Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 15-12-2009 17:48

Une délégation gabonaise attendue à Malabo pour la CAN 2012


Le président du Comité d’organisation de la CAN 2012, pour la partie gabonaise, Hilaire Adiahénot, a annoncé lundi soir qu’il se rendrait la semaine prochaine à Malabo en Guinée Equatoriale pour peaufiner les préparatifs de cette compétition que les deux pays co-organiseront en 2012.

M. Adiahénot a fait cette annonce au terme d’une séance de travail avec le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba. Le numéro un gabonais, féru de football, souhaitait s’informer de l’ état d’avancement des travaux préparatoires de la plus prestigieuse compétition sportive en Afrique.

M. Adiahénot a affirmé que les travaux avancent bien et que son pays est optimiste sur l’échéance 2012.

Pour 2012, le Gabon a prévu la construction d’un stade flambant neuf de 45 000 places. Le marché a été confié à une société chinoise. Libreville réhabilite actuellement le stade omnisports Omar Bongo Ondimba de Libreville. Il est également prévu le réaménagement du stade de Franceville (sud est).

Un village olympique sera construit dans la banlieue de Franceville, la deuxième province du Gabon retenue pour accueillir les matchs de la CAN 2012.

Lors d’une récente mission de prospection, le président de la Confédération africaine de football, Issa Hayatou s’est dit satisfait des avancées enregistrées au Gabon malgré le décès de son chef d’Etat et l’organisation d’une élection présidentielle anticipée.

Après Malabo, la délégation gabonaise se rendra en Angola pour s’inspirer de l’expérience de ce pays qui organise seul la CAN 2010. (Xinhua)

 

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le 15-12-2009 16:23

Des élèves blessés dans un accident de la circulation près du feu tricolore des Charbonnage


Un taxis – bus transportant des élèves a fait une sortie de route ce lundi, à quelques encablures du feu tricolore des Charbonnages (1er arrondissement de la commune de Libreville), faisant quelques des blessés dont 3 cas graves, a-t-on appris de source officielle.

Les blessés ont aussi tôt été conduits dans des centres hospitaliers pour y recevoir des soins d’urgence.

Selon des témoins, le chauffeur du taxi – bus, a pris la poudre d’escampette après l’accident.

Le taxi – bus roulant à vive allure dans le sens Rond – point de la Cité de la démocratie - feu tricolore du quartier Charbonnage, a fait une sortie de route, assortie de trois tonneaux avant de se retrouver avec les quatre roues en l’aire.

Les blessés, dans l’ensemble sont des élèves du lycée public de Diba – Diba, établis dans la zone des charbonnages. 

Aussitôt alertés, le Ministre de l’Education Nationale, Séraphin Moundounga et le proviseur du lycée se sont rendus au chevet des victimes afin de s’enquérir de leur état de santé. Mieux, le Ministre a pris en charge les frais liés aux soins.

Pour l’heure, rien n’a filtré sur les causes de cet accident impliquant un transport en commun avec des apprenants. De même, c’est encore l’éternel problème de transport scolaire qui est mis en exergue ici et interpelle les autorités de la Républiques à agir le plus vite pour parer au plus pressé.

Selon des sources concordantes, certains blessés, des cas légers sont sortis de l’hôpital après avis des médecins. 


GN/YKM/DCD/09

 

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le 15-12-2009 15:55

Ali Bongo Ondimba reçu à déjeuner par Nicolas Sarkozy

 

 En route pour Copenhague, le président gabonais, Ali Bongo Ondimba est reçu mardi à déjeuner à l’Elysée par son homologue français, Nicolas Sarkozy, a-t-on appris de source proche de la délégation présidentielle gabonaise.

Selon la source, d’autres chefs d’Etat des pays du bassin du Congo prennent également part à ce déjeuner offert par le président Sarkozy.

Le président Ali Bongo Ondimba qui a quitté Libreville dans la nuit de lundi à mardi se rend dans la capitale danoise pour prendre part à la 15ème conférence sur les changements climatiques.

Une conférence marquée déjà par le désaccord des pays africains dont les représentants ont claqué lundi la porte des discussions à Copenhague.


IM/

 

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le 14-12-2009 16:48

Budget 2010 : Promesse tenue


 Budget 2010 : Promesse tenue, les dépenses totales d’investissement représentent plus de 40 %
 

 Le  projet de budget  de l’Etat gabonais de  2010  s’élevant à 2096 milliards de Francs Cfa, a été adopté, vendredi dernier, en Conseil des ministres avec l’affectation, comme prévue,  de 897, 505 milliards de Francs  CFA, soit 40% de l’enveloppe globale, aux dépenses d’investissement  dans les domaines de l’équipement et du développement afin de réduire le chômage et la pauvreté.

ACTIONS AUDACIEUSES

Confectionné, en grande partie,  grâce aux « ressources propres », le projet de loi de Finances ( le tout premier de l’ère Ali  Bongo Ondimba), sans surprise,  accorde une place prépondérante aux Infrastructures  qui, à elles seules,  engloutissent plus de 544 milliards  de francs CFA, autrement dit, plus de 60 % de la cagnotte ( 897, 505 milliards)  impartis aux investissements .

Ce potentiel devrait permettre la poursuite d’actions audacieuses déjà entreprises dans le cadre de la réhabilitation  de certaines voies  par le Ministère de l’Equipement, mais aussi l’initiation d’autres  telle que  la construction  de nouveaux axes routiers plus fiables devant le flux du trafic et les nuisances de l’environnement ( pluies, érosion).

