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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 31-01-2010 14:52

Fin du recensement des agents de l’Etat et grosses économies


 

-Lancé le 23 novembre dernier, le recensement des agents de l’Etat gabonais a officiellement connu son épilogue le 29 du mois en cours ,le ministre du budget Blaise Louembé qui donnera lundi 1er février un point de presse devra indiquer les premières conclusions de cette vaste opération . 

 
 

Deux mois ont été nécessaires pour conduire à son terme ce que les observateurs désignent comme étant une mesure phare des 100 premiers jours du septennat d’Ali Bongo Ondimba.

La journée de vendredi, la dernière a été entièrement consacrée aux forces de sécurité et de défense (Armée de l’air et de terre, gendarmerie nationale, sapeurs pompiers),recensées dans leur base respective.

Avec, cependant, en appendice, les fonctionnaires du Budget, des Comptes publics, et de la fonction publique, chargé de la Réforme de l’Etat.

L’étape d’hier est toutefois l’une des cinq autres qui vont alimenter l’audit général de la fonction publique pour déboucher sur ce que « à la fin de ce recensement, nous allons avoir une base de données tellement limpides que désormais, c’est par départ à la retraite que le nombre de fonctionnaires va diminuer et par recrutement qu’il va augmenter », selon le pronostic du ministre Blaise Louembé.

Déjà, des informations dirigées laissent entendre qu’une palette des fonctionnaires présumés des « fantômes » a été décelée et des irritabilités béantes constatées.

Pour le moment, le nombre officiel des agents de l’Etat gabonais est de 58.813 pour une assiette salariale de 370 milliards de Fcfa.
La mise sur bons de caisse de plusieurs fonctionnaires a permis, au mois de janvier, par exemple, de débusquer une kyrielle de double, voire de triple emplois qui ont dégagé des substantielles économies.

Et, cela reste un doux euphémisme au regard de ce que l’Etat a recouvré.

 

Artcile publié le30/01/2010 source: Auteur:Marc Massamby

 

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le 31-01-2010 14:46

La Conférence de l’Union Africaine s’ouvre, ce dimanche, à Addis-Abeba en Ethiopie, avec la présence remarquée d'Ali BONGO ONDIMBA


– La Conférence de l’Union Africaine (Sommet proprement dit des Chefs d’Etat et de gouvernement), dont les travaux préliminaires ont débuté depuis lundi dernier dans la capitale éthiopienne, s’ouvre ce dimanche et se poursuivra jusqu’au 2 février 2010, avec à la clé une participation active et remarquée du Gabon à travers son président, Ali Bongo Ondimba, accompagné d’une délégation gouvernementale forte des ministres des Affaires Etrangères , Paul Toungui, et de la Communication, Laure Olga Gondjout. 

A se fier à l’agenda officiel du  quatorzième Sommet des Chefs  d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine, qui  se tient à Addis-Abeba en Ethiopie, tout porte à croire que celui est  très chargé cette fois-ci, en ce sens que les dirigeants africains auront à se pencher sur des questions de taille. 

Outre les Technologies de l’Information et de la Communication qui constitueront la clé de voûte de la rencontre, les participants débattront de la réforme de l’Institution panafricaine et de la révision à la hausse de son budget, des discussions sur les statuts et règlement de son personnel, sans compter les dossiers épineux de tensions secouant, entre autres, la Guinée-Conakry, les Comores, Madagascar, Somalie, Soudan (Darfour), Tchad et Centrafrique.

Le Conseil Exécutif, composé des ministres des Affaires Etrangères et autres ministres  ou autorités désignés par les  gouvernements des Etats membres, s’est déroulé les 28 et 29 janvier, tandis que, la Conférence de l’Union ou le sommet proprement dit qui rassemble les Chefs d’Etat et de gouvernement, elle, est programmée se tenir du 31 janvier au 2 février 2010. 

GN/MS/10
 
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le 30-01-2010 19:24

Ali Bongo à Addis-Abeba


 
 


Le président gabonais est attendu ce 30 janvier à Addis-Abeba, en Ethiopie, où il prendra part au 14e sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine (UA). Si les travaux de ce sommet seront consacrés aux nouvelles technologies de l’information et de la communication et leur apport dans le développement, les Chefs d’Etat débattront également de la transformation de la Commission de l’UA en Autorité de l’Union.

 
© D.R.
 
Le président de la République, Ali Bongo, doit se rendre ce 30 janvier à Addis-Abeba, en Ethiopie pour prendre part aux travaux du 14 e sommet des Chefs d’ Etat et de gouvernement de l’Union Africaine (UA 

Les travaux de ce sommet seront consacrés aux nouvelles technologies de l’Information et de la Communication sous le thème «Technologies de l’information et de la communication : défis et perspectives pour le développement». 

