Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 30-03-2012 19:48

Ali Bongo en visite en Australie, pour un partenariat sur l'industrialisation du Gabon

Le Chef de l’Etat Gabonais, Ali Bongo Ondimba a exprimé ce jeudi à Canberra, capitale politique de l’Australie, sa ferme volonté de rechercher des partenaires sur le long terme qui s’engageront sur le renforcement des capacités et l’industrialisation de l’économie gabonaise.  

« Le Gabon est un pays ouvert aux affaires et qui offre de nombreuses opportunités d’investissement dans de multiples secteurs. Mais nous recherchons des partenaires sur le long terme qui s’engageront à nos côtés sur le renforcement de nos capacités et l’industrialisation de notre économie », a déclaré Ali Bongo Ondimba.  

 

Présentant sa stratégie de développement du Gabon Emergent qui se base à la fois sur une large ouverture économique du pays, le Grand émergent a rappelé au premier ministre de l’Australie, Julia Gillard, qu’aujourd’hui dans le contexte économique actuel, le développement de nos pays ne peut plus se faire simplement à travers l’exploitation de matières premières.  

« La transformation, l’apport de valeur ajoutée au niveau local sont indispensables », a ajouté le Président de la République, conscient que le développement du pays, passe aussi par une meilleure valorisation de son capital humain.

Un message qui a été entendu par le premier ministre australien, Mme Julia Gillard qui a manifesté sa volonté de soutenir le Gabon en apportant son expertise minière reconnue dans le monde entier, pour le renforcement des capacités locales.

Le séjour du président Ali Bongo en Australie, qui est le premier Chef d'Etat gabonais en visite dans ce pays, prend fin samedi prochain.

 


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le 28-03-2012 19:36

Message du Parti Démocratique Gabonais à l' ANC (Parti politique au pouvoir en Afrique du Sud)

La délégation, du Parti Démocratique Gabonais (PDG), conduite en Afrique du Sud par le membre du Bureau politique, Secrétaire Générale de la Présidence de la République, Mme Laure Olga Gondjout, a maintenu sa position d’obtenir de I'ANC le soutien de la candidature pour un deuxième mandat de Jean Ping après le retrait de celle de Madame Zuma, indique un communiqué du PDG dont voici l’intégralité.
 

Le mandat du Président de la Commission de l'Union Africaine étant arrivé à son terme en janvier 2012, le Sommet des Chefs d'Etat de I'Union Africaine tenu à Adis Abeba en janvier dernier, devait aboutir à l'élection d'un nouveau Président.

Au terme du processus engagé à cet effet, deux candidatures sont restées en lice. Celle du Président sortant le Gabonais Jean Ping et celle de Madame Nkosazana Ndlamini Zuma, de I'Afrique du Sud.

 

 

Après quatre tours de scrutin, Madame Nkosazana Ndlamini Zuma, a dû retirer sa candidature comme le stipule la charte de l'Union Africaine. Le candidat du Gabon Jean PING est donc resté seul en lice. Sa réélection requiert une majorité qualifiée de 213 conformément à la charte.

 

 

Pour sortir de cette situation de blocage, les Chefs d'Etat ont décidé de la création d'un Comité ad hoc composé de huit Chefs d'Etat et présidé par le Président en exercice de l'Union Africaine, Son Excellence Monsieur Yayi Boni, Président du Bénin.

 

 

Le Comité des I Chefs d'Etat s'est ainsi réuni à Cotonou, le 17 Mars 2012, afin de trouver une solution qui permettrait à l'Union Africaine d'élire le prochain Président au Sommet de Lilongwe (Malawi). Les Chefs d'Etat ont, en guise de recommandation, encouragé le Gabon et I'Afrique du Sud à tenir des consultations bilatérales à cet effet.

 

 

En marge du Sommet de Cotonou, leurs Excellences Ali Bongo Ondimba et Jacob ZUMA, ont eu un entretien et ont exploré les voies de sortie de crise. lls ont ainsi, convenu de soumettre le traitement de cette question à leurs partis politiques respectifs, à savoir le Parti Démocratique Gabonais (PDG) et le Congrès National Africain (ANC).

