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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 21-05-2013 00:20

Bilan de l'actualite politique de semaine ecoulee,par Alain-Claude Billié Bi Nzé

Comme de coutume, le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Billié Bi Nzé, a commercé avec les journalistes, le 17 mai, sur les faits essentiels de l’agenda hebdomadaire du président de la République, mais également sur les évènements en perspective.

Alain Claude Billié Bi Nzé. ©Gabonreview

Durant la semaine écoulée, a rappelé le porte-parole de la présidence gabonaise, outre le discours prononcé par le président Ali Bongo Ondimba sur les crimes rituels, à l’issue la marche ayant bénéficié de la participation de la Première dame, Sylvia Bongo Ondimba, le chef de l’Etat a reçu en audience le président du Conseil national de transition (RCA) de la République Centrafricaine (RCA), Michel Djotodia, ainsi que le Vice-président kényan, William Ruto. Le président a également eu à féliciter les performances des athlètes gabonais qui évoluent en Occident et font honneur au pays, plus particulièrement Pierre-Emerick Aubameyang, Prix Marc-Vivien Foé RFI – France 24 du meilleur footballeur africain ; Anthony Obame, numéro 1 mondial de la Fédération Mondiale de Taekwondo dans la catégorie des plus de 87 kgs ; Stéphane Lasme, évoluant au club de basket-ball du Panathinaikos en Grèce, élu meilleur défenseur de l’Euroligue équivalent au basket-ball de la ligue des champions de football, et Géraldine Yema Robert, basketteuse de Montpellier, élue Meilleure Joueuse française de la saison en première division française.

De la visite du président du CNT de la RCA à Libreville, le mercredi 15 mai 2013, on retiendra qu’elle participe d’une tournée entreprise par Michel Djotodia auprès des chefs d’Etat de l’espace CEMAC (Communauté économique de l’Afrique centrale) en vue de la recherche de solutions pour la normalisation de la situation en République sœur de Centrafrique, a expliqué Alain Claude Billié Bi Nzé, non sans indiquer que «la rencontre de Libreville a permis aux deux hommes de faire le point de la situation et d’aborder la question du braconnage, s’agissant de la politique de préservation de certaines espèces animales dans laquelle nos deux pays sont engagés».

Avec le Vice-président du Kenya, Michel Djotodia, reçu le jeudi 16 mai 2013, le président Ali Bongo Ondimba a fait le tour de la coopération bilatérale entre les deux pays. «Il est important de rappeler que le Gabon s’est engagé dans la diversification de son économie, notamment dans les secteurs des nouvelles technologies de l’information, et du tourisme, deux secteurs clés de l’économie kényanne», a précisé le porte-parole de la présidence de la République, ajoutant par ailleurs que «le Gabon regarde de près l’exemple kényan dans ces domaines. Tout comme il entend observer l’expérience de ce pays frère dans la lutte contre le braconnage et la lutte contre la piraterie maritime».

Revenant sur la marche pacifique contre les crimes rituels et sur le discours prononcé par le numéro un gabonais à ce sujet, Billié Bi Nzé a rappelé que «le Président de la République a condamné avec la plus grande fermeté les dérives criminelles observées ces derniers temps, sous quelque forme qu’elles soient». Le chef de l’Etat a par conséquent demandé au Parlement «de doter les juridictions de moyens budgétaires conséquents, et de faire en sorte que les délais d’enquête et de jugement soient raccourcis», en procédant dans les plus brefs délais aux modifications de notre Code de procédure pénale pour adapter la réponse des pouvoirs publics aux enjeux de la situation. De même, le chef de l’Etat demandé «au Parlement de mettre à la disposition du Gouvernement tout l’arsenal législatif nécessaire, et de procéder aux ajustements budgétaires qui s’imposent, pour une plus grande efficacité de nos forces de police et de gendarmerie».

Concernant l’agenda du président de la République, Ali Bongo se rendra, du 24 au 25 mai 2013, à Addis-Abeba en Ethiopie, dans le cadre de la célébration du Cinquantenaire de l’Union Africaine (UA), dénommée Organisation de l’Unité Africaine (OUA) jusqu’en 1999. La cérémonie est placée sous le thème «Panafricanisme et Renaissance Africaine».

Quant au New York Forum Africa, que la capitale gabonaise abritera du 14 au 16 juin 2013, pour une deuxième édition, il a été noté que plusieurs centaines de leaders internationaux du monde des affaires dont de nombreux Prix Nobel sont attendus. L’évènement aura pour tâche majeure d’explorer les étapes à suivre dans la mise en place d’un plan d’action concret, pertinent et évolutif en vue d’attirer, de retenir et d’accroître les investissements directs étrangers en République gabonaise. Une part importante de la présente édition sera accordée à la participation des PME et PMI gabonaises.

