Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 20-05-2010 19:11

La vaisselle faite par les hommes renforcerait le couple

D'après une récente étude britannique, le risque de divorcer chute chez les couples dans lesquels les hommes prennent une responsabilité importante dans les tâches ménagères.
 
© Il est apparu que plus l'homme s'implique dans ces tâches plus il contribue à la solidité de son couple...Etude plutôt intéressante !
 
L'étude de la London School of Economics a porté sur 3.500 couples britanniques. Et Libération d'expliquer que publiée mardi 18 mai, elle s'intitule "Travail masculin non-rémunéré et divorce". Ainsi, l'étude porte sur l'implication des hommes dans chaque couple quant aux tâches dites ménagères et familiales comme la vaisselle, le ménage ou encore s'occuper des enfants. Il est apparu que plus l'homme s'implique dans ces tâches plus il contribue à la solidité de son couple.L'étude expliquerait ainsi : "La combinaison optimale présentant les plus faibles risques (de divorce) est celle où la mère ne travaille pas et où le père s'adonne à un maximum de travaux ménagers et de prise en charge des enfants." Des résultats bien loin du mythique schéma de l'homme travaillant tôt et tard à l'extérieur et de la femme au foyer prenant toutes les responsabilités qui incombent à l'éducation des enfants et à la tenue du domicile.
 
Donc Messieurs a vos balais!!!!!
 
 
retour
 


Commentaires

 
 
 
le 20-05-2010 19:05

Extrait du discours d'Ali Bongo Ondimba‎ a Africa21 au Cameroun

La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est vous livre un extrait du discours fortement apprécié du Président de la République , Chef de l'Etat Ali BONGO ONDIMBA lors de sa prise de parole au Cameroun.
 
 
 
Comme le signe d’une volonté politique de mettre la jeunesse au centre de toutes les préoccupations en 2010 c’est à juste propos que l’initiateur de la présente conférence, son excellence Paul Biya a choisi de débattre sur le thème de la jeunesse car il nous paraît important aujourd’hui de cerner les aspirations de notre jeunesse et sa vision pour l’avenir.
C’est donc, le lieu de nous poser les questions suivantes : quelles visions de l’Afrique par les jeunes africains ? Comment perçoivent-ils les nouvelles initiatives de développement ? Comment peuvent-ils s’intégrer et appréhender les nouveaux enjeux de développement ?

Mesdames Messieurs,

Restant conscient que nous sommes dépositaires des aspirations de nos concitoyens, de la stabilité politique et à la cohésion sociale, nous sommes en devoir de ne pas les laisser longtemps au bord du trottoir, au risque de les voir dévier vers des comportements répréhensibles. Dès lors, Mesdames et Messieurs, notre responsabilité économique, sociale et politique est grande. Pour que nous prenions en compte les problèmes de la jeunesse dans les stratégies de croissance et de réduction de la pauvreté de nos Etats et dans les objectifs du millénaire pour le développement.
 

Mais la dure, la vraie réalité est que l’Afrique n’a pas suffisamment investi dans le développement du capital humain pour tirer profit du capital que représente sa population juvénile. Dans l’absolu, l’Afrique n’a su et n’a pas assez de fonds pour investir simultanément dans ce qu’on appelle l’éthique, la santé, l’éducation, les infrastructures de transports, les routes, les télécommunications, les logements sociaux, l’eau l’énergie etc. la responsabilité est par conséquence est donc, plurielle et partagée. Celles des bureaucraties qui ont conçu et mis en place, des politiques et des programmes désarticulés et sans impact sur les réalités et les spécificités de cette jeunesse. C’est elle qui fait aussi des jeunes professionnels qualifiés qui ont préféré expatrier leur talent plutôt que de servir leur patrie faisant de nos pays les pépinières de talents pour les pays occidentaux. Mais c’est aussi à cause de l’élasticité de la transition intergénérationnelle, car pour de nombreux jeunes en effet, l’indépendance n’arrive jamais par l’aîné, l’employeur ou le bienfaiteur bref, le faiseur de miracle. Mais aujourd’hui, tout bouge, avec ou sans nous. Si c’est sans nous, ça sera contre nous et contre les intérêts de la jeunesse qui souhaite légitimement et un avenir radieux et en toute confiance.

