Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 03-01-2011 23:30

« BILAN 2010 : L’ÉMERGENCE EN MARCHE »



 
Durant la 1ère année de son mandat, le Chef de l’Etat n’a eu de cesse de concrétiser chacun des 9 axes de son Projet de Société, prioritairement pour le bien être des Gabonais ainsi que pour la sous-région, l’Afrique et le monde entier. Le Président Ali Bongo Ondimba a donné une résonance concrète à l’Emergence du Gabon au travers de décisions, d’actions et de réformes qui sont de véritables leviers de développement pour le Gabon.
« L’heure est à l’action, cette action pensée, programmée, prompte, cohérente et structurante. C’est dans cette optique que se justifient tous les projets initiés à ce jour. » a-t-il déclaré récemment.

La création d’emplois et de richesses, le partage juste et équitable de ces richesses, la transformation et la diversification de l’économie gabonaise, le renforcement de la démocratie et des institutions ; tels sont les engagements pris par le Président Ali Bongo Ondimba à travers son projet « Le Gabon Emergent».

Après l’an 1 de l’Emergence, voici le résumé des principaux chantiers et réformes réalisés ou en cours mis en place par le Président. 

 

Documents à télécharger

 http://medias.legabon.net/PROD/0000000505.pdf

 


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le 03-01-2011 22:57

LE GABON N'A QU'UN SEUL PRESIDENT,C'EST ALI BONGO ONDIMBA. MEUDOUNEU A UN DEPUTE, Mba Obame André!


Les autorités gabonaises, par la voix du ministre de la Communication, Laure Olga Gondjout, ont rappelé, ce vendredi, à  André Mba Obame "L'USURPATEUR NATIONAL" qu’il était le «député de Medouneu » et non pas le « président élu ».

 

 

Cette réaction de madame Gondjout recueillie par l’Agence France Presse (AFP) est  intervenue  au lendemain des déclarations  de M. Mba Obame, à son retour à Libreville au terme d’un séjour (5mois) en France.

 

Au siège de l’Union Nationale (UN, opposition), André Mba Obame, secrétaire exécutif dudit parti  avait affirmé devant ses militants que  « nous sommes dans une situation comme en Côte d'Ivoire où il y un président élu et un président légal ».

 

Pour Laure Olga Gondjout que cite toujours l’AFP, ce retour de l’opposant était, non  seulement, un « non-événement » mais surtout : « André Mba Obame est le député de Medouneu. Il vient de s'autoproclamer Président de la République élu contrairement aux résultats des urnes. Il n'a pas été déclaré vainqueur par la Cenap (Commission électorale nationale autonome permanente), il n'a pas été proclamé par la Cour Constitutionnelle, il n'a pas été reconnu par la communauté internationale

 

Le ministre de la Communication a néanmoins  concédé que  « sur le plan international, il n'a que la reconnaissance de Michel De Bonnecorse qui s'est par la suite rétracté » après ses propos tenus dans un documentaire diffusé par France 2, avant le milieu du mois en cours.

 

 

Dans ce sujet consacré à la « Françafrique », on a pu entendre M. de Bonnecorse, ex-conseiller Afrique du président français Jacques Chirac, affirmer  que les résultats de la présidentielle du 30 aout 2009, remportée par Ali Bongo Ondimba, avaient été inversés  en s’appuyant sur une rumeur(…). Mais, depuis, l’homme a avoué: « j'ai sans doute été maladroit ».

 

En dépit de ce démenti, André Mba Obame persiste en revendiquant la victoire au point que le chef du département de la Communication ait formulé : «La Cour constitutionnelle devrait peut-être se pencher sur ce cas d'incompatibilité de mandat. S'il est le président comme seul lui le dit, il ne peut pas être député».

 

La Cour Constitutionnelle, la plus haute juridiction de l’Etat en matière constitutionnelle, avait validé, au terme d’un long contentieux électoral,  l’élection d’Ali Bongo Ondimba et investi le candidat du Parti Démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir) dans ses fonctions de président de la République Gabonaise, le 16 octobre 2009, en présence de nombreux dirigeants étrangers.

