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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 09-12-2009 16:20

Planet Finances lance la Gabonaise de Microfinances

 L'organisation de Jacques Attali, Planet Finances, inaugurera le 11 décembre prochain la Gabonaise de microfinances (GAMIFI), un établissement de micro-crédits destiné à lutter contre la pauvreté et à soutenir le développement socio-économique du pays. Depuis 2007, l'Etat gabonais a sollicité le soutien de l'expert français pour renforcer l'offre de micro-crédits qui ne couvrirait que 26% de la demande potentielle.
 
 
Le Gabon sera bientôt doté d'une nouvelle agence de microfinance qui vise à améliorer le développement des micro-entreprises. Les travaux engagés depuis 2007 par les autorités gabonaises avec le Groupe Planet Finances, de Jacques Attali, ont permis la création d'une nouvelle structure de microfinance par l'organisation de solidarité internationale de lutte contre la pauvreté.

Planet Finances inaugurera ainsi le 11 décembre prochain à Libreville la Gabonaise de microfinances (GAMIFI), dont le siège sera situé au quartier Likouala, au centre de la capitale gabonaise. 

Cette nouvelle structure doit permettre de lutter durablement contre la pauvreté grâce à l’accès aux services d’épargne et de crédit pour les personnes à faibles revenus et aux micro-entrepreneurs
porteurs de projets. Elle va également s’atteler à augmenter l’offre de services de micro-finance, avec l’application des meilleures pratiques de micro-finance selon les standards des internationaux. Elle servira également d’appui aux groupements d’intérêts économiques et les coopératives grâce à un programme durable de micro-finance.

Selon les études réalisées depuis 2007 par les experts de la Planet Finances, les établissements de microfinance gabonais ne couvrent actuellement que 26% de la demande potentielle exprimée par les micro-entrepreneurs.

La GAMIFI proposera deux types de services, à savoir des prêts allant de 50 000 francs CFA à 2 000 000 de francs CFA, principalement destinés à renforcer les fonds de roulements ou à financer l’acquisition de petits équipements pour les micro-entrepreneurs, ainsi que des services d’épargne, comme les comptes de dépôt à vue, avec un montant minimum de 5 000 francs CFA. Elle devrait également proposer des crédits solidaires et des produits d’épargne à terme à partir de 2010.

La direction de GAMIFI est assurée par les experts de Planet Finances. Le groupe a lancé la création de GAMIFI avec un capital de 524 000 000 de francs CFA, soit près de 800 000€, avec d’autres actionnaires comme la BICIG, AXA Gabon, Pétro-Gabon, Total Gabon. Ce capital doit être porté à 655 millions de francs CFA, soit 1 million d'euros, dès 2010

Publié le 09-12-2009    Source : gaboneco     Auteur : gaboneco   

 

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le 09-12-2009 00:00

GUY NZOUBA NDAMA A MALABO

Le Président de l’Assemblée nationale, M. Guy Nzouba Ndama séjourne depuis lundi en Guinée Equatoriale où il a représenté le chef de l’Etat, S.E. Ali bongo Ondimba à la cérémonie d’investiture du président Théodoro Obiang Nguema Mbasogo, réélu à la tête de son pays pour un nouveau bail de 7 ans, lors du scrutin du 29 novembre dernier.

Aux côtés de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement du continent, le président Nzouba a présenté ses civilités à ses hôtes avant de prendre part à la somptueuse cérémonie de prestation de serment, devant un parterre d’invités et des militants du Parti démocratique de Guinée Equatoriale (PDGE au pouvoir).

Il faut retenir que le chef de l’Etat de ce pays ami, au pouvoir depuis 1979 a été régulièrement réélu par son peuple.

J.M.

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le 08-12-2009 23:55

Le Président Ali Bongo Ondimba marque aux hélicoptères militaires

 

Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba et des membres de sa délégation ont effectué lundi à Milan (Italie) un vol de démonstration à bord d’un hélicoptère AW 139 version militaire, a constaté l’envoyé spécial de l’AGP.

 

Ce vol a été organisé à l’initiative de la société italienne Agusta Westland qui présentaient au chef suprême des armées gabonaises, les différents types d’appareils assemblés dans leur usine.

Le président Ali Bongo Ondimba, a marqué sa priorité pour les versions militaires des hélicoptères que lui ont présentés les responsables de la société Agusta Westland qu’il a visitée pendant plus de deux heures non loin de Milan.

