Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 16-07-2011 23:20

François Fillon est à Libreville

Le premier ministre français, François Fillon, est arrivé ce samedi en fin de soirée, à Libreville, la capitale gabonaise, en provenance d’Accra au Ghana dans le cadre d’une mini-tournée qui l’a également conduit en Côte d’ivoire.

A l’aéroport international Léon Mba de Libreville, le premier ministre français a été accueilli par son homologue gabonais, Paul Biyoghé Mba.

Il est accompagné dans ce premier séjour en terre gabonaise, depuis son entrée en fonction, d’une forte délégation d’hommes d’Affaire ainsi que certains membres de son gouvernement dont Henri Raincourt, Pierre Lellouche, David Douillet, respectivement ministre auprès du ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et européennes, Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de l’industrie, chargé du Commerce extérieur, chargé de la Coopération, Secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Français de l’étranger.

Au programme de ce séjour de vingt quatre (24) heures en terre gabonaise, figure un diner ce samedi soir au palais du bord de mer en présence du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba.

Le dimanche 17 juillet, on annonce une audience avec  le Chef de l’Etat au palais du bord de mer, suivie après d’une séance de travail élargie aux deux parties.

Il est également prévu la signature de plusieurs conventions à caractère économique et des échanges entre les personnalités des deux délégations.

Le chef du gouvernement français quitte la capitale gabonaise en fin de soirée.

 


Commentaires

 
 
 
le 16-07-2011 19:59

Enquête sur la pollution pétrolière accidentelle d’Addax


Après la mission gouvernementale sur le site de Coucal-Obangué (département de Ndolou) qui a enregistré, le 13 juillet, le déversement accidentel de pétrole brut, consécutif à la rupture d’un pipeline reliant un site de production de la compagnie Addax au terminal pétrolier de Rabi, Alexandre Barro Chambrier, ministre du Pétrole, a tenu une conférence de presse le 15 juillet à Libreville au cours de laquelle il a annoncé l’ouverture d’une enquête. L’application du principe pollueur-payeur a été évoquée.
 
© D.R. / Alexandre Barro Chambrier.
 
A la faveur d’une conférence de presse tenue le 15 juillet à Libreville, le ministre du Pétrole, Alexandre Barro Chambrier, a fait le point sur le déversement accidentel de pétrole brut à Coucal/Obangué (département de Ndolou), le 13 juillet, sur un pipeline reliant un site de production de la compagnie Addax au terminal pétrolier de Rabi.

«La superficie impactée par le pétrole est de 1500 m2 (...). Il y a des dommages mais ces dommages sont circonscrits. Heureusement aucun cours d'eau n'a été touché. La pollution est de 80 barils environ. Il s'agit d'un accident qui peut advenir (...). Des équipes de nettoyage sont à pied d'œuvre. Les terres contaminées seront envoyées à Port-Gentil pour traitement, a affirmé, Alexandre Barro Chambrier, soulignant que «l'objectif est de remettre le lieu dans son état d'origine».

«Nous appliquons le principe du pollueur-payeur», a souligné le ministre à propos de la société Addax, indiquant que «l’enquête diligentée par nos services conjointement avec la société Addax vont déterminer la cause de cette défaillance et approfondir les responsabilités». Par ailleurs, a conclu Alexandre Barro Chambrier, «le gouvernement demande à toutes les compagnies pétrolières de prendre des dispositions urgentes et nécessaires permettant de sécuriser leurs installations». 

Addax Petroleum a été rachetée en août 2009 par le géant chinois SINOPEC pour 7,2 milliards de dollars US. Elle est présente au Gabon depuis 2004 où elle produit, selon des chiffres de 2010, 28 500 barils par jour.
 


Commentaires

 
 
 
le 16-07-2011 19:22

Ali Bongo pour «une diplomatie d’affaires»

Au terme de la Xe conférence des ambassadeurs tenue du 11 au 15 juillet, un rapport de ces assises a été remis au président Ali Bongo. S’il rassure les diplomates gabonais sur la prise en compte de recommandations, le chef de l’Etat a toutefois annoncé le passage de «la diplomatie de représentation à la diplomatie d’affaires».
 
© D.R.
 
Les rideaux sont tombés le 15 juillet à Libreville sur la Xe conférence des ambassadeurs, ouverte 4 jours plus tôt sous le thème «Pour une diplomatie au service du Gabon émergent». Ces assises ont été clôturées par le président Ali Bongo lui-même, qui a également reçu le rapport des travaux des mains Paul Toungui, ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie. 

«Le gouvernement mesure l’ampleur de la tâche et surtout l’urgence d’adapter les dotations budgétaires aux besoins réels de nos missions diplomatiques. Toutes les pistes visant à améliorer les conditions de vie et de travail des diplomates devront être minutieusement explorées et examinées par le gouvernement qui devra faire des propositions dans les meilleurs délais, aux fins de permettre à notre diplomatie de s’adapter et d’être arrimée aux exigences du moment», a assuré le président Ali Bongo.