Par ailleurs, le Gabon célèbrera du 6 au 8 juillet 2013 dans la capitale de la province du Moyen-Ogooué, le Centenaire de l’arrivée du Dr Albert Schweitzer à Lambaréné. Cette célébration verra la participation de nombreuses personnalités gabonaises et étrangères aux côtés du président de la République, qui s’est rendu il y a quelques temps à Lambaréné pour évaluer l’état d’avancement des différents chantiers lancés à l’occasion de la célébration du Centenaire. L’agenda présidentiel aura résolument été chargé sur la semaine mise ne lumière par Alain-Claude Billié Bi Nzé.

 
 


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le 20-05-2013 18:20

Inspection du pont de kango par le President Ali Bongo

Situé sur l’axe stratégique de la N1, le site du nouveau pont de Kango a reçu ce samedi matin la visite du président gabonais, soucieux de vérifier l’achèvement des travaux. Enjambant le Bokoué, l’ouvrage a été conçu par des ingénieurs italiens pour résister à une pression de 400 tonnes.

 

Le chef de l’État dévoile sur place le projet de doublement de ce pont essentiel pour l’économie nationale.

 

 


Endommagé en février 2012 par une barge tractée rendue incontrôlable par la force du courant, dégradé par quarante années d’usage sans maintenance, fragilisé par le passage incessant des camions chargés de bois, le pont de Kango revient de loin. Quinze mois après l’effondrement d’une de ses piles, il s’apprête, une fois le goudron bien sec, à accueillir les premiers véhicules.

 

 


« Je voulais m’assurer que les travaux s’étaient bien déroulés », indique Ali BONGO ONDIMBA en se faisant commenter les plans de construction par le représentant de la société Maeg Costruzioni, un des leaders européens des ouvrages d’art en acier.

 

 

D’une portée de 78,5 mètres, pesant 350 tonnes, ce pont à travées réticulaires de type Pratt dites en treillis a été conçu à Vazzola en Vénétie et monté au Gabon, pièce par pièce tel un mécano géant, à l’aide de grues surpuissantes. 

 

 

 

 Un chantier complexe opéré par des ingénieurs extrêmement spécialisés, à l’image des travaux de Maeg à Rome pour le pont de la Musique ou en Calabre pour le viaduc de Morano. Correctement entretenu, il devrait tenir au moins cent ans.

 

 

Présentés au chef de l’État, les résultats des tests de pression pratiqués ces derniers jours témoignent d’une résistance à quelque 400 tonnes, soit dix véhicules lourds de 40 tonnes.

 

 

 

Une perspective heureuse pour les opérateurs économiques et les voyageurs contraints depuis de longues semaines à jongler avec les horaires des marées pour une traversée en barge.

 

 

En échangeant avec les riverains, Ali BONGO ONDIMBA a pu mesurer l’attente, et parfois l’impatience, des populations.

 

 

 

Au même titre que les routes, les ouvrages d’art sont des biens publics auxquels il convient d’apporter le soin nécessaire : « Il faut reconnaître, souligne le président de la République, que le pont de Kango n’a pas eu droit, dans le passé, à la maintenance nécessaire. Nous allons y veiller et je demande un effort de la part du gouvernement ».

 

 

 


A quelques heures du retour à la fluidité de la circulation sur la N1, et puisque gouverner c’est prévoir, Ali BONGO ONDIMBA annonce au cours de cette visite impromptue l’existence d’un projet de doublement du pont de Kango.

 

 

 

« C’est la route la plus utilisée du territoire. Nous ne voulons plus connaître de tels problèmes. Ainsi allons-nous décider de doubler l’ouvrage ».

 

 


Le Gabon en route vers l’émergence, fort d’une économie en croissance durable, a besoin d’infrastructures efficientes au diapason d’un développement multipolaire.
 