 

 

A cet effet, le Secrétaire Général du Parti Démocratique Gabonais, le camarade Faustin Boukoubi empêché, a dépêché une délégation, conduite par la Camarade Laure Olga Gondjout, Membre du Bureau politique, Secrétaire Générale de la Présidence de la République, et composée des Camarades Dominique Guy Noël Nguieno, Membre du Conseil National, Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères; Paul TOUNGUI, Membre du Comité Permanent du Bureau Politique, Député ; Rigobert Ikambouayat-Ndéka, Directeur du centre d'Etudes Politiques et Axel Jesson Ayenoue, secrétaire National ; pour se rendre à Pretoria (Afrique du sud).

 

 

Cette rencontre qui s'est tenue du 25 au 26 Mars 2012, a été présidée par Madame Baleka Mbeté, Présidente Nationale de l’ANC.

 

 

Les deux délégations ont d'abord examiné toutes les questions d'intérêt commun, avec franchise et cordialité, en insistant sur leur responsabilité de préserver l'unité de l'Organisation Africaine.

 

 

Cette visite a permis de constater la bonne qualité des liens historiques et fraternels qui existent si heureusement entre le PDG et I'ANC. La délégation du PDG a saisi cette occasion pour souligner le soutien inconditionnel du Gabon, du peuple gabonais, et en particulier du PDG au peuple sud africain, dans sa lutte pour la libération, la démocratie et la justice. Les deux délégations se sont remémorées la première visite historique, en terre gabonaise, du président Nelson Mandela lors de sa sortie de prison ainsi que son séjour de quinze jours au Gabon, à la fin de son mandat, en reconnaissance de I'indéfectible appui de son Homologue et frère gabonais, le défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba.

 

 

Madame Mbeté a tenu à réitérer le sentiment de gratitude et de reconnaissance du peuple sud africain pour ce soutien précieux entre frères bantus. L'ANC a ainsi invité une importante délégation du PDG à assister à la Grande Conférence de l'ANC au mois de juin en Afrique du Sud. Cette visite sera l’occasion pour les deux Partis de partager, une fois de plus, leurs expériences respectives, notamment en matière d'organisation et renforcer leurs relations d'amitié.

 

 

S'agissant ensuite de l'élection à la Présidence de la Commission de l’Union Africaine, en dépit des multiples échanges entre les deux délégations, aucune solution n'a pu se dégager en raison du maintien inconditionnel de la candidature de Madame Zuma qui jouit, outre de l'appui de son parti mais aussi de celui des autres Etats membres de la SADC.

 

 

Le PDG a maintenu de son coté sa position à savoir : obtenir de I'ANC le soutien de la candidature pour un deuxième mandat de Monsieur Jean PING après le retrait de celle de Madame Zuma.

 

 

Face à cette impasse, les deux délégations ont convenu de rendre compte à leur hiérarchie respective et de proposer une autre rencontre dans l'une des capitales pour examiner les pistes d'une nouvelle réflexion sur cette importante question. 
 
Source:Secretariat Executif du PDG
 


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le 28-03-2012 19:04

Intervention très remarquable, comme à son habitude, du Président Ali Bongo au 2ème sommet sur la Sécurité et la Sûreté Nucléaires

 

Excellence, Monsieur le Président LEE Myung-Bak, Président de le République de Corée, 
Excellences, Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etat et de Gouvernement,
Excellence, Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies,
Mesdames et Messieurs les Chefs de Délégations,
Mesdames et Messieurs,

Le Gabon est très honoré de participer à ce deuxième sommet sur la sécurité nucléaire. 

Je tiens à remercier le Président LEE Myung-Bak et le Gouvernement coréen de l'accueil chaleureux et cordial qui nous a été réservé, à moi et la délégation qui m'accompagne.

Je voudrais exprimer au Peuple Sud-Coréen les sentiments d'amitié et de solidarité du Peuple Gabonais.