Mesdames et Messieurs,

 


La planète est en pleine ébullition. La technologie est en pleine révolution. Les sciences médicales et biologiques font des progrès inouïs. Les pays en émergence sortent de leur pauvreté. Bref, tous ces facteurs de changement nous poussent à nous réinterroger sur nos repères, nos identités mais aussi nos aspirations. Même là où se profilent certaines réalités du progrès, se cachent d’importants drames qui dépersonnalisent la jeunesse de notre continent. Alors, que doit être le progrès pour la jeunesse ? Ce progrès in fine, c’est offrir à tous les moyens de pourvoir à leur besoin d’assurer leur bien être, de connaître et d’exercer leur droit afin d’être capable d’assumer les fonctions politiques, économiques et sociales auxquelles ils peuvent être appelés. Le progrès auxquels aspirent les jeunes africains, c’est-à-dire les dirigeants de demain, c’est d’être plus que par le passé, au cœur des préoccupations des gouvernants africains que nous sommes et sur ce point de vue, il sera pour la puissance publique un devoir de justice, un acte de lucidité, une prime pour l’avenir. Pour ma part, je reste convaincu que les jeunes africains peuvent changer le monde et doivent changer le monde. Et même si ce monde change plus vite qu’il ne le souhaite et plus radicalement qu’il ne l’imagine, il faut tout faire pour que les jeunes s’adaptent au monde moderne. Il faut que les jeunes arrivent à surmonter toutes les difficultés qui se dressent devant eux. Il faut que les jeunes se forgent à l’école de l’expérience, aux qualités élevées des personnes de valeur qui contribueront à consolider la paix et le développement durable de l’Afrique. C’est ce à quoi nous invite la charte africaine de la jeunesse et qui nous recommande de promouvoir et développer les capacités productives et créatrices des jeunes ainsi que de renforcer leur participation dans la diffusion des valeurs positives africaines telles que : la tolérance, le respect des aînés, le patriotisme, la paix, l’honnêteté, la solidarité etc. Les jeunes en Afrique, ont tant besoin que leurs avis et suggestion soient pris en compte par les pouvoirs publics. Il est des moments, ils nous adressent des satisfecits, ils nous rappellent à l’envie leurs soucis d’être mieux scolarisés, mieux soignés, leur vœu d’accéder aux loisirs. Toutes choses qui développent leur savoir, leur personnalité et leur responsabilité.

 

 


Excellence Mesdames et Messieurs,

 

 


Mon sentiment est que les solutions à mettre en œuvre face aux défis de développement qui nous interpellent chaque jour, surtout à l’échelle au moins de la région rassemblant l’entité géographique naturelle de toute l’Afrique centrale, d’ici jusqu’en Angola. A ce sujet, il me plaît donc, Monsieur le président de la République du Cameroun de saisir l’occasion que m’offre la célébration de l’indépendance du Cameroun dont nous fêtons aujourd’hui le cinquantième anniversaire, pour dire ma conviction quant au rôle de locomotive de la transformation de l’Afrique centrale qu’est appelé à jouer votre grand pays, le Cameroun.

 

