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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 07-05-2011 00:31

le rapport des travaux des Secrétaires généraux remis au Premier Ministre


Au terme de plusieurs  jours de travaux et de réflexions sur le devenir de leur métier, le rapport ayant sanctionné la fin de ce travail de fourmis a été remis au premier ministre Chef du Gouvernement, Paul Biyoghé Mba, le 5 mai 2011 à Libreville, en présence du ministre délégué aux Budgets, en charge de la Fonction Publique, Guy Bertrand Mapangou.
Pour le représentant du ministre de tutelle empêché, la tenue de cette rencontre résulte d’une réelle volonté des autorités ministérielles à redonner une image à visage humain à la fonction de Secrétaire général dans une administration. De même qu’elle témoigne de la détermination de ce département ministériel à dépoussiérer les méthodes de travail des différents responsables administratifs dans l’exercice de leurs fonctions.

Le premier ministre qui recevait ce rapport a pour sa part, déclaré que les Secrétaires généraux qui sont la cheville ouvrière d’une administration méritaient une remise en cause permanente afin de donner le meilleur d’eux-mêmes à chaque fois que le besoin se fait sentir. Aussi, a-t-il appelé à une multiplication de ce genre de rencontres pour un meilleur épanouissement des responsables administratifs toute leur carrière durant.

Paul Biyoghé Mba a dit pouvoir compter avec les Secrétaires généraux pour une bonne restitution au sein de leurs administrations respectives des nouvelles connaissances acquises durant ces journées de réflexion.

 


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le 07-05-2011 00:30

Ali Bongo Ondimba a présenté la vision du Gabon


Prenant une part active au 21è sommet économique mondial sur l’Afrique ouvert le 4 mai 2011 à Cap Town en Afrique du Sud, le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba a défendu la position du Gabon et par ricochet,celle de l’Afrique centrale sur les changements climatiques et dont il est d’ailleurs le porte-parole.

A ce sujet, Ali Bongo Ondimba a appelé le continent à s’unir s’il veut se faire entendre dans le concert des nations sur les problèmes de changements climatiques qui menacent durement les continents pauvres, dont l’Afrique. Il s’agissait pour le N°1 gabonais qui était soutenu dans sa démarche par son homologue Sud Africain Jacob Zuma et du premier Ministre Kenyan Raila Odinga, de remettre sur la table des discussions, le problème du climat et de ses implications sur le développement des pays du continent.

L’engagement du président de la République sur les questions liées au climat augure des débats houleux lors de la prochaine conférence mondiale sur le climat qui doit se tenir à Durban, en Afrique du Sud à la fin de l’année en cours.

Il faut pour cela, selon le chef de l’Etat, afficher une position commune qui pourrait faire fléchir les grandes puissances et les amener à respecter leurs engagements. Notamment en ce qui concerne la réduction  du gaz à effet de serre, mais aussi à financer sérieusement les efforts des pays en voie de développement dans le combat mené face  à l’avancée des changements climatiques et ce, en dépit des promesses pas toujours tenues.

En vue de la tenue en terre africaine de la prochaine conférence sur le climat, Ali Bongo Ondimba a indiqué que le continent ne devrait en aucun cas rater cette occasion de montrer de quoi  elle était capable, « L’Afrique n’a pas droit d’échouer chez elle sur une question aussi cruciale pour son avenir que celle des changements climatiques ».

Pour lui, la volonté de faire bloc émanera de celle pour chaque pays du continent, à se donner la ferme volonté d’avancer pour le groupe. Une seule voie ne pouvant pas tenir tête aux grandes puissances, Ali Bongo Ondimba a appelé à jouer en groupe afin de maximiser les chances d’adoption lors de la conférence de décembre prochain à Durban. C’est donc conscient de la faiblesse de l’approche individuelle que le Président de la République fonde son espoir sur l’unité qui avait en son temps, donné des résultats prometteurs à Nagoya où les Africains, après la rencontre de Libreville, avaient adopté  une position commune sur la biodiversité, laquelle avait été défendue par lui au nom du continent tout entier.

En marge de ces échanges, le chef de l’Etat a devisé avec plusieurs opérateurs économiques présents en Afrique du Sud et intéressés par l’environnement des affaires au Gabon

 


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le 06-05-2011 18:01

Diagnostic en cours à la Caistab


La Caisse de stabilisation et de péréquation (CAISTAB) dont la quatrième réunion du comité de pilotage s’est tenue le 4 mai dernier, est l’objet d’une controverse face à laquelle, Mathias Otounga Ossibadjouo, directeur général de la structure, reste serein, préférant attendre les conclusions d’un audit en cours par le cabinet international Deloitte.
 
© Gaboneco / Mathias Otounga Ossibadjouo, Directeur général de la Caistab, le 14 janvier à Libreville.
 