Toutefois, le président gabonais a invité les ambassadeurs à se mettre au travail et faire montre de plus de loyauté envers les institutions de la République, en tête desquelles le chef de l’Etat. Dans le même ordre d’idées, Ali Bongo a souligné l’importance du passage d’«une diplomatie de représentation à une diplomatie d’affaires et non d’affairisme. Il faut une diplomatie qui permette d’attirer un flux d’investisseurs au Gabon, de mieux vendre le pays à l’étranger, d’améliorer son image dans les pays d’accréditation. La vision de la diplomatie du Gabon émergent repose sur aussi sur le savoir-faire et le savoir-être 

Par ailleurs, le chef de l’Etat a suggéré que les conférences des ambassadeurs se tiennent désormais tous les trois ans révisables. Instituée en 1965, la Xe Conférence des ambassadeurs s’est tenue sept ans après les assises de juillet-août 2004, les neuvièmes du genre.
 


Commentaires

 
 
 
le 16-07-2011 19:20

Boycotte des élections législatives , l'aveu d'échec d'une pseudo opposition désespérée .


Sans titre 2.jpg

 

 

 

Avant toute chose, il est clair de rappeler qu'il n'y a pas de crise au Gabon , ni politique, ni économique, ni sociale.

 

Pour la pseudo opposition gabonaise, le risque d'échec électoral est élevé, très élevé. Cette pseudo opposition est actuellement désespérée pour s'accrocher sur une fausse piste, la biométrie.

 

N'ayant plus aucun espoir, elle tente d‘embarquer une partie du peuple dans une tentative de déstabilisation du pouvoir, et cela ne passera pas.

 

Au lieu de trouver des électeurs, elle embrigade des jeunes égarés et des médias contre le régime pour installer le pays dans un chaos . l'opposition n'existe pas au Gabon, sinon qu'à travers les médias. il y a une certaine télévision et certains journaux, ce qui leur reste à faire c'est d'aller au ministère de l'intérieur et demander un récépissé pour se muer en parti de l'opposition.

 

En réalité, l'opposition ne veut même pas d'élection en 2011, car elle n'espère rien dans les urnes. Si on disait à certains leaders qu'on allait reporter les élections en 2012, ils allaient s'enfermer dans leur chambre pour danser.

 

Finalement, ces vieux crocodiles nous montrent non seulement leurs limites en tant que leader mais aussi leurs petitesses d'esprit. Je crois aisément que les Gabonais parviendront à faire la part des choses entre ceux qui manipulent une partie du peuple pour des intérêts personnels et ceux qui désirent apporter de la vie paisible à ce pays.

 

Je le dis encore aujourd'hui " celui qui creuse un trou contre ce pays, qui qu'il soit, s'il ne se reprend pas, il y tombera le premier ". Pendant que les hommes sages tentent de coudre, ces vieux silures ne font que vouloir défaire. Mais l'histoire nous permet à des moments comme ceux-ci de savoir qui est vraiment pour " Gabon d'abord "....

 

En boycottant le processus électoral, la pseudo opposition , moribonde , espère plonger le pays dans une crise de légitimité politique.

A l'annonce de la révision des listes électorales, on assiste à une levée des boucliers de tous les états-majors politiques des gagns de l'opposition. Même les carpes, que l'on avait déjà oubliés à cause de leur long mutisme politique, ont soudain repris du service. On ne compte plus le nombre de déclarations hostiles contre la Cenap et ses animateurs. A suivre la réaction de la classe politique, on a l'impression que le pays est sur le point d'exploser.

 

On en serait resté à cette impression, qu'il n'y aurait pas de quoi s'émouvoir. Malheureusement, des sournois conspirateurs s'activent à plonger le pays dans le chaos à la faveur des futures échéances électorales. Pour y parvenir, ils ont décidé d'exploiter la première recette à leur portée.

 

Ainsi, il nous revient que certains états-majors politiques des gangs de l'opposition tiennent mordicus à faire capoter le processus électoral annoncé. Ils mettent tout en œuvre en vue de pousser toute la pseudo pposition au boycott des élections. Le but visé est de replonger le pays dans la léthargie et l'immobilisme qui a longtemps talonné le pays. Au gré de cette crise, les conspirateurs espèrent ouvrir la voie à l'instabilité et à la déstabilisation du pays.

 

Le procédé visé est fort simple et classique , décrédibiliser tout le processus électoral par la non participation unanime de l'opposition aux prochaines élections. En l'absence de toute compétition , nous serons en face d'un plébiscite électoral, d'une auto-désignation. C'est de bonne guerre !

 

La logique nihiliste et jusqu'au boutiste des conspirateurs n'a pas encore réussi à emporter l'unanimité. Mais l'idée fait sérieusement du chemin. Surtout qu'elle a trouvé un terrain très fertile pour sa reproduction : la hantise d'un échec électoral presque sans appel et programmé.

 

Du côté des syndicats véreux et leurs copains de galères , la pseudo société civile , on assiste à une tragicomédie qui ne permet pas de prendre au sérieux toutes les prétentions pré-électorales qu'affichent en ce moment ses meneurs. Tant la volonté affichée de prendre cette fois-ci part aux débats contraste avec l'émiettement de la base dont souffre cruellement ceux-ci en ce moment. Leurs discours pré-électoral prend ainsi l'air d'une logomachie.

