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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 25-10-2011 19:19

Législatives 2011: une grande et importante partie de l'opposition annonce participer à l'élection


Une dizaine de partis d'opposition gabonais regroupés en plate-forme sont "décidés à aller aux élections législatives" du 17 Décembre, a -t-on  appris lundi auprès du président de la Convention des partis démocrates républicains d'opposition (CPDRO), Samuel Mendou Nguema.

"Nous sommes décidés à aller aux élections législatives. Beaucoup d'entre nous savent que c'est difficile mais nous ne voulons pas croiser les bras et laisser le Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) s'imposer", a déclaré M.Nguema, dont la plate-forme représente une dizaine de partis d'opposition.
 
Nous y reviendrons.
 


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le 25-10-2011 19:05

Législatives 2011 au Gabon : Le PDG peaufine son plan de bataille


Libreville, 24 octobre 2011 (Infos Gabon)  – Dans le cadre des préparatifs des élections législatives qui se profilent à l’horizon, les membres du Bureau Politique, le Conseiller du Distingué Camarade...

Libreville, 24 octobre 2011 (Infos Gabon)  – Dans le cadre des préparatifs des élections législatives qui se profilent à l’horizon, les membres du Bureau Politique, le Conseiller du Distingué Camarade Président du Parti Démocratique Gabonais (PDG), les Parlementaires, les membres du Conseil National, du Comité Central, les militants et les sympathisants du parti, ressortissants du Département de Bayi Brikolo (Aboumi) dans la Province du Haut Ogooué (sud-est) résidants ou/et de passage à Libreville, se sont retrouvés le samedi 22 octobre 2011 à la Chambre Consulaire de Libreville.

Objet de cette rencontre : Présenter la candidate à la base ; expliquer et échanger sur les modalités pratiques de l’organisation de la prochaine campagne électorale qui s’ouvre le 7 décembre prochain et peaufiner le plan stratégique de bataille.

Persuadé de l’enjeu de ce scrutin, Rachel Ntimedjiara, candidate choisie par la base lors des Primaires et investie par les instances supérieures du parti, entend fédérer toutes et tous dans ce slogan : « Vivre ensemble » qui sera présenté tout au long de la campagne de ces Législatives.

Selon elle « Vivre ensemble » est un programme clair et réaliste, soutenu par tous, avec des priorités basées sur les convictions de toutes les filles et de tous les fils de la Bayi-Brikolo.

En tout cas, Rachel Ntimedjiara et son colistier auront la lourde charge de défendre les couleurs du parti dans leur contrée. Elle a dit avoir conscience que la partie ne sera pas facile. Mais, espère compter sur le soutien de tous pour une victoire au bout de la bataille électorale.

La base, a souligné le membre du Conseil National, Basile Hans Nganinga, a été exhortée à soutenir leur candidate qui a été choisie lors des Primaires, pour défendre les couleurs de cette formation politique. Ces élections  qui s’annoncent cruciales, a-t-il ajouté, devraient être l’occasion d’assurer une victoire au PDG pour donner une majorité confortable au Président Ali Bongo Ondimba à l’Assemblée Nationale. Ainsi, selon lui, le siège devra revenir au PDG.

Abondant dans le même sens, le Secrétaire Général adjoint du PDG, Ernest Ndassikoula, a invité les populations de trois villages du Département (Ontogo, Youma et Oboli) à se mobiliser davantage pour la conservation de cet unique siège. Ce sera, a-t-il insisté, la victoire de tout le monde.

Somme toute, la rencontre a été l’occasion de délivrer un message mobilisateur aux ressortissants de la contrée pour assurer la majorité du PDG à l’Assemblée Nationale au sortir des élections législatives du 17 décembre 2011, dont la campagne démarre le 7 décembre prochain.

Diplômée de l’Institut Français d’Informatique Appliquée (IFIA) de Paris en France, Rachel Ntimedjiara est une ancienne attachée de Cabinet et ex-secrétaire du défunt Président Omar Bongo Ondimba. Son suppléant, Gilbert Lilobo est un ancien président du Conseil départemental de la Bayi-Brikolo.

Source: Infosgabon 

 


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le 25-10-2011 11:29

Journal Televise de la RTG1 du Lundi 24/10/2011



 
 


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le 24-10-2011 23:20

COUP D'ETAT RÉCEMMENT AVORTÉ D'ANDRE MBA OBAME ET DE SES SUPPÔTS EN CAGOULE DE LA SOCIÉTÉ CIVILE.


