Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 22-07-2013 13:47

Anthony Aubame champion du monde de Taekwondo!


Anthony Obame, le champion du monde de plus de 87 kg. © World Taekwondo Federation (WTF)

Anthony Obame, le champion du monde de plus de 87 kg. © World Taekwondo Federation (WTF)

Tout laisse à croire que le règne d’Anthony Obame a sonné au sortir des derniers Jeux Olympiques de Londres, où il offrait à son pays la première médaille olympique de l’histoire du Gabon. En effet, le récent sacré talent d’Afrique vient de graver le nom du Gabon en lettre d’or dans les annales du taekwondo avec sa première médaille d’or, obtenue le 19 juillet dernier au championnat du monde de cette discipline, tenu du 15 au 21 juillet 2013 à Puebla au Mexique.

En battant en finale l’iranien Sajjad Mardani sur le score de 10-2, la panthère noire du Gabon, ancien numéro 1 mondial, a démontré sa suprématie sur ses adversaires, mais également qu’il a tiré les leçons des JO de Londres. «Le moment le plus difficile de ma compétition, je l’ai rencontré dans tous les combats, surtout le premier où il fallait se mettre dans le bain, il fallait tout de suite rentrer dans la compétition, et j’ai gagné d’un seul point. Mais au fur et mesure que j’avançais, je me suis senti meilleur», a déclaré Anthony Obame sur la chaine du World Taekwondo Federation (WTF)

«Je suis très content parce que j’ai disputé beaucoup de finales, je suis médaillé d’argent de la coupe du Gabon, médaillé d’argent des jeux africains, médaillé d’argent du championnat du monde universitaire, les Jeux Olympiques de Londres, médaillé d’argent. Aujourd’hui je suis très heureux d’avoir mon premier titre de champion du Monde», a-t-il confié après avoir esquissé quelques pas de danse Djazzé en dédicace à ses compatriotes restés au Gabon et à ceux de sa pension.

Ce énième succès intervient après une médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Londres en 2012, une médaille d’or à l’Open de Las Vegas en février 2013, une médaille de bronze au 11e Open d’Espagne le 4 mai 2013 suivi d’une percée dans le classement mondial des athlètes de sa catégorie dont il est l’actuel numéro 1.

 


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le 22-07-2013 13:45

Le procureur de la République et le proxénète fonctionnaire!

Sidonie Flore Ouwé, procureur de la République près le tribunal de Libreville, a annoncé ce vendredi 19 juillet à Libreville, l’amorce de démantèlement d’un réseau transnational de proxénètes ayant pignon sur rue dans la capitale gabonaise. Un certain Alex Eckembe est déjà aux arrêts.

Sidonie Flore Ouwé, procureur de la République, le 19 juillet au tribunal de Libreville. © Gabonreview

Sidonie Flore Ouwé, procureur de la République, le 19 juillet au tribunal de Libreville. 

Face à la presse, le 19 juillet au tribunal de Libreville, le procureur de République, Sidonie Flore Ouwé, visiblement surprise de la présence massive des journalistes devant son cabinet, s’est résolu, après moult coups de fils, à révéler qu’un homme d’une quarantaine d’années, haut cadre de l’administration gabonaise (anciennement directeur de cabinet dans un ministère), a été arrêté et mis sous mandat de dépôt.

«Nous sommes sur la voie d’une découverte d’un réseau de proxénétisme d’un niveau assez élevé. Je dirai même au niveau transnational. C’est une enquête qui est ouverte.», a laissé entendre Sidonie Flore Ouwé avant d’ajouter : «notre compatriote qui est voilé par nos soins a violé sauvagement une jeune dame. Après l’avoir accosté dans une boite de nuit, il l’aurait accompagné dans sa chambre d’hôtel avant d’exercer sur elle des violences physique qui se sont soldées par une violence sexuelle».


Le pot-au-rose a été découvert grâce à une jeune-femme d’une vingtaine d’années ayant été sexuellement brutalisé par l’incriminé, le 13 juillet 2013, dans un hôtel du centre-ville de la capitale gabonaise. L’enquête ouverte devrait permettre de découvrir d’autres faits certainement plus graves, pense le procureur qui a indiqué que le mis en cause se nomme Alex Eckembe, précisant qu’il a été directeur de cabinet dans un ministère de souveraineté.
Plus grave, il entretenait un réseau de proxénètes ayant des ramifications au-delà du seul Gabon. Selon le procureur, l’homme recruterait les jeunes filles de plusieurs horizons via un réseau ayant des ramifications dans des pays tels l’Afrique du sud ou le Cameroun et vendait leur charme. «Nous avons découvert que le mis en cause pratique, ne serait-ce qu’à titre d’intermédiaire, le proxénétisme», a expliqué Mme Ouwé indiquant qu’il a disposait de photographies de sa marchandise de  jeunes filles.

Alex Eckembe Ntsiantou, sur le moteur de recherche Google, c’est environ 93 résultats en 0,27 secondes. On y apprend qu’il a été, en 2007, président du mouvement politique «Bongo Doit Rester», avant d’être nommé, l’année suivante, en Conseil des ministres, Chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères. En 2011, toujours dans le même ministère et toujours en Conseil des ministres, il a été nommé Chargé des missions. Il attend attellement, à la prison centrale de Libreville, les conclusions des enquêtes poussées qui vont inéluctablement conduire à ses complices et à son jugement.