Encore faudrait-il que l’entretien de ce réseau routier (actuellement  9 170 km de routes dont 936 km sont bitumées et 7 600 km en latérite) soit prioritaire au moment où l’essentiel des échanges entre Libreville, la capitale,  et le reste du pays  est tributaire des liaisons terrestres.

 

Sont aussi  attendus, de grands travaux  impliquant la rénovation des bâtiments  divers. Sur ce dernier point, les pouvoirs publics ont injecté plus de 14 milliards de francs CFA.

 

L’Habitat et le Logement  reçoivent 40 milliards de francs CFA  afin d’améliorer, dans les meilleurs délais, les conditions de vie des populations. L’Etat a promis de soutenir l’accès à la propriété à travers l’aménagement des parcelles et  par les facilités accordées aux opérateurs économiques qui souhaiteraient investir dans ces créneaux porteurs. Le diagnostic laisse apparaître  que chaque année, quelques 5.000 mille familles sont en quête d’un logement décent.

Comme remède, des financements importants y avaient  été constamment  consacrés pour  la satisfaction de ce droit humain  mais avec des résultats mitigés.  Au point que les investisseurs potentiels, en bute à une bureaucratie doublée de corruption, ont, dans leur majorité, fini par jeter  l’éponge.

 

La Santé, l’un des maillons forts du développement social, pointe avec  près de 69 milliards de Francs CFA. Le  plateau technique, les  soins et les médicaments devraient bénéficier de cette mobilisation de ressources.  

 

Les attentes sont nombreuses  en termes de  proximité avec les centres médicaux,  de qualité des prestations  et  d’accessibilité aux  remèdes. Récemment, le  premier ministre, chef du Gouvernement, Paul Biyoghé Mba,  devant la  Représentation nationale, lors de sa Déclaration de politique générale, annonçait  l’imminence d’un audit dans la gestion du dossier sensible du médicament.

 

« SOUTENIR ET ACCOMPAGNER LA VISION DE L’EMERGENCE »

 

L’Education, la Formation et la recherche se sont vues allouées 38 milliards de Francs Cfa. L’ambition réside dans l’émergence de nouvelles ressources humaines capables de relever  le  défi   du « Gabon vert, Gabon industriel, Gabon des services ».

Dans ce triptyque,  les hommes d’affaires et  autres  bailleurs de fonds ayant exprimé la volonté de «soutenir » et d’ « accompagner » la « vision de l’émergence »  impulsée par le chef de l’Etat, devraient  s’appuyer,  sur les cadres et techniciens nationaux,  rompus et aux profils requis.

 

Avec 35 milliards de Francs Cfa, le département de l’Agriculture  se doit d’augmenter la production vivrière. Objectif recherché: la sécurité alimentaire qui nécessite la prise en compte de nombreux facteurs dont la quantité et la qualité des aliments. Cette option  conduirait à limiter les importations et, par conséquent, à réguler le  marché local  au bénéfice des producteurs et des consommateurs.

Commerce, PME  et Industrie  enregistre une dotation d’un  peu plus de 11 milliards de Francs Cfa. Jusqu’alors, ces  domaines  stratégiques de l’économie sont tenus par des expatriés. L’exercice consisterait à inverser, sinon la tendance, du moins à encourager les locaux à entreprendre  par des mesures incitatives. Des allègements fiscaux ont été prévus  dès 2010.

 

D’où l’importance de la sécurisation des investissements. Dans cette optique, 62 milliards de Francs Cfa ont été accordés à la Défense et à la Sécurité. Outre la dotation en matériel, des recrutements seront effectués au sein des différentes  unités. 

 

N’occultons pas que plus de 83 milliards  ont été réservés « aux autres secteurs » qui n’ont pas été précisés par le Conseil des ministres.

Toutefois,  l’attention devrait être  portée sur  les  Eaux et Forêts plus que d’actualité à la lumière de la Conférence de l’ONU sur le climat à Copenhague (Danmark), sans omettre l’Energie, la Communication , la Culture , la Jeunesse et  les Sports. 

Des investissements   aussi divers que variés qui ne sauraient se soustraire  à l’impératif de résultats  - une évaluation  trimestrielle  des activités de chaque département ministériel avait été décidée par le numéro un gabonais, Ali   Bongo Ondimba- et aux règles de bonne gouvernance. Des indicateurs  nécessaires à  tout  gouvernement pour améliorer la qualité et l’impact sur le développement de ses actions.

AMELIORER L’INDICE DU DEVELOPPEMENT HUMAIN

Au Gabon, la mise en œuvre du nouveau budget d’investissement devrait contribuer à réduire le chômage (25 % de la population active) et améliorer la position du pays (103èmesur 177)  dans l’Indice du Développement Humain (IDH), dressé  sans complaisance,  en 2009, par le PNUD et  dans l’environnement des affaires  où il  est classé 158ème sur 183.

Manifestement, les autorités qui  tablent sur un taux de croissance  de l’économie  gabonaise  de  6,5%  en 2010, ont pris des dispositions parmi lesquelles  l’accélération des décaissements au profit des entreprises confrontées  aux problèmes de trésorerie, l’un des freins à la réalisation ou finalisation de nombreux  projets.

Après son adoption par le Conseil des ministres qui s’est  réuni  vendredi autour du président de la République , Ali Bongo Ondimba, le projet du budget devrait maintenant effectuer la traditionnelle  navette entre les deux chambres du parlement (Assemblée Nationale et Sénat) avant son retour au gouvernement pour, in fine, son exécution.

 

GN/RA/09 
 
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