 

 

Dans son article 92, on peut lire que « les décisions de la Cour Constitutionnelle ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toutes les autorités administratives et juridictionnelles et à toutes les personnes physiques et morales ».

 

 

 LA FEDERATION PDG RUSSIE ET EUROPE DE L'EST CONDAMNE AVEC FERMETÉ LES INCITATIONS DES USURPATEURS NATIONAUX A LA DÉSOLATION DU PEUPLE GABONAIS!  MESSIEURS,LAISSEZ NOUS AVANCER!

 

 

 

 


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le 03-01-2011 22:41

INFO IMPORTANTE!!!


La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est vous offre le discours officiel du Président de la République Gabonaise , Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA .
 


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le 03-01-2011 22:28

Communiqué du Gouvernement gabonais (TEXTE INTEGRAL)


La  «connexion » entre « un certain nombre de marginaux gabonais, aujourd’hui regroupés au sein de l’Union Nationale(…) avec des médias étrangers qui agissent de façon récurrente contre les intérêts du Gabon et du peuple gabonais » a été condamnée par le Gouvernement  à travers un communiqué, sur fond d’ « informations » qui  « proviendraient du ‘’  célèbre ‘’ site internet  Wilkileaks, via des notes d’un ambassadeur des USA au Cameroun, élaborées sur la base des déclarations invérifiables d’un haut cadre de la BEAC au Cameroun (…)selon lesquelles,  le président Omar BONGO ONDIMBA serait à l’origine des détournements estimés à 30 millions d’euros opérés sur les comptes de la BEAC, à son siège de Yaoundé ».

TEXTE INTEGRAL:

« Le Gouvernement de la République constate, pour le déplorer et le condamner fortement, qu’un certain nombre de marginaux gabonais, aujourd’hui regroupés au sein de l’Union Nationale, en connexion avec des médias étrangers, agissent de façon récurrente contre les intérêts du Gabon et du peuple gabonais.

Avec le recul, leurs menées subversives ont commencé dès la fin du deuxième trimestre et le début du second semestre 2009, en orchestrant des tentatives d’atteinte à l’honneur du Président Omar BONGO ONDIMBA, alors qu’il était profondément affligé par le décès de son épouse et qu’il luttait contre la maladie, accélérée par sa prise de conscience que sa confiance et sa légendaire magnanimité, étaient gravement trahies par ceux qu’il avait longuement gardés aux affaires, en leur accordant d’importants privilèges, afin qu’ils se mettent inlassablement et en toute loyauté au service du peuple gabonais :

-          en apportant aux Gabonaises et aux Gabonais, la route jusque dans le Gabon profond ;

-          en maintenant le système éducatif gabonais au niveau où, jadis, il se distinguait admirablement en Afrique ;

-          en garantissant le niveau de modernisation des structures hospitalières dont les Gabonaises et les Gabonais  en étaient fiers avec notamment  «  Jeanne EBORI »,  « Paul IGAMBA » et  la pédiatrie d’Owendo ;

-          en modernisant toutes les Communes et tous les Districts du pays, grâce aux Fêtes Tournantes du 17 août dont fort malheureusement, la gestion inqualifiable de tous ces importants projets a transformé l’espoir du peuple gabonais en cauchemar généralisé dans tout le pays.

Toutes ces déviances, condamnées, en son temps, par le Président Omar BONGO ONDIMBA, dans son discours  du 01er  décembre 2007, dans lequel le portrait des traitres a été dessiné, ont gravement paupérisé et précarisé les Gabonaises et les Gabonais.

La trahison a atteint son plus haut sommet dès l’annonce du décès du Président Omar BONGO ONDIMBA et durant le processus de ses obsèques.

