Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 19-07-2011 21:49

1,5 million d’euros pour la filière bois

Amorcée depuis plus d’un an, l’industrialisation de la filière bois pourra compter sur un soutien de poids. Le 17 juillet à Libreville, l’Etat gabonais et l’Agence française de développement (AFD) ont signé une convention de financement d’un montant de 1,5 million d’euros pour la mise en place d’un bureau d’accompagnement à l’industrialisation de cette filière stratégique, le Bureau Industrie Bois (BIB).
 
© D.R.
 
Le ministre gabonais de l’Economie, Magloire Ngambia, le Secrétaire d’Etat auprès du ministre français de l’Economie, Pierre Lellouche, et le directeur général de l’Agence française de développement (AFD), Dov Zerah, ont signé le 17 juillet à Libreville, une convention de financement d’un montant de 1,5 million d’euros pour la mise en place d’un bureau d’accompagnement à l’industrialisation de cette filière stratégique.

Dénommée Bureau Industrie Bois (BIB), cette structure aura pour objet d’accompagner les entreprises forestières dans leurs stratégies de développement industriel. L’accompagnement proposé par le BIB consistera notamment en un appui technique à l’optimisation des unités de transformation, la formation des opérateurs forestiers, ou encore l’appui au montage de dossiers de financement.

Le Bureau assurera, à cet effet, une plus grande professionnalisation des acteurs et donc, à terme, une meilleure gestion des ressources naturelles. Il s’intègrera dans la structure actuelle du Projet d’Aménagement des Petits Permis Forestiers Gabonais (PAPPFG) pour en faire le «bras armé» de l’administration des Eaux et Forêts en matière d’accompagnement des opérateurs privés, vers la gestion durable des ressources forestières et le développement d’une filière bois industrielle créatrice d’emplois.

Premier employeur privé au Gabon, le secteur forestier est considéré comme une des voies de génération de revenus pérennes pour le pays et de diversification de l’économie. La forêt occupe 22 millions d'hectares, soit 80% du territoire gabonais, et le bois en pied est estimé à 2,6 milliards de mètres cubes dont 1,5 sont commercialisables. La part du bois représente 6% du Produit intérieur brut (PIB) hors pétrole, et ce secteur est le principal employeur privé du pays avec environ 15 000 emplois directs et 5 000 emplois indirects, selon des chiffres récents du ministère des Eaux et Forêts. D'autres estimations font état de 30 000 emplois indirects.

L’industrialisation de la filière bois est consécutive à l’interdiction d’exportation des grumes, décidée le 5 novembre 2009. Un sursis de deux ans a été accordé aux entreprises pour l’industrialisation de la filière avec, l’obligation de transformer 60% de la production de grumes en 2010, 75% en 2011 et 80% en 2012. Entre temps, le gouvernement a créé un fonds de soutien de 20 milliards de francs CFA pour les acteurs du secteur, ou encore adopté le projet de décret fixant les règles et conditions d’accès à ce fonds.
 


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le 19-07-2011 21:48

Législatives 2011 : Le PDG ratisse large

  – Le Parti Démocratique Gabonais (PDG) ne cesse d’affûter ses armes en vue d’aborder les futures échéances  électorales. Ce, en se conformant à la vision du Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, de respecter la légalité républicaine.

C’est dans cette optique, a-t-on constaté, que le secrétaire fédéral Henri du PDG, dans le 2ème Arrondissement de Libreville, Paul Nanh Bioghe, a procédé dimanche dernier à Libreville, à l’installation des bureaux de sections dans la Fédération N°3.

La cérémonie qui s’est déroulée, devant plusieurs militants, était rehaussée par la présence des membres du conseil national et du comité central.

Dans son intervention, le secrétaire fédéral a promis de ne ménager aucun effort pour atteindre les objectifs visés par le Parti dans le 2ème Arrondissement de Libreville. Il a demandé aux promus la soumission à la discipline et au travail dans un esprit de cohésion et d’effort inlassable. Cela pour permettre d’espérer un succès en vue des lendemains meilleurs

Les militants ont été invité somme toute à une franche collaboration et à être au service de toutes les actions du Parti.