Ses ressources naturelles et humaines, sa stabilité politique et sa position géostratégique comme, porte de l’Afrique centrale vers l’Afrique de l’Ouest est un trait d’union entre la forêt et le sahel qui le prédispose. C’est également avec intérêt que nous suivons Monsieur le président et cher aîné, les efforts méritoires que vous menez en faveur du développement accéléré de votre pays. Nous apprécions notamment le saut qualitatif que constituent les grands projets industriels et d’infrastructures à l’instar du développement de l’industrie d’aluminium, des projets d’exploitation minière, de la valorisation de votre grand potentiel hydroélectrique ou encore du grand projet portuaire de Kribi. Je note aussi, pour m’en réjouir que le programme, de mise en route, d’émergence du Gabon sur lequel j’ai été élu poursuit les mêmes objectifs de diversification et de développement d’une économie à valeur ajoutée dans mon pays. Nos ambitions vont donc dans le même sens et sont complémentaires comme devraient l’être, les économies de nos pays que la nature a réunies dans une même proximité géographique. C’est pourquoi Monsieur le président, la vision que j’ai de nos deux pays est de travailler ensemble. Travailler ensemble pour construire une zone de coprospérité, motrice du développement de l’Afrique centrale. Et cette mission, Monsieur le président et chers frères et sœurs du Cameroun, nous la partageons et nous sommes dans ce cadre disponible pour regarder ensemble, toutes les synergies envisageables.

Je suis donc venu dire au peuple camerounais, la volonté du peuple gabonais de travailler avec lui, main dans la main pour bâtir ensemble cette coprospérité. La réalisation de cette vision, appelle de notre part, un nouveau partenariat s’appuyant sur des leviers plus volontaristes et de l’identification de grands projets communs entre nos deux pays et la mise en place d’un partenariat concret autour de ces projets pouvant aller jusqu’à la mise en place, lorsque cela est possible, des participations croisées ou encore, de zones économiques spéciales communes. Et pour donner forme à ce nouveau partenariat, toutes ces questions doivent être inscrites à l’ordre du jour de la prochaine commission mixte Gabon – Cameroun. Elles doivent désormais se réunir de façon régulière pour identifier et prendre en charge toutes les synergies à développer. L’objectif est de contribuer à développer la mise en place de tous les grands projets communs que j’appelle de tous mes vœux.

 

Monsieur le président
Excellences Messieurs les chefs d’Etat
Excellences Mesdames et Messieurs,

 

 

Au-delà des réjouissances, des symboles, des bilans à dresser, ce forum est également celui d’une réflexion globale non pas focalisée sur le bilan des cinquante ans de nos indépendances, ses succès, ses échecs. Mais celle qui nous propulse résolument vers l’avenir de ce continent avec ses nombreux défis à relever. Ce défi de changement nous interpelle aujourd’hui, dans un monde de plus en plus conscient de la nécessité de changer le model de développement jusqu’ici, basé sur la surexploitation des ressources non renouvelables et condamnées à un épuisement prochain.
J’ai foi en l’Afrique, ayons foi en l’Afrique. J’ai foi en la jeunesse africaine. Ayez vous aussi foi en elle car c’est elle qui dirigera l’Afrique de demain, l’Afrique de tous les enjeux, l’Afrique qui s’éveillera dans la prospérité et le bonheur c’est le dessein que je forme pour les jeunes gabonais. J’ai dû dire plutôt le défi de mon projet de société qui met les jeunes au centre de l’action. Ce défi, je suis déterminé à le relever, car je ne saurais me résoudre à accepter l’inacceptable.

 

Qu’il me soit enfin permis de rendre un hommage mérité au président Paul Biya qui a pris l’initiative heureuse, de nous réunir et débattre du rôle et de l’avenir de la jeunesse africaine et ce, en terre africaine. Il fallait pour cela qu’un grand africain puisse prendre l’initiative de nous réunir ici ce matin et je suis totalement fière d’avoir pu représenter mon pays. Et simplement entant qu’Africain, dire que je crois en l’Afrique et à son avenir et il n’y a rien qu’ensemble nous ne puissions faire. Cinquante ans d’indépendance, nous avons trouvé beaucoup d’obstacles sur notre chemin, ces obstacles ont été, un après l’autre, franchis. Il en reste d’autres. Mais nous demeurons confiants que nous pouvons les franchir ensemble. Et ça c’est le grand défi de la jeunesse de demain

 

Vive la jeunesse africaine
Et que Dieu bénisse l’Afrique

 

Je vous remercie
 
retour
 


Commentaires

 
 
 
le 20-05-2010 18:45

Ali Bongo Ondimba assiste aux festivités du cinquantenaire du Cameroun


 Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba assiste ce jeudi au côté de plusieurs de ses pairs africains, aux festivités commémoratives du 50ème anniversaire de l’indépendance du Cameroun.
 
