Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 31-07-2015 16:23

Expo universelle Milano 2015: Ali Bongo, invité d'honneur à la Journée nationale du Gabon

Le président Ali Bongo Ondimba a visité l’Exposition Universelle de Milan, le 30 juillet dernier, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale du Gabon.

L’arrivée du président gabonais à l’Exposition universelle de Milan. © DCP-Gabon

L’arrivée du président gabonais à l’Exposition universelle de Milan. © DCP-Gabon

 

Quelques moments de la présence d’Ali Bongo à l’Exposition universelle de Milan 2015. © DCP-Gabon

Quelques moments de la présence d’Ali Bongo à l’Exposition universelle de Milan 2015. © DCP-Gabon

Le Président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba, s’est rendu hier (30 juillet 2015 -ndlr) à l’Exposition Universelle de Milan, en Italie, à l’occasion de la journée consacrée au Gabon. Le Chef de l’Etat a visité en premier lieu le pavillon du Gabon, vitrine de la politique d’émergence qu’il a instaurée depuis six ans. Une politique fortement basée sur le développement durable qui a conduit Ali Bongo Ondimba à signer ce jeudi la Charte de Milan, manifeste international en faveur du droit à l’alimentation pour tous les peuples, à la veille de la 21e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de 2015 (COP21/CMP11).

Le pavillon gabonais illustre deux pôles de croissances majeurs du pays. D’une part, le “Gabon vert”, qui tend à une exploitation plus rationnelle et valorisante de la forêt gabonaise et promeut une modernisation de l’agriculture, à travers, notamment, le projet “GRAINE”. Ce projet vise à augmenter la contribution de l’agriculture dans la part des richesses nationales, à créer des emplois ainsi qu’à atteindre l’autosuffisance alimentaire.

D’autre part, le “Gabon bleu”, lui, concrétise la prise de conscience des autorités de protéger le littoral et les fonds marins mais aussi de donner plus de valeur ajoutée aux produits de la pêche par leur transformation sur place.

Le Président Gabonais a ensuite visité les pavillons du Cameroun et de Sao-Tomé et Principe, pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale qu’Ali Bongo Ondimba préside depuis le mois de mai 2015. Il a également salué la coopération sud-sud dans les pavillons des pays amis, la Côte d’Ivoire et le Ghana. Enfin, le Président Gabonais a visité les pavillons du Kazaksthan et des Emirats Arabes Unis, futurs pays hôtes des prochaines Expositions Universelles organisées autour de l’énergie du futur et de la durabilité.

 

Source: Direction de la communication présidentielle

 


Commentaires

 
 
 
le 29-07-2015 15:59

Loi de finances 2016 : poursuite des conférences budgétaires

Dans le cadre de l’élaboration du budget 2016, le ministre du Budget et Comptes publics a lancé, le 28 juillet courant, les concertations visant une répartition des crédits.

Les officiels lors de la cérémonie de lancement des travaux, le 28 juillet 2015. © D.R

Les officiels lors de la cérémonie de lancement des travaux, le 28 juillet 2015.

 

Intervenant quelques semaines après la clôture des séances organisées de mai à juin dernier, portant sur les économies structurelles, la performance et la budgétisation, les conférences budgétaires s’étaleront jusqu’au 14 aout prochain. Elles permettront d’échanger sur les différentes propositions de répartition des crédits et des emplois, par mission et par programme, de façon à aligner les demandes de crédits aux plafonds budgétaires arrêtés. «Il s’agit d’effectuer des dépenses qui tiennent compte de nos ressources réelles, tout en concédant une place de choix aux échéances électorales 2016 et à l’organisation de la Can 2017», a signifié Christian Magnagna.

Les participants aux conférences budgétaires. © D.R

Les participants aux conférences budgétaires.

Animées par le directeur général du Budget et des Finances publiques, ces séances seront conduites en tenant compte de deux exigences, à savoir : le contexte général et les conclusions issues des précédentes conférences. «Le souci de soutenabilité de nos finances publiques commande de programmer la bonne dépense en tenant compte de la contrainte financière du moment, afin qu’une fois engagée celle-ci soit effectivement payée», a confié le ministre du Budget.