Les « camarades » qui ont été installés dans leurs nouvelles fonctions sont : Simplice Obiang Eyi (section1) ; Nongou Monigue (section 2) ; Minko Jean Sylvain (section 3) ; Mombangou badi Jean Remy (section 4) et Mebiame Mbeng Patrice (section 5).

 


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le 19-07-2011 21:46

13,91% d’admis d’office au BAC 2011

Le baccalauréat session 2011 a livré son verdict le 17 juillet dernier sur l’ensemble du territoire national. Sur 18572 candidats présentés, 2546 ont eu leur examen d’office, soit un taux de réussite de 13,91%. Des chiffres légèrement en hausse par rapport à la cuvée 2010 dont le taux d’admis d’office était de 6,01% pour 16 068 candidats.
 
© D.R.
 
Les résultats du premier tour du baccalauréat session 2011 sont tombés le 17 juillet. 2546 candidats ont eu leur examen d’office sur 18572 postulants, soit un taux de réussite de 13,91%. Le nombre d’admissibles quant à lui, s’élève à 6975, soit 38,11%.

Selon la Direction générale des examens et concours, «les résultats du premier tour du baccalauréat 2011 révèlent une nette amélioration du rendement scolaire ; preuve d’une volonté manifeste des enseignants et des autres personnels d’appui durant l’année scolaire de se remettre résolument au travail, aux fins de reconquérir la confiance des parents d’élèves et des élèves ainsi que celle des autorités nationales». 

«Ces résultats sont le fruit des efforts fournis par les élèves qui prennent progressivement conscience que la réussite aux examens est désormais tributaire du seul travail de chacun, sans plus jamais compter sur des déviances de toute sorte», a ajouté la Direction générale des examens et concours. En effet, en 2010 le taux d’admis d’office était de 6,01% (952 sur 16068 candidats) contre 13,91% cette année. Le pourcentage d’admissible, quant à lui, était de 30,18% (4581 sur 16068 candidats) l’année dernière contre 38,11% en 2011.

Par ailleurs, a souligné la Direction générale des examens et concours, «le taux de candidats ajournés dès le premier tour a considérablement diminué, passant de 63,80% en 2010 à 47,97% en 2011. Cela peut présager la possibilité d’atteindre un taux global d’admission au baccalauréat 2011 approchant 50% après le second tour, si toutefois les candidats admissibles abordent ladite seconde phase avec le moins de stress possible». Le second tour du baccalauréat est prévu du 21 au 24 juillet prochain.
 


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le 19-07-2011 21:45

Ces africains qui ont fait fortune


Ils sont africains, milliardaires et rentrent désormais dans le célèbre classement Forbes des hommes les plus riches au monde. Cette année, quatorze Africains font partis du célèbre classement. Il s’agit pour l’essentiel d’hommes d’affaires qui sont parvenus à s’introduire dans le cercle très fermé des grandes fortunes mondiales.

 
© D.R/ Classement Forbes des hommes les plus riches au monde.
 
Au cours de cette décennie, un grand nombre de méga-entreprises ont vu le jour en Afrique. Mais une poignée d’Africains, issus de familles de haut rang, ont su s’imposer sur les marchés de l’immobilier, des mines, du diamants, du pétrole ou des télécommunications, assurant leur avenir économique et, de fait, celui de l’Afrique.Grosse fortune: le particularisme africain

Les 1210 personnalités présentes sur la liste de Forbes représentent 4 500 milliards de dollars, le record de cette année 2011. Dans le top 20 des milliardaires, on compte huit Américains, deux Français, un Suédois, deux Indiens, un Espagnol, un Brésilien, un Canadien, un Mexicain, un Allemand, un Chinois, un Russe. Trois pays africains seulement concentrent les 14 milliardaires du continent: l’Egypte, le Nigéria et l’Afrique du Sud.

