Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-03-2013 12:51

Visite des chantiers socio-economiques de Libreville par Le Chef de l'Etat, Ali Bongo

Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba a visité, mercredi à Libreville, les chantiers des sites d’Agondjé, Charbonnages et de la Cité de la Caisse où s’exécutent les travaux de construction de logements, de l’Echangeur et d’un grand réservoir d’eau puis a reçu, de retour au palais, le rapport sur la biométrie, remis par le premier ministre Raymond Ndong Sima, selon la presse présidentielle.

 

 

 

Dans la zone d’Agondjé, où s’exécutent depuis quelque temps des travaux de construction des logements sociaux, le chef de l’Etat a pu apprécier le niveau d’avancement du projet où plusieurs logements sont déjà sortis de terre même si on relève quelques difficultés dans l’exécution de la tâche.

 

 

 

Accompagné de quelques uns de ses proches collaborateurs, Ali Bongo Ondimba a poursuivi sa visite de terrain du côté des Charbonnages, où il a pu se rendre compte que les travaux de l’Echangeur éponyme sont pratiquement terminés.

 

 


 

 

 

Le chef de l’Etat à toutefois pu observer qu’il avait encore des engins qui s’activent encore sur le site, pour la réhabilitation d’une voie voisine à la voie Express, destinée au désengorgement de la circulation devenue assez dense en ces lieux.

 

 

 

Le président de la République a bouclé sa tournée sur les chantiers en marquant un arrêt au niveau de la Cité de la Caisse, pour s’enquérir de l’état d’avancement du projet sur la construction d’un grand réservoir d’eau dans cette zone.

 

 

 

Rappelons que des travaux avaient été lancés il y a quelques mois dans la zone pour l’édification d’un château d’eau d’environ 10.000 m3. ce château d’eau est prévu pour approvisionner en eau potable la zone nord de la capitale, notamment le quartier Angondjé.

Le chef de l’Etat a reçu des assurances du chef de chantier sur la livraison de ce grand réservoir, qui pourrait intervenir dans la période d’avril à juin 2014.

 

 

 

Revenu au palais, le président de la République a reçu le Premier ministre Raymond Ndong Sima et les 20 commissaires venus lui remettre le rapport sur la biométrie.

 

En recevant le document, le chef de l’Etat a apprécié l’esprit patriotique ayant habité les commissaires pour arriver à un accord sur ledit rapport, au-delà des clivages politiques.

 

 


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le 27-02-2013 02:56

Conclusions du FMI sur les consultations de 2012 au titre de l’article IV avec le Gabon

 

Les notes d'information au public (NIP) s’inscrivent dans le cadre des efforts que déploie le FMI pour promouvoir la transparence de ses prises de position et de son analyse de l’évolution et des politiques économiques. Les NIP sont diffusées avec le consentement des pays concernés, à l’issue de l’examen par le Conseil d’administration des rapports sur les consultations au titre de l’article IV avec les pays, de la surveillance de l’évolution économique à l’échelle régionale, du suivi post-programme et des évaluations ex post de la situation des pays membres où le FMI a appuyé des programmes sur une longue durée. Les NIP sont aussi diffusées à l’issue de l’examen des questions de politique générale par le Conseil d’administration, sauf si le Conseil en décide autrement.

 

Le 13 février 2013, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a conclu les consultations au titre de l’article IV avec le Gabon.

 

Informations générales

Les autorités ont lancé un ambitieux programme d'investissements publics et de réformes pour transformer le Gabon en une économie émergente diversifiée d'ici à 2025. Bien que les conditions économiques actuelles demeurent favorables, l'une des questions cruciales qui se posera à l'avenir concerne l'utilisation efficace des ressources pétrolières et minières pour soutenir une croissance qui bénéficie à tous. À l’aune du revenu par habitant, le Gabon est le quatrième pays d'Afrique subsaharienne, mais la pauvreté et le chômage y restent endémiques et l'économie est fortement tributaire du pétrole, ce qui rend le pays vulnérable à l’instabilité des cours du pétrole.