Un thème qui tombe à propos pour Ali Bongo qui a fait du développement des TIC une des priorités de son septennat. En témoigne le protocole d’accord sur l’économie numérique signé le 3 décembre dernier à Libreville entre le groupe Microsoft et l’Etat gabonais. Toutefois, le somme abordera également les questions relatives à la transformation de la Commission de l’UA en Autorité de l’UA.

Pour le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, «ce sommet revêt une importance capitale à plusieurs titres, et pas uniquement en raison des multiples crises auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’abord, l’année 2010 sera celle d’un Mondial de football en Afrique. C’est une grande première, à la faveur de laquelle les projecteurs du monde entier seront braqués sur notre continent. Ensuite, une dizaine d’élections présidentielles auront lieu au cours de cette même année. Ce sont des processus toujours délicats».

«Enfin, nous aurons à débattre de notre propre évolution: transformer la Commission de l’UA en Autorité de l’Union, définir la nature, la composition et les mandats de cette Autorité. Le principe de cette évolution est acquis depuis le dernier sommet, à Tripoli. Reste cependant le plus difficile : se mettre d’accord sur son contenu. Je ne vous cache pas que les divergences entre chefs d’État sont nombreuses et que nous devrions encore une fois assister à de chaudes discussions», a-t-il conclu.

Publié le 30-01-2010    Source : Gaboneco 

 

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le 30-01-2010 18:42

La Présidence veut communiquer plus


Lancé le 29 janvier par le porte-parole de la présidence, Guy Bertrand Mapangou, un point presse hebdomadaire sera désormais tenu tous les vendredis pour informer l’opinion nationale sur les activités du Chef de l’Etat, Ali Bongo.
 
© D.R.
 
Tous les vendredis, il y’aura désormais un point presse pour relayer les activités du Chef de l’Etat à l’opinion nationale. Cette annonce a été faite le 29 janvier dernier par le porte-parole de la présidence, Guy Bertrand Mapangou, par ailleurs Secrétaire général adjoint de la présidence.

«Sur les hautes instructions de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, la Présidence de la République initie, à partir de cette semaine, des rencontres de presse hebdomadaires. Chaque fin de semaine en effet, la Présidence de la République, par le biais du Porte-parole, va désormais rendre compte des grands axes des activités du Chef de l’Etat à la presse et à l’opinion nationale», a déclaré Guy Bertrand Mapangou.

Au cours de cette rencontre, le porte-parole de la présidence a indiqué qu’Ali Bongo doit s’envoler pour Addis-Abeba, en Ethiopie, où il doit prendre au 14e sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine (UA).

Cette rencontre était aussi l’occasion pour Guy Bertrand Mapangou d’exposer l’avis du président sur l’état d’avancement de l’action gouvernementale sur le terrain. «Une action que le président juge timide, même s’il reconnaît à juste titre les efforts du gouvernement sur certains points», a-t-il dit.

L’importance que Chef de l’Etat accorde à la célébration du 50e anniversaire de l’accession du Gabon à l’indépendance le 17 août prochain, a également été évoquée. C’est dans ce cadre que 35 milliards de francs CFA seront verser aux mairies de Libreville et Owendo pour travaux de réhabilitation des voiries de ces deux communes voisines et l’assainissement du cadre de vie.

«Le président insiste sur l’amélioration des voiries urbaines, la distribution de l’eau et l’électricité, l’amélioration du cadre de vie. A cet effet, le président a instruit le gouvernement de décliner de façon globale une politique claire liée à la qualité de vie des Gabonais…», a déclaré monsieur Mapangou.

Par ailleurs, une précision sur la mesure visant à interdire l’exportation des grumes dès janvier 2010 a été apportée. En effet, une dérogation a été accordée aux grumes stockées dans les parcs à bois de la Société d'exploitation du Transgabonais (SETRAG) et de la Société d'Exploitation des Parcs à Bois du Gabon (SEPBG) avant le 31 décembre 2009. Les grumes disposant des bons à embarquer délivrés par les services douaniers pourront être évacuées vers leur destination.

Concernant les grumes des autres parcs du territoire national, la Société nationale des bois du Gabon (SNBG), sous la supervision des services douaniers, est chargée d’organiser exceptionnellement l’organisation de ces stocks vers les bénéficiaires. Cette mesure a été prise face à l’impossibilité du marché national d’absorber le volume de ces grumes.

Enfin, le porte-parole de la présidence a souligné les audiences du Chef de l’Etat accorées à l’épiscopat de l’Afrique centrale, une délégation d’hommes d’affaires coréens et au nouveau gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), Lucas Abaga Nchama. 


Publié le 30-01-2010    Source : Gaboneco 

 

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