Parallèlement à ce dossier, Sidonie Flore Ouwé a ouvert une brèche sur une procédure relative au dossier des fêtes tournantes. En début de semaine, le lundi 22 ou le mardi 23 juillet 2013, d’autres personnes devraient être présentées au procureur pour détournements de deniers publics autour des chantiers des fêtes tournantes. Chaud devant !

 


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le 21-07-2013 16:52

Bras de fer enseignement supérieur/ gouvernement : à quand la fin?

Chaque année, un bras de fer oppose les enseignants-chercheurs au gouvernement sur le sujet du paiement de la Prime d’Incitation à la Recherche (PIR). A quand une résolution définitive de cette question source de conflit sans cesse remis sur la table des discussions ? Ce  jeudi 18 juillet, à Libreville, les enseignants réunis au sein du Syndicat National des Enseignants Chercheurs (SNEC) ont décidé d’un nouveau mouvement de grève.
 


Après une grève entamée au mois de février et qui s’était étendue sur une période de 3 mois, un triste constat est dressé : les enseignants-chercheurs et le gouvernement se retrouvent sur la table des négociations de façon plus que récurrente pour discuter des mêmes problèmes. 

Chaque année scolaire, le même scénario se répète, que ce soit au niveau des enseignants-chercheurs qui réclament le paiement de la PIR, des enseignants du secondaire qui sont contraints de hausser le ton pour percevoir leur Prime d'Incitation à la Fonction Enseignante (PIFE) et des étudiants qui se trouvent obligés de recourir à des moyens de pression pour pouvoir entrer en possession de leur bourse.

Une fois de plus, pour inverser le rapport de force, les enseignants du SNEC ont décidé de reprendre leur mouvement de grève, jeudi 18 juillet, à deux semaines de la fin de l'année scolaire déjà jalonnée de nombreux incidents et dysfonctionnements ...

Comment expliquer que le gouvernement ne puisse pas trouver une solution définitive au problème du paiement de la Prime d'Incitation à la Recherche (PIR) alors que celui-ci est inscrit dans le cahier des charges du ministère ? Sachant que cette prime a été adoptée par chaque partie (enseignants et gouvernement), pourquoi alors jouer au chat et à la souris et prendre les élèves ou étudiants en otage chaque année scolaire?

De nombreux observateurs en arrivent à se demander si le gouvernement dont le rôle dans ce dossier est d'assigner des recommandations au personnel du Ministère du Budget pour décaisser des fonds, n’entretiendrait-il pas cette situation qui paralyse le secteur académique national? Mais à quelles fins ?
A qui incombe la responsabilité?au ministere de tutel ou au ministere du budget qui est chargé de proceder au paiement desdites primes???
 
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le niveau général de l’éducation au Gabon en ressort fortement dégradé et dévalué puisque les programmes scolaires se retrouvent en définitive amputés d’une bonne partie de l’enseignement initialement prévu suite aux nombreuses grèves, et ce, année après année malgré la volonté illusoire affichée par certains de vouloir rattraper le retard accumulé.
 


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le 21-07-2013 16:34

La chute d’un tyran

Libreville, Jeudi 18 Juillet 2013 (Infos Gabon) – Les propos du fraichement nouveau coordonateur de la coalition « Publiez ce que vous payez », Guy René Mombo Lembomba ont été des plus...

 

 

Les propos du fraichement nouveau coordonateur de la coalition « Publiez ce que vous payez », Guy René Mombo Lembomba ont été des plus clairs sur l’enjeu de l’assemblée générale extraordinaire du samedi 13 juillet, « le vent du changement a eu raison … de la tyrannie, de la mauvaise gouvernance et de l’instrumentalisation ». C’est dire que les organisations de la coalition réunies le week-end n’en pouvaient plus de la confiscation de la coalition par Marc Ona, depuis la fin de son mandat il y a deux ans.

Sans ambages ni détours, le point unique  à l’ordre du jour de l’assemblée extraordinaire du samedi 13 juillet, était le renouvellement des administrateurs et du coordonateur de la coalition.

De toutes les personnalités représentants les 25 organisations composant la coalition, seules Marc Ona, Marcel Libama et Georges Mpaga n’ont pas pris part aux votes qui ont donné comme résultats l’élection de Guy- René Mombo Lembomba au poste de coordonateur général. Il est secondé parCaléopie Ntoumba épouse Elloué. Et les administrateurs sont : Charlemagne, Viebang Medang –Ntoutoum, Pepecy Ogouliguendé,Parfait Clotaire Mayombo-Lebaka MambuIbrahim Tsiendjie-MboulouSteeve Tchinga et Fatou Binta Mohamed.

S’inspirant certainement de Laurent Gbagbo, Marc Ona a tenté de « bunkeriser » le siège de la coalition en faisant mettre des scellés à la porte. Puis il enverra la propriétaire des lieux, un huissier et un avocat qui évoqueront même le trouble à l’ordre public pour tenter d’empêcher  aux membres de l’assemblée générale d’accéder au siège et ainsi faire échouer la tenue de cette élection.

Et voyant que son plan n’avait pas marché, il se résoudra  à rester dans son véhicule pendant le déroulement des votes, attitude qu’on assimilerait au boycott ou à l’abstention à une élection.

Après l’élection, les membres du nouveau bureau ont  interdit à Marc Ona et ses deux amis de continuer de parler au nom de la coalition PCQVP. Puis ils ont annoncé leur intention de mener une campagne d’information et de présentation de la nouvelle équipe dirigeante à travers le continent et à l’international.

 


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