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Plus de doute : la bouderie par certains médias privés gabonais de l'information relative à la saisie d'un stock important d'armes par les Forces de Défense Nationale du Gabon vient mettre à nu leur intention de gêner les actions des institutions de l'Etat.

En effet des armes de guerre et des munitions viennent d'être saisies par les forces de sécurité. Celles-ci ont été découvertes au domicile d'un mercenaire de nationalité espagnole, qui est également entre les mains des militaires.

Quand à ses complices , parmi lesquels on compterait des officiers supérieures des forces de sécurité, les principaux ténors de l'opposition et d'une certaine société civile, ils vont naturellement bientôt être entendus.

Quand on sait les ravages qu'une grenade ou un seul fusil peut occasionner, il n'y a pas lieu de comprendre comment les mêmes médias qui veulent toujours donner l'impression d'être les plus préoccupés par la sécurité et les droits de l'homme se permettraient de faire fi d'une opération d'une si grande taille.

Très peu de média gabonais ont donné ces informations au public, non pas parce qu'ils n'étaient pas informés, mais parce qu'ils n'ont pas voulu étaler le caractère belliqueux des comportements des opposants alimentaires de Rio et leur suppôt de la pseudo société civile qu'ils soutiennent farouchement.

Tout cela prouve à suffisance qu'il existe quelques gabonais égarés qui gardent en eux le venin de la guerre.

Et le fait qu'une importante section des médias gabonais se passe des pièces d'information aussi vitale pour la sécurité du pays constitue un signe éloquent que les cris qui proviennent de certaines rédactions ne sont pas du tout sincères.

Ils sont, comme je ne cesse de le montrer, en connivence avec les opposants malhonnêtes de Rio et leur suppôt de la société civile alimentaire de Rio qui veulent maintenir le pays dans le statu quo et semer la zizanie au sein de la population. Bien plus, ils soutiennent et encouragent ouvertement tous ses malfaiteurs alimentaires de Rio qui veulent semer la terreur dans le pays.

La population doit donc rester très vigilante face à toute sorte de manipulation de ses sorciers nocturnes.

Pour en revenir au coup d'Etat avorté d'AMO et de ses suppôts de la société civile alimentaire de Rio , seul un journal d'investigation très sérieux " La Griffe " a dévoilé le pot au rose au grand jour dans sa dernière édition.

Selon " La Griffe " :
 
le mode opératoire quoiqu'ayant longtemps circulé sous la forme d'une rumeur, était pourtant connu de tous.

Le chef de l'Etat devait être assassiné comme Laurent Désiré Kabila , c'est à dire dans son bureau.Le cancan était d'autant plus crédible que l'attitude attentiste des uns et des autres ne s'expliquait pas autrement.

Il ne fallait pas trop se mouiller pour un régime dont on savait les jours désormais compter . Surtout que de l'autre côté de l'opposition , Mba Obame et Myboto prenaient un certain plaisir à brandir la menace des représailles, au métal , qu'ils lanceront , une fois au pouvoir , contre tous les serviteurs zélés de l'Émergence.

Cette peur se lisait et se lit toujours sur les visages de plusieurs membres du gouvernement et de la plupart des institutions constitutionnelles. Et la ridicule mesure qui nous a frappé le week-end n'était rien d'autre qu'un clin d'oeil de bonnes gages en direction de l'opposition, notamment la très communautaire ex-Union nationale.

Il fallait bien montrer qu'on a été utile avant la fatidique date du 5 novembre 2011, jour choisi pour le déclenchement des hostilités. De fait , tout était planifié. Tant en éléments de langage qu'en élément d'action.

Pour les premiers , distillés avec une assurance , qui frisait l'arrogance et l'insolence réunies , les porteurs étaient sûrs de leur coup. Côté politique , Zac tenait le front et n'hésitait pas à entonner le menaçant « pas de biométrie, pas d'élection » .

Avant de jurer , sur la tête de tous ses ancêtres , qu'il ne s'agira pas d'un boycotte , mais que les élections « n'auront tout simplement pas lieu ». Evidemment , il n'y a qu'un seul moyen pour empêcher la tenue d'une élection : 
la guerre.

