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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 09-03-2010 01:51

Ndemezo’Obiang invite les Woleu-ntemois à se tourner vers l’avenir


 
 

  Le ministre René Ndemezo’Obiang a invité les ressortissants de la province du Woleu-Ntem résidant à Port-Gentil à se tourner désormais vers l’avenir , au cours d’une rencontre avec ces derniers, en marge de la toute première réunion du conseil des ministres tenu jeudi dernier dans la capitale économique. 
 
 
 
 
‘’Nous avons pensé à vous rencontrer afin d’échanger avec vous, car même si nous avons de plus en plus l’obligation de devenir des ministres de la République, il n’en demeure pas moins que nous avons des terroirs. Le nôtre, c’est le Woleu-Ntem, et nous avons l’obligation de suivre ce qui se passe là-bas’’, a déclaré le ministre des sports, qui avait à ses côtés le secrétaire général de la présidence de la République, François Engongah Owono, la ministre déléguée auprès du ministre de l’économie (…), Françoise Assengone Obame, et le ministre de l’agriculture, Raymond Ndong Sima. 
M. Ndemezo’Obiang a demandé aux Woleu-Ntemois d’adhérer au projet de société du président Ali Bongo Ondimba. ‘’L’échange que nous avons aujourd’hui a lieu après l’élection présidentielle, qui s’est tenue il y a plus de six mois, et nous savons tous, qu’au niveau de la province du Woleu-Ntem et vraisemblablement aussi, au niveau des ressortissants du Woleu-Ntem dans les autres provinces et en particulier dans l’Ogooué-Maritime, les choix ont été très divers’’, a-t-il fait observer. 
‘’Nous n’allons pas refaire l’histoire, cela appartient désormais au passé. L’important est de nous souvenir que nous sommes tous des Gabonais et des ressortissants du Woleu-Ntem’’, a-t-il dit, soulignant que ‘’cette élection passée, nous devons surtout regarder de l’avant”. 
‘’Cela signifie que nous devons désormais considérer que le président de la République élu est le président de tous les Gabonais, de ceux qui ont voté pour lui bien sûr, mais également de ceux qui ont porté leurs suffrages sur d’autres candidats, comme il l’a lui-même récemment encore dit’’, a expliqué M. René Ndemezo’Obiang. 
‘’Ce qui est important, c’est que nous regardions l’avenir avec confiance et le regardions ensemble, c'est-à-dire à travers le projet de société du chef de l’Etat, dont le slogan est ‘’paix- partage développement’’, a-t-il dit. 
‘’Il s’agit d’un projet de société qui maintient la paix, recherche le développement et un meilleur partage des fruits de ce développement’’, a-t-il affirmé, rappelant que ‘’dès sa prise de pouvoir, le président Ali Bongo Ondimba s’est lancé dans une série de réformes touchant directement la vie des Gabonais. 
‘’Dès l’adoption du premier budget de son septennat, il a démontré sa volonté de développer le pays en multipliant par quatre la part du budget réservée à l’investissement’’, a observé le ministre des sports. 
Selon lui, l’annonce, par le chef de l’Etat, du démarrage immédiat du projet d’électrification du Woleu-Ntem est un projet vital, un projet de développement majeur derrière lequel les ressortissants du Woleu-Ntem courent depuis longtemps.
EMM/PRB 
 
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le 09-03-2010 01:48

Conseil de paix et de sécurité : Responsabilités et enjeux


 
 Le Gabon, qui occupe, depuis le 1er janvier 2010 et pour une période de deux ans, sera aux côtés de la Chine, des Etats-Unis, de la Russie, de la France et du Royaume Uni, cinq autres pays membres permanents.
 

 

 

 


On peut se demander comment a découlé le choix de notre pays. Très simplement, ce choix découle de son élection à l’Assemblée générale des Nations Unies. 
Mais face à l’influence des cinq membres permanents, notamment de la France, de la Russie et de la Chine, certains se demandent ce que peut bien faire le ’’petit Gabon’’. Certains affirment que le choix porté sur notre pays peut être assimilé à une démarche purement protocolaire ou à un acte administratif’’.