Les milliardaires égyptiens

Yasseen Mansour rentre pour la première fois dans la liste Forbes. Il arrive ex aequo à la 692e place, avec son frère Youssef, avec une fortune estimée pour chacun à 1,8 milliard de dollars. Youssef Mansour est à la tête de Métro, la plus grande chaîne de supermarchés égyptiens. Quant à son frère cadet, Yasseen Mansour, il dirige la Palm Hills Developments (PHD), le deuxième plus grand promoteur immobilier d'Egypte, spécialisé notamment dans la construction de villas de luxe et de centres commerciaux.

Mohammed Mansour, le troisième frère rentre également dans le classement Forbes: il apparaît à la 595e place avec une fortune estimée à 2 milliards de dollars. Une fortune acquise en commercialisant des marques américaines, comme Caterpillar, Chevrolet ou encore Marlboro sur le marché égyptien.

Onsi Sawiris, fondateur du conglomérat Orascom qui regroupe des entreprises de construction, de télécommunications et de tourisme, est à la tête d’une fortune de 2,9 milliards de dollars, faisant de lui le 393e homme le plus riche de la planète. Son fils, Naguib Sawiris, est quant à lui classé à la 310e fortune du monde, avec un capital évalué à 3,5 milliards de dollars. Mais c’est son frère Nassef Sawiris, qui est devient le plus riche de la famille. Sa fortune estimée à 5,6 milliards de dollars provient pour l’essentiel du groupe Orascom Construction Industries (OCI Group), spécialisé dans le fabrication de ciment et les constructions immobilières.

Les milliardaires nigérians

Aliko Dangote s’est constitué une fortune de 13,8 milliards de dollars. Sa compagnie, Dangote Cement, le plus grand fabricant de ciment du continent, possède des usines en Zambie, en Tanzanie, au Congo et en Ethiopie, et des terminaux de ciment en Sierra Leone, en Côte d’Ivoire et au Liberia. Classé 51e dans la liste de Forbes, Aliko Dangote est tout simplement l’homme le plus riche d’Afrique.

Bien loin derrière son compatriote, Nike Adenuga culmine à la 595e place du classement, avec 2 milliards de dollars provenant de la banque, du pétrole ou de ses actions dans des entreprises de télécoms. Il distribue également la marque Coca-cola dans toute l’Afrique.

Les milliardaires sud-africains

A 50 ans, Patrice Motsepe est devenu le premier noir milliardaire d’Afrique du Sud. Avec 3,3 milliards de dollars, il devient le 336e homme le plus riche de la planète. A la tête du conglomérat African Rainbow Minerals, il s’est spécialisé dans le droit minier et est devenu le premier associé noir au sein du cabinet Bowman Gilfillan à Johannesburg. Patrice Motsepe est reconnu pour avoir progressivement racheté des puits de mines d’or boudées par les grands groupes d’exploitation, pour en augmenter la productivité en utilisant un style de gestion à rentabilité faible.

Nicky Oppenheimer est l’homme le plus riche d’Afrique du Sud avec 7 milliards de dollars. Il a constitué sa fortune essentiellement dans l’exploitation de mines de diamants. Il est aujourd’hui à la 136e place dans le classement mondial de Forbes.

A la 219e place du classement de Forbes, Johann Rupert, 60 ans, est la deuxième plus grande fortune d’Afrique du Sud, évaluée à 4,8 milliards de dollars. Il est d’abord banquier puis incite l’entreprise Rembrandt, appartenant à son père et jusqu’à lors spécialisée dans les vins et le tabac, à s’intéresser au domaine du luxe. Il devient actionnaire principal et prend la tête du groupe suisse Richemont en 1988, qui comprend les marques Cartier, Dunhill, Montblanc et Chloé. Il possède par ailleurs deux des vignobles les plus connus d’Afrique du Sud: Rupert & Rothschild et L’Ormarins.
 


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