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le 14-06-2011 19:51

Conseil des ministres ce mardi après-midi au Palais présidentiel


Le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba présidera un Conseil des ministres, ce 14 juin 2011 à partir de 14 heures 30 minutes au palais du bord de mer.

 


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le 14-06-2011 17:21

JT du 13 Juin 2011 a 20 heures

 
1 ere partie
 
 
2 e partie 
 
 
 3 e partie 
 
 
 
 
 


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le 14-06-2011 16:17

La semaine de travail du Président Ali Bongo Ondimba

 L’actualité présidentielle est dominée la semaine dernière par la visite aux Etats-Unis d’Amérique.

Le Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, qu’accompagnait son épouse, Sylvia est arrivé à New York le 5 juin dernier. Outre la réunion du Conseil de Sécurité de l’ONU sur le SIDA qu’il a présidé le 8 juin 2011, le numéro un gabonais a eu d’autres importantes activités.

Invité de l’Atlantic Council, un groupe dont la mission principale est de promouvoir la politique africaine des Etats-Unis, le 6 juin à Washington, le Président de la République gabonaise, a plaidé non seulement pour le Gabon, mais aussi pour le continent africain en proie à des défis majeurs de développement. Tout en vantant l’attachement du Gabon aux valeurs mondiales actuelles. Il a livré sa vision d’un « Gabon Emergent ». Histoire de demander à ses hôtes d’intercéder en faveur d’un afflux de capitaux américains au Gabon.

Membre non permanent du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, le Gabon assure ce mois de juin la présidence de cet organe onusien chargé de garantir la paix mondiale.

C’était mardi 7 juin dernier que le Chef de l’Etat gabonais a présidé sa 1ère réunion au Conseil de Sécurité. La séance s’est déroulée en présence du Secrétaire Général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon, du Président nigérian, Goodluck Jonhatan, du vice-président sud-africain, Kgalema Mothlante, du Ministre d’Etat français aux Affaires Etrangères, Alain Juppé, ainsi que des représentants des pays membres.

La réunion était essentiellement consacrée à l’examen et l’adoption d’une résolution relative au renforcement de la place de la lutte contre le VIH/SIDA au niveau du Conseil de Sécurité et de l’ONU. Un texte proposé par le Gabon avec l’appui de la France et d’autres pays. Lequel a été adopté (la résolution 1983 de l’année 2011) à l’unanimité par les 15 Etats du Conseil de Sécurité, qui ont félicité et remercié le Président Ali Bongo Ondimba pour cette initiative d’opportunité.

En marge de cette réunion, le numéro un gabonais a échangé avec l’Ambassadeur américain à l’ONU, Suzan Rice, le Ministre d’Etat français aux Affaires Etrangères, Alain Juppé, ainsi que le Secrétaire Général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon.

Dans l’ensemble, il a été question d’évoquer les principaux sujets qui dominent l’actualité internationale aujourd’hui, au moment où le Gabon assure la présidence du Conseil de Sécurité de l’organisation mondiale. Il s’est agi entre autres, de la situation en Libye et en Syrie. Deux sujets qui vont avec d’autres, nourrir les débats au sein de l’instance onusienne pendant le mois en cours.

Notons que le Gabon et les autres membres du Conseil de Sécurité sont sur la même longueur d’ondes quant à la situation en Libye et la place faite à la promotion de la démocratie dans le pays.

Devant l’Assemblée Générale de l’ONU le 7 juin dernier à New York, le Président de la République gabonaise, a appelé à la mobilisation de ressources additionnelles en faveur de la lutte contre le SIDA.

Le numéro un gabonais a également souligné les mesures prises par le Gabon par rapport à la riposte face à cette pandémie qui, nonobstant tous les efforts accomplis depuis 30 ans, continue de faire des ravages sur le continent africain. Tout comme il a plaidé pour une intensification des actions de prévention au profit des jeunes.

Au cours de l’entrevue qu’il a eue avec le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba, jeudi 9 juin dernier à la Maison Blanche à Washington, le Chef de l’Exécutif américain Barack Obama a encouragé son hôte, à poursuivre sa nouvelle politique. Il a salué les nombreuses réformes entreprises au Gabon depuis deux ans, affirmant que le Gabon est sur la bonne voie.

Ce soutien du locataire de la Maison Blanche porte sur la mise en œuvre de la politique menée dans les domaines économique, social, environnemental, ainsi que les nombreuses réformes courageuses entreprises par Ali Bongo Ondimba au Gabon. Lequel a reçu, par ailleurs, les encouragements de Barack Obama, pour notamment, le renforcement du rôle des institutions et des droits de l’homme et la bonne gouvernance.

C’est la première visite officielle du numéro un gabonais depuis son élection en août 2009.