En fait, il n’en est rien. En réalité, le choix porté sur notre pays lui confère un certain nombre de droits. En cela, le statut de membre non permanent du Conseil de sécurité, appuyé par le fait qu’il assure pour un mois la présidence tournante du Conseil de sécurité, lui confère plus de poids qu’on ne peut l’imaginer. 
Ainsi, il a un droit de regard sur la vie internationale. De ce fait, il sera appelé à jouer pleinement son rôle tant les responsabilités sont immenses. Il en est de même des enjeux au regard des crises internationales. 
Notre pays inaugure, en effet, sa présidence sur fond de coup d’Etat militaire au Niger. Quelques jours après ce coup de force, le gouvernement de la République, réuni en Conseil des ministres, avait exprimé toute sa ‘’solidarité au peuple frère de la République du Niger, tout en déplorant l’impasse ayant débouché sur la situation du moment’’ avant de souhaiter que ‘’tout soit mis en œuvre pour parvenir à un rétablissement de l’ordre démocratique où la paix sociale sera préservée au profit du peuple nigérien’’. 
Libreville occupe un positionnement sur la scène internationale. En effet, notre pays a fait de la quête de la paix et son affermissement, un idéal constant de l’action politique léguée au peuple gabonais et à ses nouveaux dirigeants par feu Omar Bongo Ondimba, qui n’hésitait pas à prendre son bâton de pèlerin pour aller exercer sa médiation où celle-ci était sollicitée. 
On peut penser que le Conseil de sécurité, sous la direction de notre pays, sera très attentif à la situation qui prévaut actuellement en Côte d’Ivoire où réside d’ailleurs en ce moment un représentant du Secrétaire général de l’ONU, dans l’optique de l’organisation de la présidentielle qui est annoncée pour fin avril début mai, après la relance du processus suite à la nouvelle configuration de la commission électorale indépendante (CEI) et la nouvelle équipe gouvernementale, suite à la surchauffe intervenue entre le camp Gbagbo et l’opposition regroupée au sein des ‘’houphouétistes’’. 
Plus proches de nous au Togo, l’élection présidentielle à un tour qui s’est déroulée le 4 mars dernier, retient déjà l’attention avec les deux candidats qui réclament tous les deux le victoire. La communauté internationale voudrait que ce rendez-vous électoral se déroule dans un climat ‘’apaisé’’. Autre dossier qui attend le nouveau président : l’uranium iranien. Il est, en effet, de tradition que le chef de l’Etat dont le pays assure la présidence du Conseil de sécurité se rende sur place et dirige les travaux. 
Des sources dignes de foi indiquent que le président Ali Bongo Ondimba se livrera, très prochainement à cet exercice, ce qui contribuera, à n’en point douter, à renforcer davantage son positionnement et son auréole sur le plan diplomatique international. Ce n’est pas la première fois que notre président se signale de façon positive au plan international. 

En effet, Ali Bongo Ondimba a joué un ‘’rôle important’’ durant le Sommet de Copenhague sur le climat et ce fut, selon le président français, Nicolas Sarkozy, ‘’le premier grand sommet mondial’’ du président Ali Bongo Ondimba. ‘’Vous avez joué un rôle puisque vous étiez dans le groupe des 28 qui a travaillé toute la nuit Et à ce moment-là, il ne s’agissait pas de savoir si le Gabon était plus petit, ou pas, que la France. 
Il y avait le Gabon, la France et l’ensemble des pays d’Afrique qui se battaient pour que Copenhague ne soit pas un désastre et que l’Afrique ne soit pas sacrifiée, parce que quelques grands émergents avaient voulu ne pas faire l’effort nécessaire pour que l’Afrique bénéficie de la solidarité à laquelle elle avait droit’’, avait ajouté le numéro un français. Qui avait ensuite appuyé son propos par la nécessité d’ouvrir un ‘’dialogue politique avec ce Gabon, membre du Conseil de sécurité des Nations Unies. 
Les chefs d’Etat gabonais et français se sont engagés à mettre sur pied un nouveau contrat basé sur une ‘’relation décomplexée’’ pour enfin ‘’parler d’égal à égal’’ avec l’ancienne puissance colonisatrice. 
Le Conseil de sécurité des Nations Unies donnera aussi l’occasion à notre nouveau chef de l’Etat d’effectuer sa deuxième grande sortie internationale, après le sommet mondial sur les changements climatiques. 
Déjà, sur la scène diplomatique africaine, notre pays occupe une position stratégique, après le coup de génie de feu le président Omar Bongo Ondimba qui a réussi à faire élire Jean Ping à la présidence de la Commission de l’Union Africaine, et dernièrement, l’élection d’un vice-président de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernements de L’Union Africaine (UA), lors du dernier sommet de l’organisation continentale. 
En tous cas, on peut dire, sans risque de se tromper, que la diplomatie gabonaise est très active aussi bien au sein de l’Union Africaine que des Nations Unies, qui mènent une mission commune pour la stabilité et s’associent dans la recherche de la paix dans la sous région et partant sur le continent noir.

