Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 16-05-2010 21:22

Le gisement d’or de Bakoudou exploité en 2011


 
 
 
 
 
 
 Le gisement d’or de Bakoudou situé entre les villes de Moanda et Bakoumba dans la province du Haut-Ogooué (sud-est) du Gabon, verra son exploitation en 2011, a-t-on appris dimanche de source proche de la primature.

La convention en vue de la mise en exploitation de ce minerai a été signée vendredi dernier entre le ministre gabonais des Mines, Julien Nkoghé Bekalé et le directeur général du groupe Managem, Abdelaziz Abarro, entreprise ayant décroché le marché, en présence du Premier ministre, Paul Biyoghé Mba.

M. Nkoghé Bekalé faisant l’historique du projet qui date de 2005, a rassuré le Premier ministre de la fiabilité de ce projet pour l’économie du pays.

‘’Le projet minier de Bakoudou, pour une première durée d’exploitation de trois à quatre ans, comporte des réserves de 48620 tonnes d’or avec une production annuelle estimée 56 tonnes’’, a-t-il affirmé, précisant que le coût d’investissement est de l’ordre de 13 milliards de FCFA.

L’exploitation de cet or créera 178 emplois directs, soit 22 expatriés et 156 gabonais.

Le groupe marocain, Managem est présente au Gabon où elle détient deux permis de recherche, l’un pour l’or de Lébomb.
 
 
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le 16-05-2010 21:19

Ali Bongo Ondimba en Ntoum, lundi


 
 
 
Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba se rendra lundi prochain en Ntoum (40 km) au sud de Libreville pour inaugurer un édifice devant abriter la Cour des Comptes dans le département du Komo-Mondah, a-t-on appris dimanche de source officielle.

Selon la source, le numéro un gabonais devrait également procéder au lancement des travaux d’une salle polyvalente dans cette localité qui devient par la force de chose, une ville désengorgement de la capitale gabonaise.

La ville de Ntoum, accueille également la maison de la femme pour la province de l’estuaire dont Libreville fait partie. Elle est à une quinzaine de minute de la capitale. Les bus de la Société gabonaise des transports (SOGATRA) dessert cette ville en pleine mutation pour un coût de l’ordre de 300 FCFA le trajet.

Plusieurs habitants de Ntoum travaillent et leurs enfants scolarisés à Libreville.
 
 
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le 16-05-2010 21:11

« J’appelle le syndicat au sursaut national (…) en faisant cesser la grève », Flavien Nzengui Nzoundou

 

 

Le ministre de l’Equipement ,des Infrastructures et de l’Aménagement du territoire, Flavien Nzengui Nzoundou, dans un entretien accordé à la presse et dont la Federation PDG Russie et Europe publie l’intégralité, à l’issue de sa visite impromptue, mercredi dernier, dans différents quartiers de Libreville, en a tiré les enseignements non sans appeler les agents de son département au sursaut national, au sens du patriotisme, pour une reprise du travail et ainsi rattraper le retard accusé dans l’exécution des tâches.

Notons que cette visite, qui intervenait à 90 jours environ de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance, le 17 août prochain, aura permis au ministre de l’Equipement, de s’assurer de l’état d’avancement des grands travaux au moment où une grève fait tâche d’huile au sein du département dont il a la charge.

PRESSE: - Monsieur le ministre quel était le but de cette visite inopinée sur différents sites?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Le principal élément de cette visite est venir constater l’avancement des travaux de la construction de la section de route qui passe du pont OCTRA jusqu’au port d’Owendo, qui est aménagé en deux fois deux voies. Les travaux sont réalisés par la société SOCOBA.

Je ne reviendrais pas sur le passé. Les travaux ont été émaillés par biens d’aléas. Je ne reviendrais pas là dessus. Il faut plutôt dire aujourd’hui « ouf », enfin! Enfin cette section de route qui consacre la finition de la voie expresse partant du carrefour Gigi, au niveau de la résidence de l’ancien Maire de Libreville, André Dieudonné Berre, jusqu’au port à bois d’Owendo. « Ouf » pour les riverains, « ouf» pour les usagers de la route et enfin « ouf » pour l’administration.

Aujourd’hui, les travaux ont atteint plus de 92%. Les responsables de SOCOBA qui nous ont donc accompagnés pendant de cette visite, l’ont dit. Il ne reste que les travaux de la signalisation verticale et horizontale, l’installation de feux tricolores au niveau des carrefours dangereux dont celui du passage à niveau du chemin de fer.

