être à l’écoute des ‘’gens ordinaires’’ et de ne rien avoir à proposer pour résoudre les problèmes de la vie quotidienne.

Pourtant, depuis deux décennies, le président de l’UPG aurait pu tenter de répondre aux critiques en s’ouvrant à la société civile avec des procédures de démocratie participative en y organisant les congrès. Certes on pourrait se demander si les partis sont-ils les mieux placés pour être le lieu du débat politique ?

D’aucun affirme que l’approche concurrentielle met en doute l’utilité de la démocratie interne parce que les adhérents ne sont pas nécessairement représentatifs de l’électorat, ni donc de ses revendications. Ainsi, de telles procédures sont susceptibles d’affaiblir les organisations des congrès, non seulement parce que les militants radicaux tendent à promouvoir des propositions impopulaires mais aussi parce que la consultation limite la créativité.

Il semblerait même pour les tenants de cette démarche que débattre, approfondir et faire avancer des idées dans un parti politique serait catastrophique parce qu’on ne peut pas mélanger la réflexion intellectuelle et les stratégies de pouvoir. L’on ne peut s’empêcher de voir dans cette vision pessimiste, même si elle est réaliste, que la réflexion, qui suppose élaborer un projet, s’oppose à l’action qui sous entend conquête et exercice du pouvoir d’Etat. Elle soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses.

L’inconvénient de telles pratiques ce qu’elles contribuent au mal-être des adhérents, qui ne se sentent pas suffisamment écoutés. Elles renforcent dans le public le sentiment que l’UPG ne constitue pas un lieu de débat, et qu’elle n’est donc pas à la hauteur de sa mission démocratique.

 


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le 20-07-2010 15:05

Une démarche, un style, une action

 

La caravane « Gabon profond », lancée le 15 juin dernier par Sylvia Bongo Ondimba, avait inauguré une démarche visant l’exploration de l’arrière-pays, le dialogue direct avec les populations des contrées visitées pour bâtir un lien étroit en vue de recueillir leurs préoccupations. Cela, pour trouver des solutions urgentes et pérennes aux problèmes soulevés par ces communautés.

La caravane « Gabon profond », lancée le 15 juin dernier par Sylvia Bongo Ondimba, avait inauguré une démarche visant l’exploration de l’arrière-pays, le dialogue direct avec les populations des contrées visitées pour bâtir un lien étroit en vue de recueillir leurs préoccupations. Cela, pour trouver des solutions urgentes et pérennes aux problèmes soulevés par ces communautés.

Si, trois jours durant, l’épouse du président de la République avait réussi à nouer une relation de confiance avec ces populations de l’axe Libreville-Franceville, la deuxième phase de cette campagne de proximité engagée samedi et dimanche derniers avec le président de la République, lui-même en ouverture du convoi, s’explique par la volonté du couple présidentiel gabonais d’imprimer une nouvelle démarche à son action politique.

Celle-ci, loin des actions régulièrement initiées par les hommes politiques allant au contact des populations avec des non-dits électoralistes, teintés de démagogie, se veut davantage participative en ce qu’elle porte le contrat de confiance qu’Ali Bongo Ondimba veut passer avec le peuple gabonais. Car ce contrat se décline à travers le contact direct au cours duquel ses concitoyens visités expriment des besoins auxquels le président apporte des réponses destinées à améliorer leurs conditions de vie. C’est ce que le numéro 1 gabonais a fait le week-end écoulé, en compagnie de son épouse et de plusieurs membres du gouvernement.

De Kango, Oyane 4, Ekook, Ndjolé, Massenguelani, Boundji, Lastourville, Mikouyi, Matsatsa, en passant par Mounana et Moanda avant l’ultime étape Franceville, la démarche aura consisté à poser les premiers actes répondant à leurs légitimes attentes. Ce d’autant qu’après avoir exprimé des besoins urgents lors du passage de la Première Dame, un mois plus tôt, lesquels portaient naturellement sur leurs attentes immédiates, Ali Bongo Ondimba ne pouvait pas s’y rendre les mains vides. Comme il est de coutume dans nos traditions, un enfant apporte toujours des présents à ses parents lorsqu’il leur rend visite. C’est ainsi qu’Ali Bongo Ondimba, joyeux de retrouver des compatriotes, a remis des lots de matériels de tous genres et utiles autant pour leurs activités quotidiennes que leurs commodités de vie. Les besoins en santé et de l’éducation répondaient bien naturellement à leurs requêtes.