 

Vu le contexte de débâcle programmé, certains ont décidé de tout dynamiter. Si jamais ils arrivaient à provoquer une crise de légitimité, il sera facile de replonger le pays dans l'immobilisme et le sommeil profond qui ont marqué la décennie en cours. Et ce ne sont pas les forces centrifuges qui manquent pour rendre la tragédie de nouveau possible.

 

Il ne faut surtout pas oublier que les passionnés de l'immobilisme du Gabon n'ont pas encore désarmé sur le plan national. Ils n'attendent que le moindre signal intérieur pour finalement démontrer que le Gabon est ingérable sous sa forme actuelle. La vigilance s'impose donc à tous les niveaux.

 

Je crois que c'est faute d'arguments, que les gangs de la pseudo opposition veulent se confronter à Ali Bongo Ondimba sans se confronter avec lui sur le terrain politique et éviter ainsi l'arbitrage des électeurs. Les acteurs politiques doivent être départagés par les électeurs. Depuis que le président Ali Bongo Ondimba est au pouvoir , le seul programme de lutte proposé par les leaders des gangs de l'opposition est un programme de combat sans confrontation politique, donc sans l'arbitrage des électeurs.

 

Cette tentative de remettre en cause la légitimité du président de la République rentre dans la stratégie de l'opposition antidémocratique de vouloir se substituer au pouvoir du Président de la République sans une confrontation politique, donc sans élections.

 

Je fais appelle, là aussi, à l'opposition dont depuis quelque temps, certains de ses leaders emploient un langage violent qui consiste à appeler les populations au soulèvement populaire. D'ailleurs, politiquement parlant, l'opposition sait que les populations ne la suivent pas.

 

Nous sommes pour le respect du calendrier républicain. Il faut respecter le rendez-vous de 2011. Il faut aller aux élections et le peuple va juger. S'il est satisfait du candidat, il l'élit, s'il n'est pas satisfait il élit un autre. C'est toujours le Gabon qui gagne. Ce n'est pas la peine de faire des calculs politiciens.

Au lendemain de son accession à la magistrature suprême, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a montré qu'il dominerait sa victoire. Victoire de la Paix sur la violence, la haine et la division. Victoire du Développement sur le repli identitaire, la destruction et la désolation. Victoire du Partage sur l'individualisme, l'arrogance et le mépris.

 

Dans sa logique de poursuivre l'effort de modernisation de l'Etat et d'accélérer les mécanismes d'incitation à la maîtrise des fondamentaux pour garantir la croissance, le Chef de l'Etat , Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a plusieurs fois marquer, sa ferme volonté d'impliquer toutes les couches sociales de la Nation dans le processus qui ouvre inexorablement les voies de progrès à la Politique de l'Emergence.

 

En effet, tous les differents Conseil des Ministres délocalisés , reflètent de façon systématique et audacieuse l'image d'une realpolitik porteuse de réelles ambitions, à travers de nouvelles mesures courageuses et salutaires que le Gouvernement adopte , notamment dans les domaines de la politique de l'emploi, de la formation, des infrastructures et de la bonne gouvernance.

 

Aussi, pour tenir compte de l'implication de ces mesures qui militent dans le sens du renforcement des acquis et surtout de la consolidation de la cohésion sociale, nous tenons à rendre un vibrant hommage au Président de la République, dont l'action est résolument engagée vers le bien-être de ses concitoyens.

 

Comme on a pu le constater, la politique de l'Emergence prônée par le Président de la République ne peut s'accommoder de pesanteurs sociologiques qui continuent de freiner la marche du pays vers des lendemains meilleurs. Il serait illusoire de penser que la seule volonté du Chef de l'Etat suffirait pour rompre avec des habitudes pernicieuses constituées par des détournements des deniers publics. Il nous faut mettre ensemble nos énergies pour combattre un mal qui ronge en profondeur notre société et dont les conséquences pourraient revêtir la forme d'une véritable catastrophe . Le seuil de tolérance de telles pratiques est donc largement dépassé.

 

En faisant de la Paix une constante de sa politique, le Président Ali BONGO ONDIMBA s'est fait le chantre d'une idéologie qui place l'Homme au centre de tout développement. C'est dans cette voie qu'il engage notre pays.

 

Au-delà de la notion de pouvoir qui se manifeste d'abord par la contrainte et qui peut être fondée sur la peur, la crainte, la nécessité de survie, la superstition…, le Chef de l'Etat, Ali BONGO ONDIMBA a choisi d'exercer le pouvoir politique actuel dans la paix, la concertation pour porter la responsabilité du devenir du peuple gabonais.

 

Lorsque certains citoyens prennent le loisir de se passer du droit, ils mesurent les risques qu'ils encourent devant l'autorité qui dispose de la contrainte pour réprimer la transgression des règles.

 

De ce fait, le peuple Gabonais veille et rappelle la catégorie de ceux qui commandent de faire respecter scrupuleusement les règles établies, afin que le Gabon avance, assuré d'apporter sa pierre à l'édification de l'universel.


MICHEL OGANDAGA

 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article