Du reste, vous avez dû constater, comme moi, que les usagers n’hésitent plus à écraser leur pédale d’accélérateur. La vie des usagers est donc en danger au niveau du passage à niveau du chemin de fer. Il y a là urgence pour installer cette signalisation.

Ces actions rentrent dans le cadre d’un processus. Non seulement parce que dans quelques mois nous aurons à organiser le cinquantenaire de l’accession de notre pays à l’indépendance, le 17 août 2010, mais, vous comprenez aussi que dans plus d’une dizaine de mois, nous abriterons la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football. Et, nous aurons des invités. Personne ne nous jettera la pierre si le gouvernement prenait les dispositions pour essayer de présenter, le moment venu, une ville propre.    

Je l’ai annoncé au cours d’une intervention aux média, que je donnais un délai de trente (30) jours, c’est-à-dire fin mai, pour que tous ceux qui sont installés le long des voies d’abord concernées par les travaux du cinquantième anniversaire, et qui ont eu à ériger des barrières ou à construire en empiétant sur les domaines publics ou sont allés jusqu’au niveau des trottoirs, pour qu’ils réaliser des travaux de  déguerpissement par eux- mêmes. Faute de quoi, c’est l’administration qui s’en chargera et je crois que là, franchement, il n’y aura pas à tergiverser.

Vous constatez comment les gens se sont installés. Ils ont vu un espace vide. Dès lors qu’il est vide, c’est que l’administration n’y est pas. Et l’administration n’y étant pas, pour eux la propriété appartient à celui qui l’occupe le premier. Malheureusement, tout appartient à l’Etat. Mais, l’Etat finit toujours par revendiquer ce qui lui appartient. Et je suis venu là le leur exprimer et leur dire que dans quelques jours, nous viendrons prendre possession du patrimoine de l’Etat. Voilà !

PRESSE: - M. le ministre  votre présence sur le terrain intervient sur fond de grève menée dans votre département par un syndicat. Cela ne risque- t-il pas de freiner votre élan?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Là, il s’agit pour eux d’un intérêt particulier mais au niveau de l’administration, c’est l’intérêt général. Et quand je dis intérêt général, c’est vraiment au plus fort de sa dimension parce que nous, au niveau du gouvernement, au niveau de l’Etat, c’est l’intérêt de la communauté nationale qui prime.

Cela dit, c’est avec beaucoup de respect et d’intérêt que nous prenons en compte les revendications et les demandes du personnel. D’où la concertation que le gouvernement, à travers son chef de file, Paul Biyoghé Mba, premier ministre, s’est impliqué dans les négociations avec le syndicat des Agents du secteur du bâtiment et des Travaux publics en vue de trouver des solutions.

Moi, je pense que le moment est venu, puisque vous m’offrez l’occasion, de lancer un appel au patriotisme en direction des personnels de ce Ministère pour dire, oui, c’est vrai, il faut améliorer les conditions de travail du personnel, oui c’est vrai, il y a des revendications parmi lesquelles, la dette de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Un pourcentage avait été  prélevé sur  leur salaire. Il fallait absolument reverser cela à la CNSS pour que le personnel puisse espérer bénéficier des prestations lorsqu’ils accèderont à la retraite.

Ce sont donc là des choses qu’il faudrait bien que nous regardions. Un regard bienveillant de la part du  gouvernement pour apporter satisfaction à leurs revendications.

Mais, le moment est venu, comme je l’ai dit, d’appeler le personnel du ministère au sursaut d’orgueil; ce sursaut de patriotisme pour que le personnel suspende la grève en laissant le temps au gouvernement de regarder dans un sens global parce que les problèmes ne concernent pas seulement le personnel du ministère…

PRESSE: - Pouvez –vous nous faire l’économie des revendications du personnel et ou en êtes-vous dans leur résolution?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Au départ, il y a un an, c’était quatorze points contenus dans leurs cahiers de charges. A mon niveau, j’ai fait ce que j’ai pu. Et je prends à témoin le Syndicat des Agents  du Secteur des Bâtiments et des Travaux Publics, je prends à témoin les personnels des départements.

A eux de me faire la démonstration de ce que je n’ai pas été attentif à leurs revendications. Pour preuve, des quatorze points (dont  onze que nous pouvons considérer résolus), il y a en qui ont un caractère purement administratif.