Dans le cadre de l’Année Internationale des Forêts et de la Semaine de l’Environnement au Gabon, l’Agence Nationale des Parcs Nationaux a procédé au lancement de la visite virtuelle des Parcs Nationaux. La manifestation qu’a présidée, en marge de l’Assemblée Générale des Nations-Unies à New York, le Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, qu’accompagnait son épouse, Sylvia, a eu lieu le 8 juin dernier, dans la salle « Glass House ». Parmi les invités (plus d’une centaine), notamment, des donateurs, des investisseurs touristiques, des représentants des médias internationaux et des médias verts (spécialisés dans l’environnement).

Le site www.gabon-nature.com, fruit de trois ans de travail de l’Agence des Parcs Nationaux, traduit l’engagement et la détermination du Gabon et ses responsables dans l’effort mondial de préservation de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique. On sait que le Gabon joue un rôle dans la sauvegarde de la forêt du Bassin du Congo.

La visite virtuelle des Parcs Nationaux permet de naviguer au cœur des treize Parcs gabonais, d’en découvrir l’extraordinaire biodiversité et au finish, de devenir un véritable « éco touriste ».

Au-delà du côté protocolaire, le Gabon a voulu par cette manifestation honorer la mémoire d’un homme et lui rendre un vibrant hommage bien mérité. Il s’agit de feu le Président Omar Bongo Ondimba, qui, en bon visionnaire, avait décidé, presque avant tous ses pairs du continent africain et de tant d’autres d’ailleurs, d’engager son pays dans le combat pour la protection de l’environnement et la lutte contre les effets du réchauffement climatique. Aujourd’hui encore, la communauté internationale salue la détermination du Gabon et sa grande implication dans la défense de cette cause.

La date du 8 juin 2011 correspond au 2ème anniversaire du décès du Président Omar Bongo Ondimba qui, depuis New York, avait eu la sage inspiration de donner au monde entier une bonne partie de l’espace gabonais, avec la création de 13 Parcs Nationaux. Convaincu de la justesse de la vision de son prédécesseur, Ali Bongo Ondimba a décidé de poursuivre l’œuvre. C’est d’ailleurs ce qui justifie le fait qu’il a choisi comme 1er des trois piliers sur lesquels repose son programme de développement du Gabon, le « Gabon Vert ».

Le Président de la République, après les Etats-Unis, a effectué une visite au Maroc samedi 11 juin dernier avant de se rendre au Koweït le jour suivant dans le cadre d’une autre visite.

 


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le 13-06-2011 23:26

La vision d'Ali Bongo Ondimba de faire du Gabon un pays émergent reçoit l'adhésion de Barack Obama (ANGLE)


 L'un des temps forts de la visite (5 - 10 juin 2011 ) du chef de l'Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, aux Etats-Unis , aura été, de toute évidence, l'entretien avec son homologue Barack Obama, pour la première fois à la Maison Blanche et singulièrement dans le bureau ovale, avec à la clé l'adhésion du patron de l'Exécutif américain à la vision de son hôte de faire du Gabon un pays émergent.


Les lignes de force du tête-tête Ali Bongo Ondimba/Barack Obama ont été ainsi livrées, samedi soir, par le numéro gabonais, lui-même, à travers une Déclaration de presse, dès son retour à Libreville.

REFORMES MULTIFORMES ET MULTISECTORIELLES

Dans son compte-rendu, il a informé que Barack Obama '' nous a félicité pour les réformes multiformes et multisectorielles que nous avons engagées au cours de ces dernières années''.

Dans la foulée, M. A. Bongo Ondimba a précisé que le chef de la première puissance mondiale '' a aussi salué et apporté son ferme soutien à notre volonté de renforcer la démocratie et l'Etat de droit, la bonne gouvernance, la lutte contre la corruption et l'assainissement de l'environnement des affaires''. Tout un programme.

A l'opinion, le président de la République gabonaise a semblé dire que les réformes entreprises et celles à venir ne sauraient être un catalogue de bonnes intentions ou de simples annonces destinées à séduire de potentiels investisseurs, encore moins pour obtenir le très convoité ''statut de bon élève de la démocratie'', vue de Washington.

D'où les termes choisis et pesés dans la Déclaration de presse pour illustrer la '' lune de miel'' entre le Gabon et les Etats-Unis d'Amérique.

On y retient : '' adhéré, salué, ferme soutien''.

Libreville se réjouit que l'adhésion de Washington à la vision du président Ali Bongo Ondimba vient battre en brèche les différentes sorties médiatiques et autres campagnes visant à jeter le discrédit sur les réformes aussi bien politiques, économiques que sociales - parfois impopulaires - mais incontournables pour tirer le Gabon vers le haut.

Le nettoyage du fichier de la Fonction Publique a permis de débusquer nombre d'agents de l'Etat fantômes, de relever des incohérences et des faux diplômes lors du recrutement, d’avoir la maitrise de la masse salariale, et une visibilité grâce à l'introduction de la biométrie dans la gestion des ressources humaines...