Le choix porté par le chef de l’Etat gabonais sur les modèles militaires destinés aussi bien au transport des troupes, selon la taille de l’appareil, que pour d’autres opérations de sécurisation et humanitaires, répond à son souci de poursuivre le renforcement des capacités opérationnelles des forces de défense et de sécurité engagées depuis plusieurs années. 

Ali Bongo Ondimba, l’a clairement exprimé lors de l’exposé qu’a fait le directeur exécutif de la société Agusto, Bruno Spagnoli. Ce dernier n’ayant pas manqué de vanter les configurations, qualités et prouesses technologiques des hélicoptères que fabrique sa structure qui bénéficie en la matière d’une réputation mondiale. Et, aussi de susciter un réel intérêt de ses produits.

Effectivement, la délégation gabonaise comprenant, entre autres, Paul Toungui et Léon Nzouba, respectivement ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et de la Formation professionnelle et l’Enseignement technique, a pu apprécier le niveau de performance des produits fabriqués par cette compagnie ilato-anglaise.

Pendant toute la visite des différents locaux de cette structure qui livre depuis des années à plusieurs pays de la planète et compris africains, divers types d’appareils, de même que l’expertise de ses pilotes et techniciens, différents modèles lui ont été présentés. De l’hélicoptère de type AW 139 à bord duquel le président de la République et quelques membres de sa délégation ont eu droit à une démonstration aérienne, au modèle 101 version militaire déployés en Irak, Afghanistan et autres centres d’opérations, pouvant, à lui seul, transporter 55 passagers, sont autant de versions qui n’ont pas laissé les autorités gabonaises indifférentes, en passant par le AW 119. 

On retient que, même si les besoins des forces de défense et de sécurité exprimés, encore moins de commandes, au terme de la démonstration aérienne, le président de la République, habitué de ces exercices d’essai aérien, entendaient bien pouvoir juger, de lui-même, du niveau technologique et de l’importance des offres faites par ses hôtes. Lesquels, d’ailleurs, déjà engagées dans une coopération avec le Gabon pour le volet militaire, se sont encore montrés très honorés d’accueillir le chef de l’Etat gabonais. 

Ils se sont, par ailleurs, surtout dit davantage disposés à répondre aux besoins de transports de troupes des forces de défense et de sécurité. La visite du président Ali Bongo Ondimba étant une occasion pour faire la démonstration de l’expertise de cette usine d’assemblage aéronautique. 

En se rendant à Agusto, deuxième grand temps de sa visite de travail et d’amitié à Milan entamée vendredi dernier, le chef de l’Etat gabonais, a réaffirmé toute l’importance qu’il accorde aux questions de sécurité et de défense. Plus particulièrement, à l’amélioration des conditions de travail des forces, laquelle passe par la dotation de moyens et du matériel à même de leur permettre d’assurer les missions régaliennes qui sont les leurs.

Si ces questions militaires ont occupé une place majeure lors de la première étape de Milan du séjour italien du président gabonais, le pétrole et la formation n’ont pas moins été abordés. 

La veille au cours de l’audience qu’il a accordé à M. Paolo Scorani l’Administrateur délégué de la compagnie pétrolière italienne Eni (ex Agip) à l’hôtel Four Saisons de Milan, le patron italien a fait le point des activités de son groupe présent au Gabon depuis un an, depuis l’attribution de permis et contrats conclus avec l’Etat gabonais. 

Mais, M. Scorani a, aussi, évoqué leur implication dans le volet formation. Notamment, les actions menées en direction de la jeunesse gabonaise, par le biais, d’établissements universitaires gabonaises. L’apport du groupe pétrolier italien devrait pouvoir être renforcé et permettre de marquer un peu plus le retour de ce nouveau partenaire dans le développement du Gabon. 

Eni, qui avait, en son temps, marquer de sa présence au Gabon, entend bien rejouer un rôle important, sinon, accompagner le président Ali Bongo Ondimba, dans la mise en œuvre de son ambition pour le Gabon. 

De son côté, le numéro un gabonais, qui compte bien, comme il l’avait annoncé dans son important discours d’investiture à la présidence de la République, maintenir les relations de coopération économique avec les partenaires du Gabon, œuvrer de concert avec eux dans l’intérêt du peuple gabonais. 