Les résultats économiques récents du Gabon sont solides. Alimentée en partie par l'augmentation des investissements publics, l'activité économique hors pétrole a enregistré de bons résultats, en particulier dans les industries extractives, la transformation du bois et la construction, de sorte que la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel a atteint 7 % en 2010–11. En revanche, la production pétrolière dans les gisements arrivant à maturité est en baisse. Pour 2012, les projections laissent entrevoir une croissance du PIB réel d'environ 6 %, grâce au soutien continu d’investissements publics massifs. L'inflation reste maîtrisée et conforme aux critères de convergence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, à environ 3 % en moyenne annuelle, malgré une forte hausse des prix alimentaires au milieu de l'année 2012. Les dépôts bancaires et le crédit privé se sont accrus rapidement en 2011–12, à partir il est vrai d'un niveau faible, et les banques demeurent hautement liquides.

 

La position extérieure du pays reste solide, le niveau élevé des cours du pétrole et l'augmentation des exportations de manganèse contribuant à un excédent élevé des transactions courantes, tandis que les importations liées à l'augmentation des investissements publics et à la Coupe d’Afrique des Nations se sont accrues à un rythme soutenu. En 2011, l'excédent des transactions courantes a atteint son plus haut niveau depuis 2008, à 14 % du PIB, et ne devrait diminuer que légèrement en 2012, car l'on s'attend seulement à une faible baisse des exportations d'hydrocarbures et de manganèse. Les rapatriements importants de bénéfices par les compagnies pétrolières étrangères ayant compensé dans une large mesure l'excédent des transactions courantes, les réserves officielles n'ont augmenté que modérément en 2011–12. Le taux de change effectif réel est resté globalement stable, malgré une nette amélioration des termes de l'échange en 2010–11.

 

La politique budgétaire suit une orientation expansionniste depuis 2009 et le déficit budgétaire global enregistrerait un déficit en 2012 pour la première fois depuis 2000. Les recettes pétrolières ont progressé de 80 % entre 2009 et 2012, et les dépenses publiques ont augmenté de 70 % au cours de la même période. En particulier, les dépenses d'équipement ont triplé, ce qui s'explique par les investissements publics liés au programme de développement économique et à la construction des infrastructures nécessitées par l'organisation de la Coupe d'Afrique des Nations. Les dépenses courantes ont aussi augmenté en raison de l'accroissement de la masse salariale et des subventions aux produits pétroliers. En conséquence, le déficit hors pétrole devrait, d'après les projections, culminer à 27 % du PIB hors pétrole en 2012.

 

Au-delà de l'année 2012, les perspectives sont favorables mais exposées à certains aléas. Les investissements publics massifs continueront d'améliorer les infrastructures et les autorités envisagent de prendre sans tarder des mesures pour améliorer le climat des affaires et le marché du travail. La croissance hors pétrole devrait donc rester vigoureuse grâce à l’apparition de nouvelles sources de croissance, notamment dans les zones économiques spéciales. Étant donné que la production de pétrole sur les gisements parvenus à maturité va continuer de baisser jusqu'à ce que de nouveaux gisements puissent être explorés, l'excédent extérieur courant va se dégrader à moyen terme pour laisser place en 2017 à une situation globalement équilibrée. Le budget va enregistrer de légers déficits au cours des cinq prochaines années, période au cours de laquelle le gouvernement exécutera son programme d’investissement et les recettes budgétaires tirées de l’exploitation pétrolière vont diminuer. Le plus gros risque pesant sur les perspectives du pays réside dans la possibilité d'un ralentissement de l'activité mondiale qui pourrait engendrer une baisse prolongée des cours du pétrole et du manganèse, à laquelle les autorités devraient faire face avec des amortisseurs budgétaires limités. En outre, la réussite de la stratégie des autorités visant à transformer le Gabon en une économie émergente sera largement déterminée par l'efficacité des investissements publics et la capacité effective des réformes à libérer le potentiel de développement du secteur privé et de diversification de l’économie.