Les discussions tourneront autour des propositions pouvant permettre au budget 2016 de mettre l’accent sur la diminution significative du déficit budgétaire hors pétrole pour se rapprocher d’un niveau soutenable à moyen terme ; le renforcement des efforts de mobilisation des ressources et d’amélioration de la qualité et de l’efficacité de la dépense publique ; l’accélération des réformes structurelles pour promouvoir un environnement favorable au développement du secteur privé ; la poursuite de la diversification de l’économie et des investissements structurants, pour soutenir la croissance et maintenir les grands équilibres macroéconomiques. «Outre le souci de maintenir le budget d’investissement à un niveau qui permettrait de garantir une croissance à hauteur de 5% au moins, le budget de l’exercice 2016 accorde également une attention particulière à la poursuite du financement de la Stratégie nationale d’investissement humaine», a souligné Christian Magnagna.

Les participants à ces travaux, qui s’achèvent à mi-août prochain, sont invités à bâtir un budget par objectif de programme, cohérent et suffisamment réaliste, adossé aux capacités réelles de financement du pays.

 

Source: GR 

 


Commentaires

 
 
 
le 29-07-2015 14:59

Affaire Santullo-Sericom : La mise au point de Christian Magnagna

Condamnant l’attitude de l’entrepreneur Guido Santullo dans le litige qui l’oppose à l’Etat, le ministre du Budget livre sa version des faits.

Le ministre du Budget. © Gabonreview

Le ministre du Budget.

 

C’est la première réaction officielle à la lettre adressée au président de la République par le patron du groupement Santullo Sericom. Le ministère du Budget, à travers un communiqué publié le 28 juillet courant, marque son étonnement sur le mode de communication choisi par l’entreprise, d’une part, et d’autre part, sur l’interpellation directe du président de la République. Sur le fond, le ministre du Budget estime que Guido Santullo revient sur «les relations contractuelles qui le lient à l’Etat gabonais, en énonçant plusieurs contre-vérités qui portent atteinte à l’image et à la crédibilité de l’Etat». Une attitude pas du goût de Christian Magnagna, qui s’offusque de ce que l’entrepreneur ait choisi la presse «pour attaquer et dénigrer l’Etat gabonais, alors même qu’il était attendu sur la table des négociations en vue de finaliser (un) protocole d’accord». Et de condamner cette attitude jugée «peu courtoise, inconséquente et de mauvaise foi».

Selon le ministre du Budget, le Gabon et la société plaignante ont signé une douzaine de contrats portant essentiellement sur la construction d’ouvrages d’art et d’infrastructures. «La valeur totale de l’ensemble de ces contrats est estimée à 364 milliards de francs», a-t-il indiqué, avant de souligner que devant les difficultés liées à l’exécution de ces chantiers, l’entrepreneur a saisi le président de la République, par lettre datée du 17 janvier 2015, pour réclamer le paiement de près de 158,5 milliards de francs. En réponse, le gouvernement a été instruit d’examiner cette requête et d’y apporter des «réponses rapides et adaptées». «C’est dans ces conditions qu’une commission technique interministérielle a été mise en place (…) sous l’autorité du ministre du Budget, à l’effet d’examiner avec l’entrepreneur, l’ensemble de ses réclamations».

C’est donc dans ce cadre qu’ont eu lieu à Libreville deux réunions, les 8 et 24 avril dernier, à l’issue desquelles ont été entérinées trois préconisations. La première était ainsi d’estimer le montant dû à ce jour. La deuxième était de solliciter la validation et la certification par le ministère en charge des infrastructures, en sa qualité de maître d’ouvrage, d’un stock de factures émises par le groupement. La dernière, enfin, consistait à obtenir l’accord de Santullo-Sericom pour le lancement d’un audit indépendant de l’ensemble des marchés afin de statuer sur leur régularité sur les plans technique, financier et même structurel, l’objectif ultime étant de parvenir à une conciliation et un règlement à l’amiable. Une requête à laquelle le ministre du Budget dit avoir répondu favorablement en transmettant à Guido Santullo un protocole d’accord. Or, quelques jours plus tard, l’entrepreneur a adressé une correspondance au président de la République à travers laquelle il annonce, notamment, l’arrêt des chantiers engagés jusqu’ici mais également son intention de s’en remettre «aux instances internationales en vue de recouvrer [sa] créance».

hristian Magnagna s’insurge ainsi contre «les allégations de monsieur Santullo qui tendent à faire passer pour irresponsable le gouvernement», non sans annoncer que le ministère du Budget prendra «toutes les dispositions qui s’imposent en vue de défendre les intérêts de la République gabonaise dans ce litige».