Un discours directement puisé dans la fontaine idéologique de son idole Mba Obame AMO ( Echos du Nord 26/9 :« Lorsque Monsieur Ban Ki Moon est venu au Gabon en juillet 2010 , nous lui avons aussi remis un mémorandum pour réclamer la transparence électorale au Gabon. Et dans ces deux mémorandums , on indique bien que pas de conditions de transparence au Gabon , pas d'élections législatives. Mais qu'on ne les boycotterait pas . Que nous prendrions toutes les dispositions , et nous en avons les moyens , pour empêcher la tenue de l'élection au Gabon.

Grâce à l'initiative de la société civile un an après , nous pouvons non seulement réaffirmer cette position, mais s'organiser pour rendre celle-ci effective. En d'autres termes , pas de conditions de transparence , notamment la biométrie entre autres , pas d'élections législatives au Gabon.

Cela ne veut pas dire qu'il y aura boycott , cela voudrait dire que les dispositions sont prises. Je le répète , nous avons les moyens pour empêcher toute tenue au Gabon d'élections législatives. Et je pèse mes mots quand je vous dis que nous en avons les moyens 
»
. Effectivement , effectivement ....

Au regard de ce qui a été saisi, et nos sources sont formelles , ce ne sont pas seulement les « mots » d'AMO qui « pèsent » , ce sont surtout les fameux « moyens ». Ils pèsent tellement que la société civile , alliée plus qu'entreprenante , a vite été séduite par ces « moyens » au point qu'habitée par la même assurance et la même suffisance , elle a fait sienne les éléments de langage d'AMO autant qu'elle a décidé de perfectionner les éléments d'actions à même d'« empêcher toute tenue au Gabon d'élections législatives » 

Des éléments d'actions qui , visiblement , sont loin de se limiter à l'empêchement du scrutin puisqu'à la fin , le véritable objectif est l'assassinat de Zeus.

La question reste maintenant à savoir si la société civile était au fait de cet objectif, sachant bien la propension de l'élément à « ne jamais aller là où on l'attend » , peu sûr qu'il leur ait clairement précisé qu'en montrant le chemin des élections , lui-même pensait plutôt au coup d'Etat.

Ce qui ne veut cependant pas dire qu'il ne leur a pas soufflé un mot tant leur coaching a quand même été mené entre Johannesburg et Dakar...

Ces faits ne font plus partie de la rumeur . Les armes et les munitions ont bel et bien été saisies. Elles existent puisqu'elles sont toujours entre les mains des forces de sécurité. Il ne s'agit pas de quelques armes , mais de tout un arsenal dénombré en milliers.

Le chef des opérations militaires actuellement , un certain Bescos Turullenque Jose, détenu est un ressortissant espagnol. Du coté des Affaires étrangères , on a confirmé à « La Griffe » que les autorités diplomatiques espagnoles à Libreville ont été saisies pour cette affaire.

Qui , il faut bien le préciser , n'est pas la première entre Libreville et Madrid puisque le ton était déjà monté d'un cran en 2009 avec la profanation par Mba Obame , de la chambre d'hôpital où Omar Bongo Ondimba avait rendu l'âme. Une opération morbide menée avec la complicité et la sournoiserie des autorités de Madrid.

En entendant de revenir la semaine prochaine avec tous les détails , puisque , dit-on , les interrogatoires ont commencé et ont révélé de véritables petites bombes tant les complicités iraient jusqu'au-delà de nos frontières , deux éléments fondamentaux viennent de s'ajouter dans cette affaire.

Primo : contrairement à l'argument médical distillé aux siens , c'est plutôt la capture du mercenaire espagnol qui a dissuadé AMO de revenir au Gabon comme il l'avait promis et avait été annoncé , à grands roulements de tambours , par sa propagande .

Secundo : le gouvernement gabonais est plongé dans un profond embarras depuis que cette affaire a éclaté. On a verrouillé l'information pour qu'elle ne transpire. Or les gabonais ont le droit de savoir ce qui devait leur arrivé le 5 novembre prochain.

Le gouvernement n'a pas le droit de continuer ainsi à garder silence sur une affaire aussi grave. Au fait , il parait que la presse est le 4ème pouvoir . En bon entendeur .....



Source : La Griffe du vendredi 21 octobre 2011



MICHEL OGANDAGA

 


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