La démarche a, par ailleurs, permis l’exploration de cette partie du territoire confrontée, comme d’autres, à des problèmes de développement. La route reste un véritable casse-tête pour les usagers et les autorités politiques. Le chef de l’Etat a pu se rendre compte de la difficulté et aussi de l’énorme tâche à laquelle le pays est confronté dans ce domaine. Il y a beaucoup à faire. Même les caravaniers ont fait le même constat.

Les attentes légitimes des populations sont nombreuses; elles touchent plusieurs aspects et secteurs. Elles exigeaient du chef de l’Etat, arrivé à la magistrature suprême il y a près d’un an, d’en apprécier l’ampleur. Il l’a fait. En outre, il a eu plaisir à échanger chaque fois avec les Gabonais rencontrés durant son parcours et à réitérer son ambition. Il ne s’est guère livré à des promesses démagogiques. C’est un élément constitutif du style qui est le sien.

Effectivement, le style Ali Bongo Ondimba a parfaitement collé avec les attentes de ses compatriotes et avec l’image que ces derniers souhaitent garder de tous les hommes politiques. C’est-à-dire, des hommes simples, humbles et accessibles, au contact facile, proches de leurs compatriotes, partageant leurs peines et douleurs, conscients de leurs attentes. On a vu, durant ces deux jours, un chef d’Etat que d’aucuns pensaient très éloigné. Il a plutôt démontré qu’il est très à l’aise, partageant des moments inédits avec des villageois qui ne pouvaient s’imaginer partager des moments avec le président de la République. Plusieurs villageois l’ont attesté et n’en croient pas leurs yeux.

Dans tous les cas, après Sylvia Bongo Ondimba, qui n’avait pas hésité de se fondre au milieu des populations, le président de la République a véritablement surpris plus d’un. Discutant avec les uns, partageant un mets populaire « coupés-coupés » avec d’autres, passant la nuit dans un village sous une tente, l’homme d’Etat s’est approprié le vécu des gouvernés et dispose dorénavant d’une meilleure connaissance du milieu rural.

Le chef de l’Etat gabonais, dont c’était la première initiative du genre, s’est doté là des éléments indispensables à l’action politique qu’il entend mener en direction des populations. En invitant plusieurs membres du gouvernement dans cette démarche, les enseignements tirés de cette caravane Gabon profond, devraient, assurément, permettre la prise de décisions ou mesures idoines en vue de la mise en œuvre de sa politique. Ce furent des moments inoubliables et à renouveler.
Si, trois jours durant, l’épouse du président de la République avait réussi à nouer une relation de confiance avec ces populations de l’axe Libreville-Franceville, la deuxième phase de cette campagne de proximité engagée samedi et dimanche derniers avec le président de la République, lui-même en ouverture du convoi, s’explique par la volonté du couple présidentiel gabonais d’imprimer une nouvelle démarche à son action politique.

Celle-ci, loin des actions régulièrement initiées par les hommes politiques allant au contact des populations avec des non-dits électoralistes, teintés de démagogie, se veut davantage participative en ce qu’elle porte le contrat de confiance qu’Ali Bongo Ondimba veut passer avec le peuple gabonais. Car ce contrat se décline à travers le contact direct au cours duquel ses concitoyens visités expriment des besoins auxquels le président apporte des réponses destinées à améliorer leurs conditions de vie. C’est ce que le numéro 1 gabonais a fait le week-end écoulé, en compagnie de son épouse et de plusieurs membres du gouvernement.