Quant aux propos et actes d’intoxication de l’opinion et de subversion, la ligne, convenue comme infranchissable, dans toute société civilisée, a été foulée aux pieds par les actuels dirigeants de ce conglomérat appelé UN, qui rivalisaient des perfidies durant la période de transition, avant et après la présidentielle anticipée du 30 août 2009. Et comme il semble qu’ils ne sont pas suffisamment satisfaits de souiller la mémoire du Président Omar BONGO ONDIMBA, et qu’ils n’ont plus la possibilité de revenir aux affaires pour continuer à piller le Gabon et son peuple, ensemble avec leurs alliés extérieurs, la dernière trouvaille, en date, viendrait d’un organe de presse espagnol et porterait sur la BEAC.

En effet, les médias publics français relaient  des informations selon lesquelles, Président Omar BONGO ONDIMBA, serait à l’origine des détournements estimés à 30 millions d’euros opérés sur les comptes de la BEAC, à son siège de Yaoundé, au Cameroun.

Ces informations proviendraient du ‘’  célèbre ‘’ site internet  Wilkileaks, via des notes d’un ambassadeur des USA au Cameroun, élaborées sur la base des déclarations invérifiables d’un haut cadre de la BEAC au Cameroun.

Profondément surpris par ces allégations grotesques et inopportunes, le Gouvernement gabonais tient à préciser que la gestion des ressources des Etats, placés à la BEAC, est entièrement déléguée à cette institution par les Etats membres de la CEMAC.

Par conséquent, et à aucun moment, un Chef d’Etat, fut-il du Gabon, ne peut ordonner des mouvements sur les comptes de la BEAC, notamment ceux ouverts au siège central.

Les opérations effectuées par les Etats, sont réalisées à travers un compte domicilié dans chaque Direction Nationale de la BEAC. Ce compte est ouvert au nom du Trésor Public. Au Gabon, seul le Trésorier Payeur Général est l’exclusif signataire des opérations sur ce compte.

Ainsi, un Président de la République ne peut donc, ni de près, ni de loin, être impliqué dans la gestion des comptes ouverts à la BEAC. Il est simplement informé de la situation de ces comptes par son Ministre des Finances.

Néanmoins, le Gouvernement gabonais, comme ceux d’autres Etats membres de la CEMAC, a été informé, en 2009, de ce que des malversations financières avaient été constatées au bureau de la BEAC de Paris.

Ces malversations ont été confirmées par un audit indépendant qui a par ailleurs relevé qu’elles étaient l’œuvre de certains agents de la BEAC agissant pour leur propre compte et sans instruction aucune des Etats. Il est à préciser que lesdits agents sont originaires  de plusieurs pays de la sous-région et non pas seulement du Gabon.

Aussi, le dernier Sommet des Chefs d’Etats de la CEMAC, saisi de ce dossier, a-t-il pris un certain nombre de décisions pour situer les responsabilités et punir les auteurs de ces actes de malversation.

S’agissant du cas particulier du Gabon, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, avant tous les autres Chefs  d’Etats membres de la Communauté, a pris très rapidement des mesures pour que les Gabonais impliqués, dans les détournements à la BEAC, répondent  de leurs actes devant la Justice.

Devant la gravité des informations rapportées par la presse internationale et portant également atteinte à l’honneur des dirigeants et du peuple français avec qui le Gabon entretient d’excellentes et historiques relations de coopération, le Gouvernement gabonais met en garde cette presse et ses complices contre leurs vaines tentatives.

Le Gouvernement, en invitant le peuple gabonais à la vigilance, se réserve le droit d’entamer toute action requise afin de tirer toutes les conséquences d’un tel acharnement d’une certaine presse dont il est  avéré qu’elle est d’intelligence avec une pseudo-opposition gabonaise, constituée d’anciens dirigeants  et associées à des lobbies étrangers, mécontents de voir le Gabon être irréversiblement placé sur l’orbite de l’Emergence et redoutant les résultats des vérifications en cours sur la gestion des fêtes tournantes du 17 août.

Fait à Libreville, le 30 décembre 2010

Le Porte-parole du Gouvernement,

Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur,

de la Recherche Scientifique et de l’Innovation

Séraphin MOUNDOUNGA  »

 


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