La Caisse de stabilisation et de péréquation (CAISTAB), a été l’objet d’articles dans la presse privée locale, caractérisée par la similitude des chiffres, des arguments et surtout des faits indexés. Il y est question de "mafia au sein de la filière cacao-café", de «gabegie», de grève en tergiversation ou encore de projets annoncés et jamais menés à terme. 

Joint au téléphone, le directeur général de la Caistab, Mathias Otounga Ossibadjouo, s’est presque refusé à donner un écho à ces écrits. On notera toutefois qu’il a laissé entendre que ces machinations allaient s’estomper d’elles-mêmes avec la décision prise par le directoire de cette administration d’organiser désormais «des comites de gestion de la Caistab dont les sessions sont l’occasion de rendre compte de nos activités sur une année civile.»

Le directeur général de la Caistab s’est contenté, par ailleurs, de laisser entendre que «depuis le mois de décembre 2010, le cabinet d'audit et de conseil Deloitte assure un audit de la Caistab commandé par le ministère de tutelle qui logiquement débouchera sur un rapport final. Dans l’attente des ses conclusions, je ne trouve rien à redire.» Pour information, Deloitte est le N°1 mondial des cabinets d’audit et conseil. Présent dans 148 pays, il exerce ses activités dans les domaines de l’Audit, de l’Expertise Comptable, du Conseil en Management, de la Fiscalité et du Droit. 

Assurant qu’il attend les conclusions du rapport final de cet audit, Mathias Otounga a souligné, toujours au téléphone, l’importance «des travaux en cours qui permettront de révéler le diagnostic de la Caistab».

Des sources internes de la Caistab, jointes également au téléphone, ont assuré que les dirigeants de direction générale de l’Administration publique ont pris part, le jeudi 5 mai dernier dans les locaux du comite de privatisation, à la quatrième réunion du comite de pilotage présidée par M. Félix Onkeya, en sa qualité de Président du Comite de gestion. Cette réunion portait sur l’analyse des premières recommandations du Cabinet Deloitte. 

Le 14 janvier dernier, lors de la cérémonie de présentation des vœux de nouvel an, transformée un moment en véritable assemblée générale de cette administration, les agents de la Caistab, par la voix de Mme Pyssame, leur porte-parole, avait donné un satisfécit à leur directeur. L’exposé de celui-ci lors de cette cérémonie avait fait état de ce que la Caistab a favorisé, en 2010, la production de 226,2 tonnes café et 650,1 tonnes de cacao. Elle a réussi à dégager une marge brute de péréquation de 3,89 milliards de francs CFA. Pour la période 2011-2016, Mathias Otounga qui avait défini la Caistab que comme une «administration de partage», a promis mettre le «Cap sur l’Emergence».

On n’en est pas plus informé par rapport aux critiques formulées dans la presse locale qui seront confirmées ou infirmées par le verdict du cabinet d'audit et de conseil Deloitte, que Mathias Otounga semble attendre avec sérénité. 
 


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le 06-05-2011 15:01

L’Onep dénombre 1300 travailleurs expatriés en situation irrégulière


Lancée par l’Organisation nationale des employés du pétrole (Onep) auprès d’une quarantaine de sociétés, le recensement de la main d'œuvre étrangère en situation irrégulière dans le secteur pétrolier au Gabon vient de permettre d’identifier 1300 travailleurs expatriés en situation irrégulière.
 
© D.R. Des travailleurs dans le secteur pétrolier (ici ceux de Total).
 
Le recensement de la main d'œuvre étrangère en situation irrégulière dans le secteur pétrolier au Gabon qui devait initialement être refoulée au plus tard le mardi 12 avril dernier, a permis malgré le retard pris, d’identifier «1300 travailleurs expatriés en situation irrégulière» dans une quarantaine des entreprises représentant 30% des sociétés du secteur au Gabon, explique le secrétaire général adjoint de l’Onep cité par le quotidien "L’union".

«Il y a près de 1300 personnes en situation irrégulière dont nous sommes entrain d’analyser les dossiers. Soit environ 30% de l’effectif des entreprises du secteur au Gabon. Les 70% restants vont être analysés ultérieurement», a indiqué le secrétaire générale adjoint de l’Onep, Hans Landry Ivala.

«Ces employés illégaux ont été localisés après l’analyse des dossiers transmis par leurs employeurs à la cellule chargée d'examiner les dossiers de la main d’œuvre étrangère, regroupant les représentants du gouvernement, du patronat et du syndicat», a-t-il ajouté, toujours dans les colonnes de "L’union".

Selon le secrétaire général adjoint de l’Onep, une commission a été mise en place réunissant l’Onep et l’Union pétrolière gabonaise (Upega, patronat) pour établir deux listes de personnes. La première liste comprendra les postes critiques et la seconde des postes non critiques. Un calendrier sera ensuite établi concernant le refoulement des personnes dont le poste est jugé «non critique» et une commission doit être réactivée pour statuer sur les personnes occupant des postes jugés «critiques».

 


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