Excellences Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etats et de Gouvernement,

Notre sommet se tient à un moment opportun, alors que le contexte international reste marqué par des instabilités multiformes qui touchent la paix et la sécurité internationales, le système financier et économique mondial, ainsi que l'environnement et le climat. 

En toile de fond de ces instabilités, nous vivons un paradoxe historique de la réalité nucléaire : la probabilité d'un conflit nucléaire s'est réduite, tandis que la menace du terrorisme nucléaire s'est accrue et nous préoccupe aujourd'hui au plus haut point.

Il y a lieu de se féliciter de ce que la communauté internationale ait accordé une attention soutenue, à travers diverses initiatives, aux défis que présente la sécurité nucléaire.

Je pense en particulier à l'initiative sans précédent que le Président Barack OBAMA a prise il y a deux ans, en 2010, d'organiser le Sommet de Washington sur la sécurité nucléaire. 47 pays de toutes les régions du monde y ont pris part. 

Comme décidé lors de ce sommet, nous nous réunissons à nouveau et notre rencontre nous donne l'occasion d'évaluer les divers aspects de la question.

L'accident de FUKUSHIMA nous a rappelé qu'il est tout aussi important d'accorder la même attention à la question de la sûreté des matériaux nucléaires et radioactifs.

Je me réjouis donc du double accent que notre sommet place sur ces deux aspects liés que sont la sécurité et la sûreté nucléaire.

Il nous faut œuvrer dans le sens d'un régime international qui renforce notre action sur ces deux aspects. Nous devons, ici à Séoul, réitérer notre volonté de mettre en œuvre les actions décidées à Washington, y compris la mise en place de cadres réglementaires et institutionnels pour assurer la protection des matériaux nucléaires et radioactives.

Je voudrais me féliciter de ce que l'Afrique participe à ce second Sommet comme ce fut le cas du premier à Washington. 

Je tiens à réaffirmer l'importance et la priorité des questions de la sécurité et de la sûreté nucléaires pour l'Afrique. L'Afrique est au premier chef concernée par tout ce qui influe sur la paix et la sécurité internationales. 

Le continent africain contribue aux efforts de la communauté internationale visant le renforcement du régime international de sécurité nucléaire. L'Afrique a élaboré son propre traité, le Traité de PELINDABA, visant à éliminer l'existence d'armes nucléaires sur le continent. La Commission Africaine sur l'Energie Nucléaire (AFCONE) est l'organe de mise en œuvre du Traité. 

Excellences Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etats et de Gouvernement,

Le Gabon attache la plus haute importante à nos travaux et aux engagements que nous allons prendre ici. 

Face aux menaces et risques nucléaires, nos initiatives doivent privilégier le cadre multilatéral du système des Nations Unies. Aussi voudrais-je rappeler l'adhésion de mon pays au consensus et au régime international qui existent depuis sur la limitation et la non-prolifération nucléaire. 

Le Gabon a ratifie les principaux Instruments qui fondent le régime international sur la non-prolifération et la sécurité nucléaire, il honore également les obligations faites aux Etats, découlant de la Résolution 1540.

Nous avons la conviction profonde que la science nucléaire ouvre des possibilités réelles pour le développement et l'industrialisation de nos pays. L'Article IV du Traite de Non-prolifération accorde un droit inaliénable à toutes les parties pour le développement de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques. 

Le Gabon adhère sans réserve à la promotion de la science nucléaire uniquement à des fins pacifiques. C'est dans cet esprit que nous souhaitons un régime international transparent qui repose sur la confiance.

En ce qui concerne la sécurité nucléaire, mon pays adhère à la Déclaration d'Alger de janvier 2007, qui invite les Etats africains à renforcer les mesures de sécurité et de sûreté nucléaires dans le cadre d'une approche globale visant à promouvoir l'usage responsable et sécurisé de l'énergie nucléaire. 


Excellences Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etats et de Gouvernement,

Mon pays et l'Afrique attendent de ce Sommet qu'il soit bénéfique pour notre sécurité, et qu'il ouvre des perspectives en ce qui concerne la question de l'énergie nucléaire. 