Les nouvelles orientations données à la désormais Agence des Bourses et Stages participent de l'ambition de former la jeunesse en tenant compte des préoccupations du secteur public / privé. Ce d'autant plus qu'une passerelle existe dorénavant. Les chefs d'entreprise - par l'entremise de la Chambre de Commerce, d'Agriculture, des Mines et de l'Industrie - prennent part aux sessions d'attribution et de renouvellement des bourses où ils peuvent directement exprimer leurs besoins et accorder toute l’importance à la ''fameuse'' adéquation formation / emploi.

Dans le domaine de l'habitat  et du cadastre, le ''coup de balai'' intervenu au Ministère en charge de ce dossier ''sensible'' traduit la volonté des plus hautes autorités à restaurer l'état de droit et, par conséquent, d’améliorer l'environnement des affaires.

Des opérateurs économiques mêmes les plus intrépides avaient, selon le chef de l'Etat,  fini par renoncer à investir au Gabon faute de titre foncier. Le précieux sésame s'obtenait, pour les ''chanceux'', au bout de cinq (5) ans, doublées de ''120 signatures'' sur fond de pratiques à la limite mafieuses.

D'autres compartiments (les Ministères dit sociaux) seraient dans la ligne de mire du président de la République, a-t-on murmuré.

Le signal avait été donné en 2010 par l'interdiction d'exporter le bois en grumes à l'effet de favoriser la transformation locale de cette matière stratégique -plus d'un siècle après l'exportation de la première bille d'Okoumé- et créer une valeur ajoutée, des emplois voire de nouveaux métiers autour de cette richesse forestière, véritable « mine d’or » ».

AUTRE TEMPS, AUTRES MOEURS

Cette mesure avait suscité une levée de boucliers. La fièvre a baissé. Les opérateurs de la filière bois ont été rassurés par les pouvoirs publics. Le courant passe à nouveau. Autre temps, autres mesures.

Le renforcement de la démocratie salué par le président Obama s'est caractérisé, l'autre jour au palais de la Présidence Gabonaise, par des concertations politiques consacrées, tout d'abord à la question de l'Ile Mbanié ( différend frontalier entre le Gabon et la Guinée Equatoriale) puis à  l'introduction de la biométrie dans le système électoral gabonais d'autant plus que pointent à l'horizon, les législatives.

A ce rendez-vous du bord de mer, Ali Bongo Ondimba y avait convié les leaders de la Majorité républicaine, ses adversaires de l'opposition, les anciens premiers-ministres et ex-VPM. En somme, l'essentiel de la classe politique avait honoré de sa présence à cette réunion.

Invitées, certaines figures de proue de l'opposition qui se trouvaient à l'étranger et qui voulaient y prendre part se sont '' excusées '' par courrier.

Une attitude '' républicaines'' très appréciée au Palais tout comme les contributions au débat de plusieurs anciens candidats à la présidentielle du 30 août 2009, remportée par Ali Bongo Ondimba, a-t-on confié.

Mais, le satisfécit et le soutien de Barack Obama ne sauraient s'apparenter à une prime, les autorités gabonaises en sont conscientes.

ACCELERATION DES MESURES ET LEUR MISE EN OEUVRE

Il suffit de jeter un coup d'œil sur la Déclaration de presse lorsque le président A. B. Ondima  a souligné : '' A l'instar de toute la communauté internationale, le président Obama, à son tour, a vivement encouragé à maintenir le train des mesures et à accélérer leur mise en œuvre''.

Des esprits auraient souhaité que le Gabon fusse placé sous '' haute surveillance'' par la première démocratie du monde pour ''déni de démocratie, violation des droits de l'homme...’’.

Une abondante correspondance adressée à la Maison Blanche, par des adversaires du régime et des membres de la société civile, avant et pendant le séjour américain du chef de l'Etat gabonais, l’en témoignait.

Au final, Ali Bongo Ondimba a assuré qu’à  Washington, il a '' eu un entretien fructueux avec le Président Obama'' qui a '' indiqué que  son pays apporterait un appui institutionnel pour une plus grande présence américaine au Gabon (...) notamment dans le secteur économique).

De son coté, il s'est employé - dans le cadre de la diversification des partenaires - à faire la promotion de la destination Gabon devant des hommes d'affaires rencontrés au Corporate Council on Africa, organe qui œuvre à la promotion des échanges économiques et commerciaux entre les Etats-Unis d'Amérique et l'Afrique ainsi qu'à l'Atlantic Council, structure de réflexion chargée d'orienter la politique américaine en direction de l'Afrique.

L’ATTENTE DES RETOMBEES

Attendues, les retombées de l’''important déplacement'' effectué par le président gabonais au pays de Barack Obama...dont le discours '' historique'' d'Accra (Ghana)...mentionnait : «  personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort et à la corruption ».

Deux ans plus tard, ces propos demeurent actuels et s’adressent aux gouvernants et gouvernés afin que chacun joue sa partition.

 


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