« A beau chasser le naturel, il revient au galop », c’est ce que nous rappelle un proverbe bien connu. Resté pendant des décennies le tortionnaire du peuple gabonais et reconverti en « agneau » durant la campagne présidentielle, le plus malheureux des candidats décide de s’en prendre au fils d’Ali BONGO ONDIMBA, en souhaitant que celui-ci ne prenne plus la parole tant que son père sera à la tête du Gabon. Le bourreau ressort ses vieilles habitudes.

Nous sommes tentés de savoir : qui fait les lois au Gabon? Ou est-ce une faute ou une tare d’être le fils d’un chef d’état?

Selon la Constitution gabonaise dans son article premier il est clairement dit :

  1. Chaque citoyen a droit au libre développement de sa personnalité, dans le respect des droits d’autrui et de l’ordre public. Nul ne peut être humilié, maltraité ou torturé, même lorsqu’il est en état d’arrestation ou d’emprisonnement.
  1. La liberté de conscience, de pensée, d’opinion, d’expression, de communication, la pratique de la religion, sont garantis à tous, sous réserve du respect de l’ordre public.

Comme la majorité des citoyens gabonais le constate depuis quelques mois, suite à sa défaite qu’il n’arrive toujours pas à digérer, le plus malheureux des candidats à l’élection présidentielle en quête de pouvoir et de gloire a décidé de s’investir dans un nouveau combat : la calomnie, la provocation, la diffamation et l’injure. Pour savoir qui sait : suivez mon regard.

Hélas, cette manière d’agir ne figurait nullement dans notre projet de société, l’Avenir en Confiance car nous restons convaincus qu’elle ne parviendra pas à améliorer les conditions de vie des populations gabonaises.

Aussi, il y a lieu de préciser que la plus belle femme ne peut donner que ce qu’elle a. Et avec le Président de la République dans sa détermination de faire régner le changement, nous avons mieux à offrir à nos compatriotes que du « Kongossa Politique Inutile ».

De plus, ne pouvant atteindre le chef de l’état qui monte le niveau de plus en plus haut à travers les actions concrètes qu’il propose et pose en vue du bien être de ses concitoyens, ce candidat malheureux complètement obsolète a décidé de s’attaquer à un jeune citoyen gabonais, le fils du Président de la République, Nourredine BONGO ONDIMBA.

Pour ce perdant totalement perdu, notre jeune compatriote n’a pas le droit de s’exprimer dans son pays sous prétexte qu’il a des liens de filiation avec le Président de la République.

Face à une telle attitude ringarde, un questionnement s’impose !

- Le fils d’un chef de l’état n’a-t-il pas les mêmes droits de citoyens que tous ses compatriotes ?

- Devrait-on entendre qu’au Gabon, un membre de la famille présidentielle n’a plus le droit de s’exprimer librement ou publiquement ?

- Finalement qui viole les libertés individuelles dans notre pays? La majorité ou celui qui crie au loup à tous vents ?

- Est-ce une faute ou un délit que notre compatriote Nourredine BONGO ONDIMBA prenne la parole devant les médias de son pays pour donner son sentiment ou son avis sur un fait de société?

Nous doutons fortement que les ennemis du peuple gabonais avec en tête de lice le bourreau des honnêtes citoyens proposent des réponses sensées à ces interrogations.

Cependant il y a lieu de rappeler à certains compatriotes terrassés par une aigreur indescriptible que les lois de la République sont claires et que nous comptions nous appuyer sur leurs richesses pour bâtir un pays fort, uni et prospère.

Enfin, qu’ils sachent que Nourredine BONGO ONDIMBA est un citoyen gabonais à part entière à ne pas mettre entièrement à part. Il a les mêmes droits et devoirs que tous ses compatriotes.

Le peuple gabonais en proie au changement veillera au respect de la liberté et de l’égalité de tous devant la Loi.