Notez que parmi les onze points résolus figurait, par exemple, la revendication des bus de transport. Je n’avais pas attendu, on est parti presque de zéro à deux bus neufs et un bus qui a été totalement reconditionné qui assure aujourd’hui le transport du personnel.

Aujourd’hui, il y a trois points d’achoppement. Il s’agit du projet de statuts particuliers, l’apurement de la dette de la CNSS et la prime de rendement.

Sur les trois, il y a une revendication qui est un droit à savoir une retenue sur salaire pour la cotisation à la CNSS et qui malheureusement n’avait pas été reversée à la CNSS. A ce sujet, l’administration porte une responsabilité, d’accord.

Toutefois, le projet de statut particulier et la prime de rendement, à mon sens, ne sont pas des revendications. Je dirai que ce sont des souhaits, des demandes auprès de l’administration qui concourent à l’amélioration des conditions de travail.

Donc, il n’y a pas,  à mon sens, lieu d’en faire des points d’achoppement qui aboutissent à la suspension de travail, donc à la grève.

PRESSE: - M. le ministre, à l’écoute de votre propos, il y a comme des arrières - pensées. Pensez-vous que ces revendications, qui sont récurrentes ont une lecture politique ?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Je n’ai pas d’éléments qui puissent me permettre de dire ici, et le dire devant vous. Ce serait trop me risquer sur ce champ là, non.

Maintenant, sur la base de ce que nous constatons, oui, je suis en droit de m’interroger comme vous, qu’est-ce qui se passe?  

Je prends à témoin les personnels du département, je n’ai ménagé aucun effort pour trouver les solutions qui procèdent de ma compétence. J’ai fait ce que j’ai pu.

Aujourd’hui, le gouvernement a pris en considération l’ensemble des revendications. Il revient maintenant à ce que le syndicat apporte un bémol à sa grève pour laisser le temps au premier ministre de trouver les solutions.

Vous savez, laissons le temps au temps. Il nous dira ce qu’il en est exactement.

PRESSE:- M. le ministre à vous entendre, cela veut dire que certaines revendications ne sont pas recevables?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Non, je n’irais pas jusqu’à dire cela. Il est tout à fait normal que vous demandiez quelque chose. On dit frappez à la porte, on vous ouvrira. Si on ne peut pas, on vous dit qu’on ne peut pas. Mais ce que je veux dire, c’est que dès lors que vous demandez, ça ne constitue pas une revendication.

Parce qu’il n’y a pas de texte qui stipule que vous avez droit à X franc, par mois, par trimestre ou par semestre. Donc, il s’agit là d’une demande.

PRESSE:- On vous a adjoint l’Aménagement du territoire lors de la composition du nouveau gouvernement, en octobre dernier. Or, les agents qui arrivent de l’Administration du territoire viennent avec des avantages acquis qu’il faut harmoniser avec le ministère dont vous a avez toujours la charge. Tout à l’heure, nous vous demandions où vous êtes avec la résolution de ces problèmes?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Les agents du ministère de l’Equipement et de l’Infrastructure pour ne s’arrêter que là, ceux qui ont reçu leurs collègues de l’Aménagement du territoire, avaient déjà ce point dans leurs cahiers de charges; celui de la demande de prime de rendement.

Seulement, lorsqu’au 17 octobre dernier, le nouveau gouvernement est mis en place, cette entité s’est vue rattacher à l’Aménagement du territoire, qui appartenait au ministère de la Planification. Ce ministère est un ministère financier, ce n’est pas propre au Gabon. Dans tous les pays du monde, les ministères financiers manipulent l’argent. Donc, ils ont toujours quelque chose pour éviter qu’ils soient soumis à la tentation.

Ainsi, ce personnel arrive avec une prime de rendement. Au 17 octobre, c’est donc le début du dernier trimestre de 2009. Et, à la fin de ce trimestre, ils reçoivent leurs primes. Et moi j’ai dis, versons leurs ces primes parce que le trimestre a débuté alors qu’ils étaient encore au ministère de la Planification.

Cependant, début 2010, dès lors que  c’est maintenant une seule entité, il n’y a plus de différence entre ceux qui viennent du ministère des Infrastructures et ceux qui viennent de l’Aménagement du territoire.

Pour plus d’équité, il fallait que tout le monde bénéficie d’une prime de rendement ou pas du tout.