Dans le cadre de la relation avec Eni, laquelle avait été renouée par son prédécesseur à la tête du pays, feu Omar Bongo Ondimba, au-delà, du volet portant sur l’exploitation et l’exploration du sous-sol, la formation des Gabonais dans divers domaines reste un pan indispensable pour le Gabon émergent qu’il a proposé et s’est engagé à promouvoir un peu plus.

Ce mardi, le chef de l’Etat se rend à Rome où il recevra, mercredi, des évêques, avant la rencontre, de jeudi au Vatican avec le Pape Benoît XVI.

C’est la deuxième visite que le numéro un gabonais effectue en Italie et en Europe depuis sa prise de fonction le 16 octobre dernier.
 

Source: AGP 

 

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le 08-12-2009 23:50

Le PM pour une lutte implacable contre la corruption

 

 Le Premier ministre gabonais, Paul Biyoghé Mba a déclaré mardi à Libreville, que la lutte contre la corruption ainsi que la promotion de la transparence et la bonne gouvernance doivent désormais devenir des valeurs cardinales dans le secteur public et partant dans toute la société, à la veille de la célébration mondiale de lutte contre la corruption.

M. Biyoghé Mba dans une allocution télévisée, a affirmé que le Gabon fait partie des Etats qui se sont résolument engagés dans cette lutte contre l’enrichissement illicite.

Selon, le chef du gouvernement, le président de la République, Ali Bongo Ondimba en a fait un des axes majeurs de son projet de société, l’Avenir en confiance.

’’Le Gabon émergent que le président de la République appelle de tous ses vœux doit être en effet débarrassé de la corruption’’, a indiqué le Premier ministre.


Avec courage, audace et efficacité extirpons ensemble ce mal endémique qui gangrène notre société car, la corruption n’est pas une fatalité. C’est un phénomène provoqué et entretenu délibérément, qui a un début et peut avoir une fin. Pourvu que les différents acteurs de la société à tous les niveaux, prennent conscience de l’enjeu, a-t-il martelé.

Comme je l’ai annoncé dans mon programme de politique générale du 26 novembre dernier à l’Assemblée nationale, a poursuivi M. Biyoghé Mba, trois types d’actions seront menées concomitamment dès maintenant, au plan institutionnel, renforcer les capacités d’action de la commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite, en matière de prévention, intensifier les actions de prévention dans tous secteurs; en matière de répression, lutter contre l’impunité par l’application rigoureuse des textes en vigueur.

Dans cette optique, il a invité tous les agents publics, à se conformer à l’obligation de déclaration de leurs biens à l’instar des membres du gouvernement.

De même, il importe que tous les assujettis à la déclaration de soupçon s’acquittent de cette formalité auprès de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) conformément aux textes en vigueu, a expliqué M. Biyoghé Mba.

Par ailleurs, il est déterminant que le secteur privé soit convaincu qu’il y va de son intérêt économique de s’attaquer aux pratiques de corruption et d’enrichissement illicite. Un engagement collectif des entreprises dans les pactes d’intégrité ou des codes d’éthique professionnelle pourrait constituer un début de solution dans ce combat contre la corruption, souhaité le chef du gouvernement.

’’De même, la société civile et les médias doivent jouer un rôle décisif dans la création et le maintien d’une atmosphère qui décourage la fraude et la corruption dans la vie publique. En fait, ils doivent constituer des facteurs importants dans l’éradication de la corruption’’, a exhorté M. Biyoghé Mba, tout en soulignant compter sur la participation de tous pour bouter hors du Gabon la corruption.



La corruption a atteint dans le monde des limites dangereuses et intolérables. Multiforme et internationale, elle touche aussi bien les pays du Sud que ceux du Nord, a-t-il révélé, précisant quelle constitue aujourd’hui une entrave grave à la croissance et au développement.

La Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International évaluent les sommes détournées au titre de la corruption à plus de 1 000 milliards de dollars par an, soit 5 % du PIB africain.

L’Union Africaine considère que la corruption coûte aux économies africaines plus de 148 milliards de dollars par an, soit 25 % du PIB africain.

L’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) estime, pour sa part, que les pays qui prennent des mesures de lutte contre la corruption et de promotion du respect de la légalité pourraient augmenter leur revenu national de 400 %.

IM/ 

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