 

Évaluation par le Conseil d'administration

Les administrateurs notent avec satisfaction les solides résultats économiques que le Gabon a obtenus ces dernières années grâce au niveau élevé des cours du pétrole et de l'investissement public. Cependant, en dépit d'une croissance économique vigoureuse, la pauvreté reste endémique et le chômage est élevé. Dans ces conditions, les administrateurs saluent le lancement d'un plan de développement à long terme qui a pour objectif de faire du Gabon une économie de marché émergente et diversifiée. Les administrateurs engagent à adopter des mesures et des réformes ambitieuses pour favoriser une croissance plus solidaire et mettre en place des volants de sécurité adéquats face à la volatilité des cours du pétrole.

Les administrateurs reconnaissent qu'il est nécessaire d'accroître l'investissement et les dépenses sociales, mais ils encouragent à mener une politique budgétaire plus prudente et à modérer l'augmentation de l'investissement public. C'est important afin de préserver la viabilité des finances publiques à moyen terme et de veiller à ce que l'investissement public n’excède pas les capacités d'administration et d'absorption. Les administrateurs appellent à modérer la croissance de la masse salariale, à réduire et à mieux cibler les subventions aux produits pétroliers et à élargir l'assiette de l'impôt hors pétrole. Ils notent les avantages d’une règle budgétaire simple, fondée sur le cours du pétrole, pour ancrer les dépenses. Les administrateurs engagent aussi à continuer de renforcer les capacités de planification et d'exécution de l'investissement, d'améliorer la qualité de l'investissement, d'accroître la transparence des finances publiques et de renforcer la gestion des finances publiques afin de veiller à ce que les ressources pétrolières soient utilisées de manière efficiente.

 

Les administrateurs conviennent qu'il est nécessaire d'opérer de vastes réformes pour éliminer les obstacles structurels à une croissance solide et diversifiée, ainsi qu’au développement du secteur privé, qui est essentiel pour créer des emplois et faire reculer la pauvreté. Une attention particulière doit être accordée à l'amélioration du climat des affaires afin de stimuler l'investissement privé. Il est crucial aussi d'opérer des réformes dans l'éducation et sur le marché du travail pour mieux faire correspondre l'offre et la demande d'emploi.

 

Les administrateurs soulignent qu'il est important de préserver la stabilité financière et d'approfondir l'intermédiation financière. Ils encouragent les autorités à améliorer l'environnement institutionnel pour l'accès au crédit, à achever la restructuration de deux banques publiques en difficulté, ainsi qu’à renforcer la réglementation et le contrôle du secteur financier, notamment le dispositif de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.

Les administrateurs encouragent l'établissement d'un plan d'action statistique pour améliorer la qualité et le délai de production des données économiques et financières.


Gabon : principaux indicateurs économiques, 2008-17
 
  2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
    Est. Projections
 
  (Variation annuelle en pourcentage, sauf indication contraire)

Secteur réel

 

PIB à prix constants

1,0 -2,9 6,7 7,0 6,1 5,9 6,8 6,9 7,1 7,5

Pétrole

-0,9 -3,7 5,9 -2,4 0,8 0,3 -0,6 -0,7 -0,6 -0,6

Hors pétrole

2,1 -2,4 7,2 12,1 8,7 8,3 9,8 9,7 9,7 9,9

Déflateur du PIB

16,2 -6,6 18,3 15,1 1,2 2,4 -2,1 -1,7 -1,0 -0,6

Pétrole

15,4 -3,5 39,3 35,9 0,3 3,6 -4,4 -3,5 -2,8 -2,2

Prix à la consommation

 

Moyenne annuelle

5,3 1,9 1,4 1,3 3,0 3,0 3,0 3,0 3,0 3,0

Fin de période

5,6 0,9 0,7 2,3 3,1 3,0 3,0 3,0 3,0 3,0

Secteur extérieur

 

Exportations, f.à.b.

37,2 -9,1 26,0 40,2 -5,1 5,8 -4,0 -3,2 -1,0 0,4

Importations, f.à.b.