 

Le président Ali Bongo Ondimba est arrivé dans la capitale camerounaise mercredi en début de soirée. Comme il avait fait le 5 avril dernier à Dakar au Sénégal, le numéro un gabonais manifeste sa solidarité avec le président Paul Biya et le peuple camerounais, en partageant leur ferveur patriotique en ce jour de célébration de 50 ans de stabilité, de paix et de progrès. 

L’événement majeure est nulle doute la grande e parade civilo-militaire qui a lieu cette matinée en présence de plusieurs chefs d’Etat et des invités des pays amis du Cameroun. 

Le chef de l’Etat aura par la suite des entretiens avec plusieurs personnalités en marge de ces festivités. Outre les échanges informels avec ses homologues de la sous région d’Afrique centrale et d’autres zones du continent, on annonce au programme la rencontre avec l’ancien secrétaire général de l’Onu Koffi Annan.

Dans le cadre de la célébration du cinquantenaire du Cameroun, le continent africain a été au centre d’une conférence internationale qui s’est achevée mercredi soir dans la capitale camerounaise. Experts de différents pays et d’organisations multilatérales ont engagé un débat prospectif sur cette partie du monde confrontée à de nombreux défis. Ce, après avoir fait une analyse en profondeur de la situation dans laquelle elle est confrontée. 

Nul n’ignore que l’Afrique, 50 ans après les indépendances, est interpellée par son sous développement, son retard chronique en dépit de ses nombreuses ressources et potentialités : la faim, le sida, la corruption, les droits humains font chaque jour des entraves à son développement et à l’épanouissement de ses populations. Les dirigeants n’ont ainsi cessé de se lancer dans le combat pour y faire face. Ils ont exprimé au terme de la conférence, dans une déclaration de Yaoundé, leur volonté d’entreprendre pour œuvrer au développement de l’Afrique, son positionnement sur la scène diplomatique internationale, etc.

Le président Ali Bongo Ondimba, présent à l’ouverture des travaux de cette conférence, a pris part également à la cérémonie de clôture rehaussée par l’ensemble des présidents de la sous région d’Afrique centrale.

A Yaoundé, Ali Bongo Ondimba a marqué les esprits pour s’être fait l’avocat de la jeunesse africaine. Une jeunesse qui doit être mise à contribution pour relever les défis auxquels le continent est exposé. 

Il a notamment insisté sur le rôle de cette importante frange des sociétés africaines. Pour le chef de l’Etat gabonais, les dirigeants africains ne doivent laisser les jeunes au bord du trottoir, au risque de les voir se fourvoyer dans des actes répréhensibles.

‘’Notre responsabilité politique, économique et sociale est grande pour que nous prenions en compte les préoccupations de la jeunesse dans les stratégies nationales de croissance et de réduction de la pauvreté de nos Etats et dans les objectifs du Millénaire pour le développement’’, a estimé Ali Bongo Ondimba, avant de s’interroger : ‘’quelle vision de l’Afrique ont les jeunes africains ? Comment perçoivent-ils les nouvelles initiatives de développement ? Et comment peuvent-ils appréhender les nouveaux enjeux de développement ? Bref, le discours du numéro 1 gabonais a sérieusement marqué les opinions camerounaises et les observateurs en raison de sa tonalité, sa pertinence et sa densité. 

Il a conquis, pour ainsi dire, les cœurs des Camerounais, ainsi que la presse de ce pays qui salue unanimement ses premiers pas sur la scène diplomatique régionale, africaine et mondiale. 
 
retour
 


Commentaires

 
 
 
le 20-05-2010 15:51

Bonne prestation des Panthères à Ajaccio devant le Togo (3-0)


retour
 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article