 Au regard de ce qui précède, il serait mieux pour les deux parties de trouver un terrain d'entente pour le règlement à l'amiable cette affaire.

 

 


Commentaires

 
 
 
le 28-07-2015 13:31

Nouveau système de rémunération de la Fonction publique: La satisfaction du gouvernement

A la faveur d’une rencontre avec la presse, le week-end écoulé, les ministres de la Fonction publique et de la Réforme administrative, et du Budget et des Comptes publics se sont réjouis de la mise en place effective du nouveau régime de traitement salarial des fonctionnaires.  

Christian Magnagna (à gauche) et Jean-Marie Ogandaga, le 25 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview

Christian Magnagna (à gauche) et Jean-Marie Ogandaga, le 25 juillet 2015 à Libreville.

 

C’est avec le sourire, l’air rassuré et l’humeur des jours de célébration que le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, et celui en charge du Budget et des Comptes publics se sont présentés devant les représentants des médias nationaux et internationaux le 25 juillet dernier. A les voir, il était évident qu’ils avaient une bonne nouvelle à annoncer : celle liée à la mise en œuvre effective du nouveau système de rémunération des fonctionnaires. Après plusieurs mois d’attente, dès le 24 juillet 2015, les bénéficiaires ont pu être payés sur la base de la nouvelle grille. «En dépit de la situation difficile de notre économie marquée par la baisse du prix du pétrole, avec la baisse du budget initial comme corolaire, (…) plus aucun fonctionnaire gabonais ne touche moins de 150 000 francs CFA», a déclaré Jean-Marie Ogandaga, avant d’expliquer, sur le ton de la fierté : «Nous sommes arrivés à la finalisation de ce travail par une méthodologie très rigoureuse, qui a été marquée par différentes étapes, dont l’audit de l’ancien système, parce qu’il aurait été difficile d’en faire un nouveau sans avoir évalué les forces et faiblesses de l’ancien.»

Christian Magnagna et Jean-Marie Ogandaga face à la presse, le 25 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview

Christian Magnagna et Jean-Marie Ogandaga face à la presse, le 25 juillet 2015 à Libreville.

Si, à en croire le ministre en charge de la Fonction publique, l’audit «mené sans complaisance» a révélé un ensemble de points, qui avaient rendu l’ancien système de rémunération impopulaire, le nouveau régime, qui n’attend plus que d’être consacré par les parlementaires, devrait permettre de «mettre tout le monde d’accord». Fondé sur la budgétisation par objectifs de programmes (Bop), «ses moyens de financement ne viendront pas d’ailleurs, d’aucune autre planète que du budget dont dispose l’Etat gabonais», a lancé Christian Magnagna selon qui la loi de finances rectificative adopté en avril dernier prend en compte ce nouveau système qui concèderait désormais 30% en moyenne d’augmentation pour les agents actifs selon leurs indices et environ 100% pour les revenus sur pensions pour ceux qui prendront leur retraite au mois d’août prochain. De même, si l’impact économique de cette augmentation est évalué à environ 52 milliards de francs en charge salariale pour le mois de juillet courant, une enquête auprès des acteurs économiques permettra prochainement de s’assurer que l’inflation ne suit pas.

Au nombre des innovations vantées par les deux ministres, le nouveau mode de versement des primes. Si Christian Magnagna et Jean-Marie Ogandaga sont restés peu explicites sur la question précise de la Prime d’incitation à la performance (PIP), au point de paraître l’éluder, c’est que depuis son instauration, elle suscite de vives critiques, qui ont contribué à pourrir le climat social pendant de longs mois. Pourtant, selon les deux ministres, «tout est désormais rentré dans l’ordre, d’autant que ce sont des Gabonais qui ont travaillé pour des Gabonais, et sur la base de leurs propres besoins et revendications». A cet effet, ils ont assuré que les primes, à l’instar de celle allouée aux chercheurs et enseignants-chercheurs – la Prime d’incitation à la recherche (Pir) -, seront désormais versées de façon mensuelle et ne souffriront donc plus d’aucun retard ou d’aucun doute, alors que leur versement était toujours appréhendé par les bénéficiaires qui, en plus de dénoncer le mode de calcul pour le moins hasardeux, fustigeaient la fréquence dudit versement. Pourvu que ça dure.

 

Source:GR 

 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article