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le 18-05-2013 10:38

Gabon: Insécurité, LETTRE AU CHEF DU GOUVERNEMENT





Monsieur le Premier ministre,

LE journaliste engagé au service de la société que je suis a appris à vaincre sa pusillanimité pour dire aux gouvernants ce qu’ils doivent entendre et non forcément ce qu’ils veulent entendre, quitte à les prendre à rebrousse-poil. Tant pis ! Mon grand-père : « Le cuisinier ne craint pas la colère de la poule ».
Je suis souvent obligé de regretter ce qui aurait été possible, si chacun de nous, du plus petit au plus grand gardien de la République, s’était engagé à remplir sa part de responsabilités. Mais si je pose un problème, qu’on ne me demande pas donc de trouver la solution. Tel n'est pas mon rôle. « Transporter de l'eau n'est pas le problème du panier », disait mon aïeul.
Mon rôle est d'informer les citoyens sur la marche de la société et de tirer la sonnette d’alarme. Ces derniers temps, il vous est certainement arrivé de lire mes articles sur le climat d'insécurité qui règne à travers le pays. Monsieur le Premier ministre, il y a un véritable malaise auquel les décideurs que vous êtes devez parer au plus pressé, avant qu’il ne soit pas trop tard. « C’est quand on peut encore fermer la plaie avec un seul doigt qu’il faut la soigner », aimait à dire mon papy.
Il ne se passe plus une seule semaine sans que l’on ne découvre le corps d'une personne assassinée dans un quartier de Libreville ou dans une ville de l’intérieur du pays. La population s’en émeut souvent mais le gouvernement que vous dirigez demeure indifférent devant ces actes de barbarie dignes d'une autre époque. Finalement, je donne raison à mon grand-père, lui qui disait : « Quand ton voisin souffre d’un point de côté, sa douleur ne t’empêche pas de trouver le sommeil. »
Ce que je ne comprends pas c'est le fait que votre équipe gouvernementale fait la politique de l’autruche et pense que la presse fait du sensationnel. Si l'insécurité n'existe pas à Libreville, pourquoi tous vos ministres et vous-mêmes ne vous baladez pas sans escorte dans les rues de Libreville ? Si vous le faites, c’est parce que vous connaissez parfaitement la cartographie de l’insécurité et les sanctuaires des bandits. C’est encore mon papy à la sagesse avérée qui disait : « Une souris même ivre reconnaît les endroits où passent les chats. »
Puisque vous avez décidé de descendre régulièrement sur le terrain pour toucher du doigt certaines réalités, je vous suggère de faire une promenade intra muros, la nuit, sans vos garde du corps dans les rues de Bangos - puisque c'est votre quartier- pour y prendre de l’air. Même si vous êtes un pratiquant d’arts martiaux, vous aurez du mal à retourner bon pied, bon œil à votre résidence. Vous vous rendrez compte à quel point les riverains souffrent de l'insécurité. « Si tu penses que le pain ne souffre pas de chaleur, prends sa place au four », disait d'ailleurs mon grand-père.
Monsieur le Premier ministre, dans certains quartiers de la capitale, on vit désormais vingt-quatre heures renouvelables. Si un riverain réussit à échapper aux bandits aujourd’hui, le plus dur reste demain. Sortir de chez soi la nuit est devenu un acte suicidaire. Pourtant, il y a quelques années, Libreville était un havre de paix, où chacun pouvait boire son vin, dormir dans le caniveau avant d’être tiré intact du sommeil le lendemain par la pâle lueur du jour.
Celui qui pose un tel acte aujourd’hui se retrouve zigouillé et dépecé tel un gibier. Mais la situation est grave! Il faut qu’une action plus résolue soit vite menée dans le sens de la lutte contre l’insécurité. Si la politique adoptée en la matière a montré ses limites, il faut faire sa remise à plat. Je me souviens encore de cette sagesse de mon grand-père, qui disait : « Faire demi-tour ne donne pas des maux de reins au margouillat. »
Pourquoi avons-nous souvent honte de revenir sur nos décisions même lorsqu'on se rend compte qu’elles sont mauvaises ? Il n'y a pas une réelle politique de sécurité. Tout ce que le gouvernement sait faire, à travers son fameux ministère de l’Intérieur, c’est envoyer des flics faire des contrôles dans les rues de la ville et faire des déclarations à l’emporte-pièce lorsque les syndicats et les opposants posent des actes qui fâchent. Est-ce suffisant ?
Mais ce département ministériel a d’autres missions régaliennes à remplir. Mon aïeul disait : « Si le buffle a une longue queue, ce n’est pas uniquement pour chasser les mouches. » Les responsables du ministère de l’Intérieur ne doivent pas se limiter à des tâches superficielles. Le jour où un membre du gouvernement se fera rosser par des bandits, les autres citoyens s'en tamponneront le coquillard et n'auront plus une idée élevée de lui. Mon aïeul disait : « Quand la pluie te mouille, les crapauds se comparent à toi. »
Quand je dis les choses sans fioritures, on m’accuse d’être contre tel ou tel ministre et de vouloir prendre son poste. Mais c’est un faux débat ! Dénoncer les limites de nos gouvernants ne signifie pas qu’on a une animosité à leur égard ou qu'on veut les supplanter. D’ailleurs, mon grand-père pétri de sagesse disait : « Ce n’est pas parce que le coq chante chaque matin qu’on dira qu’il prépare un concours de chant. » L’insécurité est un problème sérieux. Il ne faut pas qu’on le prenne à la légère, comme on le fait jusque-là. Une action plus résolue se doit d'être menée pour bouter hors du pays les bandits de tout acabit qui terrorisent de paisibles citoyens et endeuillent régulièrement des familles.
Les crimes enregistrés, ces derniers temps, dans le périmètre urbain et dans l’arrière-pays ne sont que des clignotants qui s'allument pour nous avertir que le Gabon peut, à terme, devenir un Far West si l'on n'y prend pas garde. A partir de ce moment, ce sera une destination infréquentable aussi bien pour les touristes que pour les investisseurs. Ce serait une peur justifiée. Encore une sagesse de mon aïeul : « Quand la forêt est en feu, l’épervier passe son temps à voler. »
Monsieur le Premier Ministre, les bandits n'hésitent plus à commettre des crimes même aux abords de votre résidence ou de votre bureau. Récemment, un agent de la Garde Républicaine ( GR) a été sauvagement assassiné près de votre domicile. Quelques mois plus tôt, un père de famille avait été mortellement éventré au parking extérieur de la Primature qui abritent vos bureaux. Mais ce sont de mauvais signes, çà ! C’est toujours mon aïeul qui disait : « Quand deux taureaux se battent à côté de ton tabac, c'est qu'ils veulent le gâter. » Je ne sais pas quelle est la réflexion que vous menez au niveau de la sphère décisionnelle de l'État mais il est urgent de donner un signal fort.
Monsieur le Premier ministre, je ne sais pas comment ma lettre sera perçue par les décideurs. Je n'avais nullement l'intention de m'ériger en Don Quichotte, loin s'en faut. J'ai juste voulu attirer une sonnette d'alarme. Tout le monde étant exposé à l'insécurité, je suis persuadé que même les gouvernants que vous êtes peuvent en faire les frais, surtout que vous promenez souvent avec des artifices à même d'aiguiser les appétits des bandits. « Si tu as pour ennemi le vautour, n'accroche pas les intestins de la poule autour de la tête avant d’entrer dans la forêt », disait mon grand-père.

