La caravane « Gabon profond », lancée le 15 juin dernier par Sylvia Bongo Ondimba, avait inauguré une démarche visant l’exploration de l’arrière-pays, le dialogue direct avec les populations des contrées visitées pour bâtir un lien étroit en vue de recueillir leurs préoccupations. Cela, pour trouver des solutions urgentes et pérennes aux problèmes soulevés par ces communautés.
La caravane « Gabon profond », lancée le 15 juin dernier par Sylvia Bongo Ondimba, avait inauguré une démarche visant l’exploration de l’arrière-pays, le dialogue direct avec les populations des contrées visitées pour bâtir un lien étroit en vue de recueillir leurs préoccupations. Cela, pour trouver des solutions urgentes et pérennes aux problèmes soulevés par ces communautés.
Si, trois jours durant, l’épouse du président de la République avait réussi à nouer une relation de confiance avec ces populations de l’axe Libreville-Franceville, la deuxième phase de cette campagne de proximité engagée samedi et dimanche derniers avec le président de la République, lui-même en ouverture du convoi, s’explique par la volonté du couple présidentiel gabonais d’imprimer une nouvelle démarche à son action politique.
Celle-ci, loin des actions régulièrement initiées par les hommes politiques allant au contact des populations avec des non-dits électoralistes, teintés de démagogie, se veut davantage participative en ce qu’elle porte le contrat de confiance qu’Ali Bongo Ondimba veut passer avec le peuple gabonais. Car ce contrat se décline à travers le contact direct au cours duquel ses concitoyens visités expriment des besoins auxquels le président apporte des réponses destinées à améliorer leurs conditions de vie. C’est ce que le numéro 1 gabonais a fait le week-end écoulé, en compagnie de son épouse et de plusieurs membres du gouvernement.
De Kango, Oyane 4, Ekook, Ndjolé, Massenguelani, Boundji, Lastourville, Mikouyi, Matsatsa, en passant par Mounana et Moanda avant l’ultime étape Franceville, la démarche aura consisté à poser les premiers actes répondant à leurs légitimes attentes. Ce d’autant qu’après avoir exprimé des besoins urgents lors du passage de la Première Dame, un mois plus tôt, lesquels portaient naturellement sur leurs attentes immédiates, Ali Bongo Ondimba ne pouvait pas s’y rendre les mains vides. Comme il est de coutume dans nos traditions, un enfant apporte toujours des présents à ses parents lorsqu’il leur rend visite. C’est ainsi qu’Ali Bongo Ondimba, joyeux de retrouver des compatriotes, a remis des lots de matériels de tous genres et utiles autant pour leurs activités quotidiennes que leurs commodités de vie. Les besoins en santé et de l’éducation répondaient bien naturellement à leurs requêtes.
La démarche a, par ailleurs, permis l’exploration de cette partie du territoire confrontée, comme d’autres, à des problèmes de développement. La route reste un véritable casse-tête pour les usagers et les autorités politiques. Le chef de l’Etat a pu se rendre compte de la difficulté et aussi de l’énorme tâche à laquelle le pays est confronté dans ce domaine. Il y a beaucoup à faire. Même les caravaniers ont fait le même constat.
Les attentes légitimes des populations sont nombreuses; elles touchent plusieurs aspects et secteurs. Elles exigeaient du chef de l’Etat, arrivé à la magistrature suprême il y a près d’un an, d’en apprécier l’ampleur. Il l’a fait. En outre, il a eu plaisir à échanger chaque fois avec les Gabonais rencontrés durant son parcours et à réitérer son ambition. Il ne s’est guère livré à des promesses démagogiques. C’est un élément constitutif du style qui est le sien.
Effectivement, le style Ali Bongo Ondimba a parfaitement collé avec les attentes de ses compatriotes et avec l’image que ces derniers souhaitent garder de tous les hommes politiques. C’est-à-dire, des hommes simples, humbles et accessibles, au contact facile, proches de leurs compatriotes, partageant leurs peines et douleurs, conscients de leurs attentes. On a vu, durant ces deux jours, un chef d’Etat que d’aucuns pensaient très éloigné. Il a plutôt démontré qu’il est très à l’aise, partageant des moments inédits avec des villageois qui ne pouvaient s’imaginer partager des moments avec le président de la République. Plusieurs villageois l’ont attesté et n’en croient pas leurs yeux.
Dans tous les cas, après Sylvia Bongo Ondimba, qui n’avait pas hésité de se fondre au milieu des populations, le président de la République a véritablement surpris plus d’un. Discutant avec les uns, partageant un mets populaire « coupés-coupés » avec d’autres, passant la nuit dans un village sous une tente, l’homme d’Etat s’est approprié le vécu des gouvernés et dispose dorénavant d’une meilleure connaissance du milieu rural.
