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le 11-07-2011 21:18

La Xe Conférence des ambassadeurs s’ouvre à Libreville


La 10ème conférence des ambassadeurs et des consuls généraux du Gabon à l’étranger s’est ouvert ce lundi 11 juillet et se tiendra jusqu’au au 15 juillet prochain à Libreville. 33 chefs des missions diplomatiques, trois consuls généraux et les trois hauts représentants du Gabon auprès des institutions internationales prennent part à ces assises dont le thème est : «Pour une diplomatie au service du Gabon émergent». Il s’agira pour les diplomates de faire le bilan de leur action dans leurs pays d’accréditation et de définir les bases d’une nouvelle diplomatie gabonaise sur la scène internationale.
 
© D.R/ L’immeuble abritant les locaux du ministère des Affaires Etrangères au Gabon.
 

Libreville abrite depuis ce matin la 10ème Conférence des ambassadeurs, placée sous le thème «Pour une diplomatie au service du Gabon émergent». 33 chefs des missions diplomatiques, trois consuls généraux et les trois hauts représentants du Gabon auprès des institutions internationales prennent part à ces assises qui devront leur permettront de faire le point de leur action dans leurs pays d’accréditation et de définir les contours d’un rayonnement nouveau de la diplomatie gabonaise sur la scène internationale.

«Le choix de ce thème a pour effet de constituer, au cours des prochaines années, la principale orientation devant guider les actions que les ambassadeurs auront à mener sous l’impulsion bienveillante du chef de l’Etat dont le souhait est de voir cette 10ème conférence jeter les bases d’une politique étrangère plus ambitieuse. Autrement dit, le président de la République voudrait que notre politique étrangère soit dorénavant au service du développement du Gabon et que celle-ci tienne compte de son programme d’action», a expliqué le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Paul Bye Eyene.

Cette conférence vise un certain nombre d’objectifs spécifiques. Notamment, débattre des nouveaux enjeux internationaux, au plan régional, sous-régional et global (piraterie, changement climatiques, terrorisme, etc.) ; s’approprier la vision politique du chef de l’Etat ainsi que les objectifs de la politique étrangère du Gabon ; mettre en corrélation l’action extérieure du Gabon avec les exigences de développement. 

En prélude à ce forum, les ambassadeurs ont prêté serment le 8 juillet dernier devant les 9 sages de la Cour constitutionnelle, une innovation par rapport aux précédentes conférences des ambassadeurs. Cette prestation de serment des ambassadeurs fait suite à un décret pris en 2000 mais dont la mise en œuvre n’est intervenue qu’en 2010 avec la prestation de serment de quatre chefs des missions diplomatiques, a indiqué une source proche du ministère des Affaires étrangères.

Instituée en 1965, la Conférence des ambassadeurs se tient aujourd’hui pour la 10ème fois, sept ans après les assises de juillet-août 2004, les neuvièmes du genre.
 


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le 11-07-2011 21:17

La SNBG, un modèle pour les autres


 Avec le nouveau complexe industriel situé à Owendo financé en fonds propres, la Société Nationale des Bois du Gabon (SNBG) est devenue un modèle à suivre. Un complexe qui s’étend sur 12 hectares et trois usines (tranchage, sciage et déroulage). Il s’agit là d’un plan d’industrialisation de la filière convaincant élaboré par le Conseil d’administration après la mesure gouvernementale du 5 octobre dernier  interdisant l’exportation des grumes. Ce plan d’investissement a été rendu possible dans un contexte économique particulièrement favorable des signaux forts de l’émergence et de la politique prônée par le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.

En effet, la SNBG, dans sa nouvelle organisation, a non seulement décidé d’être dans la mesure du possible aux côtés des exploitants désireux de se conformer à la nouvelle vision du pouvoir en absorbant 1/3 de leur production, mais aussi en changeant selon la loi son activité par la mise en place d’un plan social basé sur le volontariat. La particularité de ce plan repose sur le sort des agents de la Société Nationale des Bois du Gabon à qui la direction générale donne la possibilité soit de quitter, de rester dans la nouvelle entreprise compte tenu de l’environnement qui connaît déjà d’importantes mutations. Il y a lieu d’indiquer, à ce niveau, que ce plan n’est pas nouveau car cela a existé en 2003, en 2007, voire même en 2009. Il a été suspendu pendant un moment étant donné que  la trésorerie de la société était consacrée ces derniers temps à l’investissement, notamment la construction du complexe industriel. Notons que la SNBG a réalisé un chiffre d’affaires exceptionnel de 54.961 milliards de Fcfa en 2010 contre 37.406 milliards de Fcfa en  2009.

Concernant le nouveau défi de la SNBG, ses dirigeants se sont montrés optimistes. Mais les observateurs déplorent la mauvaise foi de ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre à travers une campagne de dénigrement. En de qualité de bons gestionnaires, faut-il souligner qu’ils sont parmi les rares de chef d’entreprise qui ont continué à payer régulièrement les salaires des agents  durant toute la période de transition, soit 14 mois sans production. Tout en rassurant le personnel, la société est lancée dans un plan social, le recyclage des anciens pour s’adapter au nouvel environnement a fait l’objet des préoccupations du Directeur Général et tout son staff. En même temps, il faudra recruter un personnel compétent. Le nouveau complexe industriel va générer environ 400 empois. Contrairement aux effectifs actuels de 144 agents. Compte tenu du fait que la SNBG va évoluer dans un contexte concurrentiel, sur le plan économique, des emplois directs seront crées avec tous avantages sociaux et les droits légaux.