TAM/PRB
 
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le 09-03-2010 01:45

Conseil de Paix et de Sécurité : Le Gabon au pinacle

 Le président de la République, Ali Bongo Ondimba a quitté Libreville, vendredi dernier, pour le siège des Nations Unies New à York où il prendra part, aux côtés de ses pairs du monde entier, aux travaux de la réunion du Conseil de sécurité de l’organisation mondiale. C’est la preuve de la consécration diplomatique de notre pays. 
 
 
 
En effet, le numéro un gabonais recevra le soutien des cinq membres permanents du conseil de sécurité des Nations Unies auxquels il faudra ajouter les dix autres membres non permanents, dont notre pays. 
A cette occasion, Ali Bongo Ondimba ne manquera pas de dévoiler son programme d’action en faveur de la paix dans le monde. On se rappelle en effet, lors de la récente visite du président français Nicolas Sarkozy dans notre pays, le chef de l’Etat avait, dans son adresse, indiqué que ‘’la construction de la paix et la réalisation de l’entente entre les peuples ont toujours constitué les points matriciels de l’action diplomatique de notre pays’’ 
Le président entend donc poursuivre avec la même détermination le travail accompli par ses illustres prédécesseurs, notamment le défunt président, Omar Bongo Ondimba qui avait fait de la recherche et du maintien de la paix, un de ses chevaux de bataille. C’est pourquoi il a pris l’engagement de poursuivre sur cette lancée. Mais pour y parvenir, le président Ali Bongo Ondimba avait dit compter sur son partenaire historique qu’est la France, pour avancer, en dépit des inerties qui se dresseront sur son chemin. 
‘’Le travail que nous faisons depuis de nombreuses années pour le maintien et la restauration de la paix dans certains pays de la sous région doit continuer ; comme en République Centrafricaine où le Gabon joue un rôle moteur au sein de la MICOPAX’’, a rappelé le président Ali Bongo Ondimba à son hôte. 
Pour le chef de l’Etat, les questions de paix et de sécurité dans notre sous région, comme celles qui se déroulent ailleurs sur le continent noir, doivent rester et resteront une préoccupation de tous les instants. 
Cette conviction du numéro un gabonais s’est encore renforcée depuis que notre pays a été honoré par la communauté internationale en l’amenant à siéger au sein de l’ONU. En effet, notre pays doit marquer sa présence au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies où il siège depuis le 1er janvier dernier. 
Pour arriver à cette fin, le chef de l’Etat compte beaucoup sur la France, qui est d’ailleurs membre permanent de cet organe international, pour ‘’mutualiser ‘’les efforts afin d’impliquer davantage l’ONU dans la recherche de la paix et de la sécurité dans le monde.

TAM/PRB
 
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le 09-03-2010 00:44

Rose Francine Rogombé à Santiago pour l’investiture du nouveau président Chilien


 – Le Président du Sénat, Rose Francine Rogombé, a quitté Libreville dimanche pour Santiago (Chili), où elle représentera le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, à la cérémonie d’investiture du nouveau Président Chilien, Sebastian Pinera, rapporte ce lundi le quotidien Gabon Matin. 

Le 11 mars prochain, dans la capitale chilienne, le Président sortant Michel Bachelet, passera le témoin à son successeur, Sebastian Pinera, élu le 17 janvier dernier avec 51,61% des suffrages.

Depuis dimanche, trois jours de deuil national, précèdent l’investiture du nouveau Président.

Sebastian Pinera, sexagénaire et affairiste multimillionnaire,  présidera pendant quatre ans aux destinées des chiliens et aura la « lourde » charge de présider également  à la reconstruction du pays, ravagé le 27 février dernier par un tremblement de terre de magnitude 8,8 dont le bilan provisoire est estimé à plus de 800 morts et plusieurs disparus.

Le 1er mars dernier, le président Mme Bachelet et M. Pinera avaient devisé sur la « bonne coordination » de l’aide internationale après la passation de pouvoir.

GN/MO/MS/10
 
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