Nos préoccupations concernent avant tout le développement d'une coopération et d'un partenariat solides entre l'Union Africaine, les Nations Unies et l'AIEA sur la question de la sécurité nucléaire en Afrique. Il est souhaitable que les efforts de l'Afrique soient soutenus par la communauté internationale.

Nos attentes concernent notamment l'appui au renforcement des capacités institutionnelles, humaines et technologiques de nos pays. 

Je saisis cette occasion pour saluer l'action de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) en faveur des pays africains, ainsi que l'appui que l'Union Européenne apporte à cette action. 

Comme je le soulignais au début de mon propos, notre action doit être collective et fondée sur la confiance mutuelle et des engagements de tous.

Dans ce sens, le Gabon et les pays africains doivent continuer à participer à cette action collective. Nous devons participer aux cadres et régimes internationaux mis en place par les Nations Unies. Nous devons renforcer notre collaboration avec l'AIEA. 

La question de l'énergie étant cruciale pour nos pays, il n'est pas exclu que l'option de l'énergie nucléaire soit envisagée dans certains cas et ce d'autant plus que la question de la fracture énergétique reste entière. En effet, quelle réponse apporter à nos populations qui demeurent dans l'obscurité alors que la ressource exportée profite à d'autres ? 

Il est donc souhaitable de réfléchir aux avantages et risques de l'utilisation pacifique du nucléaire pour l'énergie.

Les risques réels de terrorisme nucléaire et de trafic de substance radioactive sont une préoccupation pour nos pays. 

Pour l'Afrique le nucléaire n'est pas qu'une question de sécurité. Il a des implications potentielles pour le développement et l'industrialisation de l'Afrique. C'est pourquoi mon pays, conscient avant tout des risques sur la sécurité internationale, entend apporter sa contribution au renforcement des principaux éléments du régime international de sécurité et de sûreté nucléaires.

Le chemin vers un monde où la menace nucléaire n'existerait plus reste long et ardu, une utopie diront certains, mais la communauté internationale devrait rester mobilisée. Nous devons affirmer notre volonté d'œuvrer pour un monde où la menace et le risque nucléaires seront minimes.

Je vous remercie.

Source : Presse présidentielle 
 


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le 27-03-2012 11:52

Bien mal acquis:decheances des moralisateurs par Charles Mve Ellah


Trois faits importants ont marqué ces derniers temps, la vie politique de notre pays. D'abord la victoire éclatante remportée par le Parti Démocratique Gabonais (PDG), lors des dernières élections législatives de Décembre 2011, suivie de l'organisation conjointe par le Gabon et la Guinée-équatoriale, de la 28ème édition de la Coupe d'Afrique des Nations de Football (CAN Orange 2012) et, enfin, la formation d‘un nouveau Gouvernement de missions pour donner un coup d'accélération au projet de société L'Avenir en confiance, prôné par le Chef de l'Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba.

 


 