8,1 2,8 18,1 24,3 3,6 8,8 2,1 1,2 3,6 7,9

Termes de l'échange ("-" = détérioration)

17,6 -6,8 16,7 24,9 -8,2 2,6 -2,3 -2,4 -1,8 -3,2

Finances de l'administration centrale

 

Recettes totales

27,0 -8,9 8,9 34,6 3,1 0,0 3,1 3,2 4,0 4,0

Recettes pétrolières

42,0 -8,5 17,8 39,2 6,4 -3,5 -4,3 -3,7 -4,6 -2,6

Dépenses totales

13,7 -1,4 26,6 33,3 17,2 10,9 2,8 4,0 4,4 6,1
  (En pourcentage du PIB, sauf indication contraire)

Solde primaire hors pétrole (en % du PIB hors pétrole)

-2,5 -1,7 -8,0 -2,1 -26,4 -25,2 -22,2 -9,8 -17,1 -15,4

Solde global (base engagements)

10,5 5,9 1,8 2,3 -1,0 -2,9 -3,2 -3,3 -3,2 -3,6

Financement intérieur net

7,4 -1,4 -2,4 -2,5 2,9 2,7 1,6 1,9 2,1 3,0

Financement extérieur net

-3,8 -2,2 0,6 1,9 -0,6 2,2 3,3 3,1 2,4 2,0

Dette publique extérieure (y compris envers le FMI)

13,9 17,8 15,8 14,8 15,5 15,0 16,4 17,7 18,4 19,4

Dette publique totale

16,0 23,9 20,4 18,2 18,8 20,6 22,7 24,8 25,9 28,4
  (Variation en pourcentage, sauf indication contraire)

Monnaie et crédit

 

Crédit à l'économie

6,0 -7,9 1,9 42,0 24,4 26,0

Monnaie au sens large

8,8 2,2 19,2 26,5 12,5 11,6

Vitesse PIB hors pétrole/monnaie au sens large

3,3 3,0 3,1 2,8 2,8 2,8
  (En pourcentage du PIB, sauf indication contraire)

Épargne nationale brute

47,7 38,4 38,9 45,0 44,1 42,7 40,1 38,0 36,4 34,4

Investissement fixe brut

22,0 27,1 30,0 30,8 31,7 32,4 33,3 33,6 33,8 34,2

Solde des transactions courantes

23,3 7,5 8,9 14,1 12,4 10,4 6,9 4,5 2,7 0,2
  (En milliards de francs CFA, sauf indication contraire)

Pour mémoire :

 

PIB nominal

7 045 5 702 7 201 8 867 9 527 10 327 10 805 11 350 12 036 12 856

PIB nominal hors pétrole

3 731 3 475 4 238 4 936 5 553 6 200 6 882 7 592 8 406 9 328

Monnaie nationale/dollar EU (moyenne)

448 471 531 534 536
 

Sources : autorités gabonaises; estimations et projections des services du FMI.

 

 


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le 27-02-2013 02:47

Le Gabon fin prêt pour l'organisation du Trophée des Champions français

Le président de la Ligue française de football professionnel Frédéric Thiriez a remis mardi 26 février au ministre des Sports gabonais, la coupe qui sera offerte au vainqueur du Trophée des Champions français qui se disputera le 3 août prochain à Libreville. Le Gabon est le premier pays d’Afrique sub-saharienne francophone à ouvrir ses pelouses aux vainqueurs de la Coupe de France et de la Ligue 1. Roger Milla, Joseph-Antoine Bell ou encore le Gabonais Daniel Cousin avaient pour l'occasion fait le déplacement.

Shéraphin Moundounga, le ministre des Sport Gabonais (g), et Frédéric Thiriez, le président de la LFP, le 26 février 2013.

Pour la cinquième année consécutive, le Trophée des Champions organisé par la Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération française de football (FFF), qui oppose le champion de France en titre de Ligue 1 au vainqueur de la Coupe de France, se jouera à l’étranger. Le but : continuer à promouvoir le football français en poursuivant son développement à l’international.

« Cela va être une grande fête pour le football africain. » Mardi 26 février, le président de la Ligue de football professionnel française, Frédéric Thiriez, recevait le ministre des Sports gabonais, Séraphin Moudounga, pour passer symboliquement la coupe qui sera attribuée lors du prochain Trophée des champions à Libreville le 3 août.