Aujourd’hui, nous sommes maintenant confrontés à un département à deux vitesses. Le gouvernement s’est saisi du problème, c’est en étude.

Mais, vous comprenez que le budget est lancé, la loi est votée, c’est une loi. Pour pouvoir trouver quelque chose afin qu’on puisse élargir cette prime à l’ensemble des personnels de l’équipement et des infrastructures, il faudrait revisiter la loi. Il existe peut être d’autres voies possibles pour trouver quelque chose. Ce que nous tentons de faire en ce moment. Des instructions ont été données au gouvernement pour voir qu’est ce que l’on fait sur ce problème récurent de primes de rendement au niveau de l’administration gabonaise.

PRESSE: - M. le ministre, est-ce que globalement cette situation a une incidence sur les grands chantiers que vous menez à travers le territoire ? Est-ce que les délais vont être respectés ?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Ah oui. Chacun en partant de chez lui pour aller au point de destination afin mener son activité professionnelle, il a eu le temps, et il a toujours le temps, tous les jours, d’apprécier le travail  du ministère de l’Equipement, des Infrastructures et de l’Aménagement du territoire.

Vous comprenez aisément qu’une minute d’arrêt de travail dans ce département, c’est tout le pays qui est touché. Les bourbiers dont on parle aujourd’hui, ces bourbiers sont la conséquence de la grève de l’année dernière. Et ils choisissent bien le moment: la saison sèche.

C’est la période indiquée pour les travaux routiers. Et donc le personnel de ce département choisi toujours cette période pour un débrayage. D’où la nécessité pour l’administration  de trouver les solutions afin que cette grève prenne fin.

PRESSE: - En terme de durée, est-ce qu’on peut dire que les retards sont énormes et comment les rattraper?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - C’est difficile à rattraper. Dans un domaine aussi technique, rattraper veut dire accélérer et accélérer…

Entre-nous, il y a des délais incompressibles en technique. Et, on vous dit une fois qu’on a déroulé la couche de base, il faut attendre tel temps pour observer le comportement de la chaussée avant de venir poser telle autre couche.

Je prends un exemple qui peut facilement être compris par le commun des mortels, c’est dans le travail du béton.

On vous dira que le béton pour le soumettre à un poids, à une pression, il faut attendre 21 jours de séchage. Vous voyez? Donc si vous réalisez un ouvrage d’art et que le lendemain vous venez lui faire subir une charge avant les 21 jours, ça n’ira pas !

PRESSE: - Alors, à moins de 90 jours de la célébration du cinquantenaire, y a-t-il des inquiétudes?

FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU: - Inquiétudes, non! Nous nous sommes  fixés un objectif. Le chef du gouvernement a dit, à moi-même, donc à l’administration des Equipement de l’Infrastructure et de l’Aménagement du territoire, que les travaux de voirie doivent être achevés au 30 juillet 2010. C’est une instruction. Les entreprises nous ont assuré qu’elles feront tout pour que ces travaux soient achevés au 30 juillet. Il faut qu’elles tiennent leurs engagements.

Maintenant, toute œuvre humaine…

Mais, je vous dis personnellement, oui, les travaux seront achevés au 30 juillet. Laissons les choses avancer et nous verrons si effectivement ça été possible.

PRESSE:- Merci M. le ministre.

 

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le 16-05-2010 15:27

Foot - CAN En route pour les années impaires

Selon un communiqué de la Confédération africaine de football (CAF) paru ce samedi, la Coupe d'Afrique des nations (CAN) aura bien lieu les années impaires à partir de 2013. La prochaine CAN, qui se tiendra en 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale, sera donc suivie d'un autre tournoi douze mois plus tard, en Libye. Depuis l'édition 1968 en Ethiopie, les CAN étaient organisées tous les deux ans, les années paires. Ainsi, tous les quatre ans, la compétition avait lieu quelques mois à peine avant la Coupe du monde.

Le changement de calendrier de la CAN était à l'ordre du jour depuis plusieurs années et le président de la CAF, Issa Hayatou, l'avait déjà évoqué devant la presse en 2008. En revanche, le Camerounais a écarté l'idée d'organiser la compétition seulement tous les quatre ans ou de la décaler à l'été. Selon Hayatou, le tournoi est un important vecteur de développement pour les pays hôtes, au niveau des stades et des infrastructures. Et malgré le souhait de la Fifa, la CAN ne peut pas être organisée en milieu d'année pour des raisons climatiques
 


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