Pour l'essentiel, ces faits qui sont relatifs à un ordre de réalité s'attachent à montrer qu'il existe inexorablement un calendrier, une logique de progression dans l'action politique du Président de la République depuis qu'il a pris l'engagement de s'astreindre à la consultation, d'être à l'écoute de ses compatriotes pour espérer améliorer qualitativement et quantitativement leur quotidien.Dans la mouvance de l'action et des efforts qui contrastent avec toutes les formes d'immobilisme, les Gabonaises et Gabonais sont de plus en plus conscients et convaincus de la franchise d'Ali Bongo Ondimba qui a pris l'option de dire ce qu'il fait et de faire ce qu'il dit.Le chemin sera long. Certes. L'important c'est de démarrer cette révolution par le changement des mentalités. Car, dans son adresse à la Nation, le Chef de l'Etat a compris la nécessité qu'il y avait d'établir désormais de nouvelles méthodes d'organisation, de gestion et d'évaluation avec rigueur et détermination pour parvenir à des solutions adéquates et immédiates aux préoccupations des populations.Rigueur et détermination. Les mots sont lâchés montrant ainsi le cap, le principal objectif poursuivi par l'Etat étant la puissance. Ce qui explique par exemple le succès de la fête du football organisée récemment par notre pays, l'engouement autour d'un projet que les esprits obtus et défaitistes donnaient comme irréalisable au départ mais qui, contre toute attente, s'est révélée comme un facteur déterminant de rassemblement, de ferveur, de partage et d'unité nationale.Alors que la plupart s'accordent aujourd'hui sur le sens de la Vision d'avenir que le Chef de l'Etat appelle Gabon Emergent, que le respect des valeurs fondatrices et primordiales que sont l'Union, le Travail et la Justice sont de plus en plus suscitées pour forger le présent et l'avenir de chacun dans une société de partage, que la composition du Gouvernement actuel répond au souci d'accélérer les réformes qui ont pour objectif majeur de renforcer la bonne gouvernance et l'Etat de droit…, l'on est surpris par le retour sur la scène d'une curieuse affaire ayant trait aux pseudos ‘'biens mal acquis''.En effet, une certaine presse internationale aux objectifs non avoués se fait le plaisir de relancer l'affaire en France. Naturellement cette presse tient ses sources des modèles qu'inspire ce pays visiblement jaloux de ses prérogatives.Alors nous serions tentés de dauber sur cette France-là, ce seul pays d'Europe qui brille par sa santé économique, son taux de croissance, ses emplois stables, ses constructions légales, sa justice impartiale, son administration performante, son commerce excédentaire, sa politique irréprochable…bref, une France qui offre tous les privilèges, cultive toutes les formes d'égalité sociale…On peut s'en douter, une telle énumération ne peut que susciter de convoitises, faire naître des envies auprès de bougres et pitoyables « africains » qui ne pensent qu'à aller « planquer » l'argent détourné en France et d'y acquérir des biens jugés finalement mal acquis, puisque ces derniers - selon les définitions autorisées - sont le produit d'activités artificielles ou criminelles qui ont permis à des dirigeants (africains pour la plupart) un enrichissement que leurs revenus ne peuvent justifier.Dans ce sens qu'ils sont les résultats de détournements de fonds, de vols ou de transferts illicites d'argent public entre les comptes nationaux et leurs comptes personnels.Qu'à cela ne tienne. Il y a très longtemps que la formule des biens mal acquis est archi-usée. Le défunt Président de la République en a fait les frais, sans que les uns et les autres puissent démontrer que les biens, meubles ou immeubles qu'il détenait en France étaient constitués des fonds susceptibles d'appropriation privative soustrait illégalement du patrimoine public gabonais à l'effet d'appauvrir le patrimoine de l'Etat. A l'époque, et pour des considérations d'éthique et de respect des valeurs cardinales de notre société, nous dénoncions à cette même tribune, l'acharnement sur les morts. Simple question de culture. Et nous n'aurons jamais les mêmes manières d'agir, de penser et de sentir.Après le défunt Président Omar Bongo Ondimba, les ‘'experts en bien mal acquis'' n'ont pas trouvé d'autres moyens que de s'attaquer cette fois à Ali BONGO ONDIMBA. Ce qui a fait dire justement à ce dernier - au cours d'une récente interview accordée à un journaliste de Radio France Internationale - qu'il était victime du délit de patronyme.Et pourquoi pas du délire ahurissant de pseudo-moralisateurs à la conquête d'autres biens présents… N'ayant rien trouvé de sérieux dans cette quête permanente de « perturbation » de la vie tranquille mais rassurée du Chef de l'Etat, cette presse aux allures burlesques s'en prend aujourd'hui aux dépenses effectuées par la Première Dame, au cours de ses récents séjours parisien.<span style="font-family: 'Trebuchet MS', trebuchet, verdana, arial, sans-serif; -webkit-tap-highlight-color: rgba(26, 26, 26, 0.292969); -webkit-composition-fill-col

 


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