De Kango, Oyane 4, Ekook, Ndjolé, Massenguelani, Boundji, Lastourville, Mikouyi, Matsatsa, en passant par Mounana et Moanda avant l’ultime étape Franceville, la démarche aura consisté à poser les premiers actes répondant à leurs légitimes attentes. Ce d’autant qu’après avoir exprimé des besoins urgents lors du passage de la Première Dame, un mois plus tôt, lesquels portaient naturellement sur leurs attentes immédiates, Ali Bongo Ondimba ne pouvait pas s’y rendre les mains vides. Comme il est de coutume dans nos traditions, un enfant apporte toujours des présents à ses parents lorsqu’il leur rend visite. C’est ainsi qu’Ali Bongo Ondimba, joyeux de retrouver des compatriotes, a remis des lots de matériels de tous genres et utiles autant pour leurs activités quotidiennes que leurs commodités de vie. Les besoins en santé et de l’éducation répondaient bien naturellement à leurs requêtes.

La démarche a, par ailleurs, permis l’exploration de cette partie du territoire confrontée, comme d’autres, à des problèmes de développement. La route reste un véritable casse-tête pour les usagers et les autorités politiques. Le chef de l’Etat a pu se rendre compte de la difficulté et aussi de l’énorme tâche à laquelle le pays est confronté dans ce domaine. Il y a beaucoup à faire. Même les caravaniers ont fait le même constat.

Les attentes légitimes des populations sont nombreuses; elles touchent plusieurs aspects et secteurs. Elles exigeaient du chef de l’Etat, arrivé à la magistrature suprême il y a près d’un an, d’en apprécier l’ampleur. Il l’a fait. En outre, il a eu plaisir à échanger chaque fois avec les Gabonais rencontrés durant son parcours et à réitérer son ambition. Il ne s’est guère livré à des promesses démagogiques. C’est un élément constitutif du style qui est le sien.

Effectivement, le style Ali Bongo Ondimba a parfaitement collé avec les attentes de ses compatriotes et avec l’image que ces derniers souhaitent garder de tous les hommes politiques. C’est-à-dire, des hommes simples, humbles et accessibles, au contact facile, proches de leurs compatriotes, partageant leurs peines et douleurs, conscients de leurs attentes. On a vu, durant ces deux jours, un chef d’Etat que d’aucuns pensaient très éloigné. Il a plutôt démontré qu’il est très à l’aise, partageant des moments inédits avec des villageois qui ne pouvaient s’imaginer partager des moments avec le président de la République. Plusieurs villageois l’ont attesté et n’en croient pas leurs yeux.

Dans tous les cas, après Sylvia Bongo Ondimba, qui n’avait pas hésité de se fondre au milieu des populations, le président de la République a véritablement surpris plus d’un. Discutant avec les uns, partageant un mets populaire « coupés-coupés » avec d’autres, passant la nuit dans un village sous une tente, l’homme d’Etat s’est approprié le vécu des gouvernés et dispose dorénavant d’une meilleure connaissance du milieu rural.

Le chef de l’Etat gabonais, dont c’était la première initiative du genre, s’est doté là des éléments indispensables à l’action politique qu’il entend mener en direction des populations. En invitant plusieurs membres du gouvernement dans cette démarche, les enseignements tirés de cette caravane Gabon profond, devraient, assurément, permettre la prise de décisions ou mesures idoines en vue de la mise en œuvre de sa politique. Ce furent des moments inoubliables et à renouveler.

 


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le 19-07-2010 13:22

Des flagrantes irrégularités dans la gestion financière d’un Maire militant de l’Union Nationale

Jean Rémi Lépémangoye, Maire (Union Nationale) de la Commune de Moanda, est placé sous mandat de dépôt pour malversations financières.

 

Il lui est reproché, à en croire les résultats des enquêtes menées par la Chambre provinciale des Comptes de Franceville auprès de Trésor et de la Mairie, des flagrantes irrégularités dans la gestion de 120 millions de FCFA alloués par l’Etat pour le pavage des artères du marché de Moanda.

 

Estimés à 80 millions de FCFA, les travaux qui devraient être financés à 40 % par l’Etat, ont été, après un appel d’offres, confiés à un opérateur privé.

 

 


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