Jonas MOULENDA
 


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le 18-05-2013 09:59

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba élabore un plan pour la prévention des cancers de l’utérus

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille accueille, depuis mardi à Libreville, une importante délégation marocaine de la Fondation Lalla Salma Prévention et Traitement des Cancers venue aider le Gabon à élaborer un plan d’actions en matière de prévention, de ressources humaines, d’accès aux médicaments, de prise en charge et d’accompagnement des malades.

 

 

Les scientifiques et médecins des fondations Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille et Fondation Lalla Salma Prévention et Traitement des Cancers composés vont travailler en collaboration avec le ministère de la Santé pour faire un état des lieux des structures de soin au Gabon et pour évaluer les besoins dans la lutte contre les cancers, indique-t-on.

 

L’objectif recherché par ses experts est l’élaboration d’un plan d’actions à court et à moyen terme, en matière de prévention, de ressources humaines, d’accès aux médicaments, de prise en charge et d’accompagnement des malades, rappelle-t-on.

 

La Fondation Lalla Salma Prévention et Traitement des Cancers, ayant acquis une forte expérience dans la lutte contre les cancers, disposent d’outils efficaces qui pourraient être profitables au Gabon, relève-t-on.

 

La Première dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba, lors de la conférence internationale sur le dépistage du cancer du col de l’utérus, le 12 janvier 2012 à Marrakech, avait rappelé son ambition d’étendre ses actions de prévention auprès des femmes et des jeunes filles, avec un accent particulier sur le cancer du col de l’utérus, souligne-t-on.

 

Sachant que dans 70% des cas, les cancers sont découverts à des stades avancés (…) et donc avec un pronostic sévère, à court et moyen terme, Mme Sylvia Bongo Ondimba avait, lors de cette conférence, souligné que la prévention était importante, précise-ton.

 

A titre indicatif, les cancers féminins (col de l’utérus et sein) représentent 30,4% des cas de cancer au Gabon et du col de l’utérus. 45 à 60% des patients atteints par cette affection guérissent dans les pays qui disposent d’un plateau technique adapté, indique-t-on.

 

Rappelons que la visite de la Fondation Lalla Salma Prévention et Traitement des Cancers fait suite à l’engagement pris, et renouvelé en 2013 à Fès, entre Son Altesse Royale la Princesse Lalla Salma et la Première dame du Gabon d’établir une coopération technique pour lutter efficacement contre les cancers au Gabon.

 


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