Le chef de l’Etat gabonais, dont c’était la première initiative du genre, s’est doté là des éléments indispensables à l’action politique qu’il entend mener en direction des populations. En invitant plusieurs membres du gouvernement dans cette démarche, les enseignements tirés de cette caravane Gabon profond, devraient, assurément, permettre la prise de décisions ou mesures idoines en vue de la mise en œuvre de sa politique. Ce furent des moments inoubliables et à renouveler.
Si, trois jours durant, l’épouse du président de la République avait réussi à nouer une relation de confiance avec ces populations de l’axe Libreville-Franceville, la deuxième phase de cette campagne de proximité engagée samedi et dimanche derniers avec le président de la République, lui-même en ouverture du convoi, s’explique par la volonté du couple présidentiel gabonais d’imprimer une nouvelle démarche à son action politique.
Celle-ci, loin des actions régulièrement initiées par les hommes politiques allant au contact des populations avec des non-dits électoralistes, teintés de démagogie, se veut davantage participative en ce qu’elle porte le contrat de confiance qu’Ali Bongo Ondimba veut passer avec le peuple gabonais. Car ce contrat se décline à travers le contact direct au cours duquel ses concitoyens visités expriment des besoins auxquels le président apporte des réponses destinées à améliorer leurs conditions de vie. C’est ce que le numéro 1 gabonais a fait le week-end écoulé, en compagnie de son épouse et de plusieurs membres du gouvernement.
De Kango, Oyane 4, Ekook, Ndjolé, Massenguelani, Boundji, Lastourville, Mikouyi, Matsatsa, en passant par Mounana et Moanda avant l’ultime étape Franceville, la démarche aura consisté à poser les premiers actes répondant à leurs légitimes attentes. Ce d’autant qu’après avoir exprimé des besoins urgents lors du passage de la Première Dame, un mois plus tôt, lesquels portaient naturellement sur leurs attentes immédiates, Ali Bongo Ondimba ne pouvait pas s’y rendre les mains vides. Comme il est de coutume dans nos traditions, un enfant apporte toujours des présents à ses parents lorsqu’il leur rend visite. C’est ainsi qu’Ali Bongo Ondimba, joyeux de retrouver des compatriotes, a remis des lots de matériels de tous genres et utiles autant pour leurs activités quotidiennes que leurs commodités de vie. Les besoins en santé et de l’éducation répondaient bien naturellement à leurs requêtes.
La démarche a, par ailleurs, permis l’exploration de cette partie du territoire confrontée, comme d’autres, à des problèmes de développement. La route reste un véritable casse-tête pour les usagers et les autorités politiques. Le chef de l’Etat a pu se rendre compte de la difficulté et aussi de l’énorme tâche à laquelle le pays est confronté dans ce domaine. Il y a beaucoup à faire. Même les caravaniers ont fait le même constat.
Les attentes légitimes des populations sont nombreuses; elles touchent plusieurs aspects et secteurs. Elles exigeaient du chef de l’Etat, arrivé à la magistrature suprême il y a près d’un an, d’en apprécier l’ampleur. Il l’a fait. En outre, il a eu plaisir à échanger chaque fois avec les Gabonais rencontrés durant son parcours et à réitérer son ambition. Il ne s’est guère livré à des promesses démagogiques. C’est un élément constitutif du style qui est le sien.
Effectivement, le style Ali Bongo Ondimba a parfaitement collé avec les attentes de ses compatriotes et avec l’image que ces derniers souhaitent garder de tous les hommes politiques. C’est-à-dire, des hommes simples, humbles et accessibles, au contact facile, proches de leurs compatriotes, partageant leurs peines et douleurs, conscients de leurs attentes. On a vu, durant ces deux jours, un chef d’Etat que d’aucuns pensaient très éloigné. Il a plutôt démontré qu’il est très à l’aise, partageant des moments inédits avec des villageois qui ne pouvaient s’imaginer partager des moments avec le président de la République. Plusieurs villageois l’ont attesté et n’en croient pas leurs yeux.
Dans tous les cas, après Sylvia Bongo Ondimba, qui n’avait pas hésité de se fondre au milieu des populations, le président de la République a véritablement surpris plus d’un. Discutant avec les uns, partageant un mets populaire « coupés-coupés » avec d’autres, passant la nuit dans un village sous une tente, l’homme d’Etat s’est approprié le vécu des gouvernés et dispose dorénavant d’une meilleure connaissance du milieu rural.
Le chef de l’Etat gabonais, dont c’était la première initiative du genre, s’est doté là des éléments indispensables à l’action politique qu’il entend mener en direction des populations. En invitant plusieurs membres du gouvernement dans cette démarche, les enseignements tirés de cette caravane Gabon profond, devraient, assurément, permettre la prise de décisions ou mesures idoines en vue de la mise en œuvre de sa politique. Ce furent des moments inoubliables et à renouveler.
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