Pour la direction générale de la SNBG, toutes les conditions sont réunies pour la situation des agents. Avec le nouveau plan, ceux qui manifesteront la volonté de partir se verront récompenser de 15 mois de salaire au lieu de 12 mois comme c’était auparavant. A la différence de l’ancien plan, le nouveau offre trois mois de plus aux agents et il est basé sur le principe du volontariat. Ceux qui désirent quitter l’entreprise perçoivent leurs alaires avec tous les droits légaux garantis selon l’ancienneté et la fonction d’un chacun.

N’en déplaise à certains, le Conseil des ministres et le Chef de l’Etat ont reconnu les efforts de la direction de la SNBG qui va se lancer dans l’exploitation des permis par sous-traitance. Il va s’en dire que les dirigeants de cette société sont donc des modèles à suivre. Pendant 14 mois d’arrêt des activités suite à la mesure d’interdiction d’exportation des grumes par le gouvernement, ils ont payé les salaires des agents. Pour paraphraser un ministre de la république : « Il y a quand même dans ce pays des Gabonais qui savent gérer pour accompagner le chef de l’Etat dans son vaste programme de l’émergence».

Par ailleurs, il y a lieu de faire remarquer que la mise en place du plan social a été demandée par les agents eux-mêmes, qui l’ont d’ailleurs confié à un Cabinet d’expertise indépendante mandaté par la direction de l’entreprise enfin de comprendre le souci des employés. Signalons que pendant la période de suspension dudit plan, deux agents, ayant trouvé du boulot ailleurs (administration), ont démissionné librement et sans aucune contrainte. Aujourd’hui, l’entreprise laisse la liberté à tout personnel de choisir ce qui est bien de ce plan social mis en place par la SNBG et passer à la trésorerie pour retirer ce qui lui est de droit ou de continuer avec les nouvelles orientations.

Une semaine après la mise en place du plan social, de nombreux agents ont déjà manifesté leur volonté de partir et sont passés à la caisse. Cette offre leur permettra peut être de se lancer dans les affaires, sans compter la retraite pour certains.

 


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le 11-07-2011 21:16

La deuxième série de conférences budgétaires s’ouvre à Libreville


La deuxième phase des conférences budgétaires organisées par la direction générale du budget s’ouvre ce lundi 11 juillet et devrait s’achever le 16 du mois courant à l’Institut de l’Économie et des Finances (IEF). Faisant suite à une première phase organisée en mai dernier, ces conférences seront consacrées à l’élaboration du projet de loi des finances de l’année 2012. 

 
© D.R/
 
Les stylos et les calculatrices s’agitent à l’Institut de l’économie et des finances (IEF) de Libreville où les administrateurs délégués de crédits et les agents de la direction générale du budget chargés de l’élaboration des lois de finance planchent depuis ce 11 juillet sur l'évaluation des besoins financiers des différents départements ministériels pour l’année 2012.

Cette deuxième série des conférences budgétaires, organisée par la Direction générale du budget, qui se poursuivra jusqu’au 16 juillet prochain, est consacrée à la poursuite de l’élaboration du projet de loi des finances de l’année 2012. 

Aussi, la tenue de ces conférences portera essentiellement sur l’examen des problèmes auxquels sont confrontées les administrations dans leur gestion quotidienne et dans l’analyse des projets en cours d’exécution 

Ce cadre d’échanges regroupe entre autres les agents de la direction générale du budget chargés de l’élaboration des lois de finance, également appelés corresponds budgétaires et les administrateurs délégués de crédits.

La première phase s’est déroulée au mois de mai dernier. La deuxième phase qui s’ouvre ce jour va durer six jours.
 


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le 11-07-2011 21:15

Des jumeaux naissent à deux jours d'intervalle !


Une britannique a donné naissance à des jumeaux à deux jours d'intervalle dans le comté de Surrey.
 
© Des jumeaux naissent à deux jours d'intervalle !
 
Jumeaux mais nés à deux jours d'intervalle et dans deux comtés de Grande-Bretagne différents, Seth et Preston Campbell ont connu des premières heures difficiles. Leur mère, Donna Grove, 27 ans, a subi une série de complications à la naissance. Seth était le premier à pointer le bout de son nez, après 28 semaines de grossesse dans le Surrey, tandis que son frère Preston a décidé de voir le jour 50 heures plus tard à Londres. 

En effet, quand Seth est né, le 13 avril dernier, il ne respirait pas en raison d'une infection intestinale mortelle, un souffle au coeur et un empoisonnement du sang. Il a donc été transféré dans la capitale anglaise d'urgence où sa mère l'a rejoint le lendemain soir explique The Sun. C'est là qu'elle a accouché de Preston après des heures de cauchemar : la mère a fait un arrêt cardiaque, suite à une embolie amniotique. 

Un miracle a fait que la mère et ses deux nouveau-nés ont aujourd'hui récupéré de leur lutte pour la vie après dix semaines d'hospitalisation. Les médecins soulagés estimaient leurs chances de survie à une sur un million. Le père, James a fait part de sa frayeur : "J'ai cru que j'allais tous les perdre". Aujourd'hui, la petite famille au grand complet est de retour à la maison, prête à profiter de la vie. 

 


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