« Ce sera un échange entre le football français et le football africain »

Un an et demi après le succès de la CAN 2012 au Gabon - unanimement salué pour la qualité de son organisation et de ses infrastructures -, le stade de l’Amitié de Libreville où 40 000 spectateurs pourront prendre place, va de nouveau faire vibrer les foules. « Le Gabon avait un dossier exceptionnel », explique Frédéric Thiriez. « Il y a 112 joueurs africains dans notre championnat et ce sera un échange entre le football français et le football africain », ajoute le président.

Le choix du Gabon comme premier pays d’accueil du Trophée en Afrique sub-saharienne fait également écho à la volonté de la LFP de s’impliquer dans le développement du football sur le continent africain. « Nous sommes prêts à aider à la professionnalisation du football en Afrique. C’est un message de reconnaissance et d’amitié que je souhaite apporter », précise Frédéric Thiriez.

« Le Gabon doit devenir une grande nation sportive et mettre à profit les équipements de la CAN 2012 », souligne pour sa part le ministre Séraphin Moudounga. D’ailleurs, le football est devenu la première discipline sportive à se professionnaliser au Gabon.

Un PSG-OM au Gabon ?

Ce match de gala à Libreville « est une reconnaissance par rapport à tous les joueurs africains qui ont contribué au développement de la Ligue 1 », avance Basile Boli. L’ancien international français, qui est né en Côte d’Ivoire, espère que les Bleus emboîteront le pas, eux qui n’ont jamais joué en Afrique sub-saharienne francophone. « C’est primordial, et ce que fait la Ligue est important pour la suite », confie l’ancien joueur de l’Olympique de Marseille, sous le regard du Camerounais Roger Milla, présent pour l’occasion.

Le Gabon avait reçu le Brésil en match amical en novembre 2011. Les Panthères avaient aussi joué contre le Portugal une année plus tard, alors que plusieurs membres de la LFP avaient fait le déplacement pour superviser la rencontre avant de choisir la ville hôte.

Daniel Cousin, qui est né au Gabon mais à grandi à Marseille, verrait bien une confrontation entre le PSG et l’OM en terrain neutre. « C’est ce que j’attends et c’est ce que l’on veut. C’est pour cela que je souhaite que Marseille l’emporte demain au Parc des Princes (mercredi 27 février) et continue l’aventure de la Coupe de France. Il faut aussi que Paris gagne le championnat ! »

L’ancien joueur des Glasgow Rangers imagine l’impact d’une telle rencontre au Gabon. « Pour le moment, les Gabonais ne croient pas que nous sommes capables d’organiser un tel événement et il faut faire un gros travail de communication pour remplir l’enceinte. » Mais un PSG-OM à Libreville pourrait certainement aider à déplacer les foules.

 

Source: RFI

 


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le 26-02-2013 17:04

Anthony Obame en Or à l’US Open de taekwondo

Après une prestation exceptionnelle aux derniers jeux Olympiques de Londres, le premier médaillé olympique gabonais, Anthony Obame, est venu confirmer sa suprématie lors du dernier U.S Open de taekwondo qui s’est déroulé du 19 au 23 février 2013 à Las Vegas.

 

 

Désormais,on peut affirmer que le demi-pensionnaire de l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep), Anthony Obame, qui s’entraîne avecl’équipe de France dans le cadre de la solidarité francophone, est un champion de premier ordre.

 

Représentant les couleurs de son pays, le Gabon, à l’US Open, l’un des tournois les plus prestigieux de taekwondo selon la classification de l’instance dirigeante mondiale de ce sport, Anthony Obame a su imposer sa supériorité dans la catégorie des lourds (+87 kg) et décrocher en finale le précieux métal devant le Canadien François Coulombe Fortier par le pointage de 4 à 2.

 

L’US Open est l’un des premiers et des plus anciens championnats de taekwondo dans le monde. L’événement est classé G2 par la Fédération mondiale et il attire chaque année les meilleurs compétiteurs du monde de taekwondo, y compris les champions du monde, les médaillés olympiques et les équipes nationales du monde entier.

 

La prochaine compétition d’envergure des taekwondoïstes sera l’Open de Belgique,les 6 et 7 avril 2013.

 

Source : GABONREVIEW

 


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