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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 14-12-2010 15:09

Ali Bongo Ondimba présidera un Conseil des ministres le 22 décembre prochain à Oyem

Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, se rendra le 19 décembre prochain à Oyem, capitale provinciale du Woleu-Ntem, dans le cadre d’une tournée républicaine de quatre jours. L’annonce a été faite hier à Libreville par René Ndemezo Obiang, ministre gabonais des sports, au cours d’une réunion qu’il a tenue avec les fils de cette province dont il est lui-même originaire.

                             

« Le Chef de l’Etat quittera Libreville le dimanche 19 et séjournera dans le Woleu-Ntem. A cette occasion, il visitera tous les cinq départements jusqu’au 22 décembre », a indiqué René Ndemezo Obiang qui présidait la réunion aux cotés des ministres Raymond Ndong Sima (Agriculture) et Françoise Assengone (déléguée à l’économie).

Et de poursuivre : « le mercredi 22 décembre, le Président de la République présidera un Conseil des ministres à Oyem, deuxième du genre délocalisée, après celui tenu le jeudi 4 mars dernier à Port-Gentil, capitale économique du pays. Il animera ensuite, une conférence de presse. Bien avant, le Premier ministre y présidera le Conseil interministériel ».

Ali Bongo Ondimba, qui tient à ses promesses, avait pris l’engagement politique majeur, être, lui-même et le Gouvernement de l’Emergence, à l’écoute de l’ensemble des compatriotes aux fins d’une amélioration progressive et substantielle de leurs conditions de vie, prouvée par cette série amorcée de Conseils des Ministres à l’intérieur du pays.

Selon une source officielle, « cette série amorcée de Conseils des Ministres à l’intérieur du pays, tout en étant un engagement politique majeur, procède d’une vision du Président Ali BONGO ONDIMBA, à être, lui-même et le Gouvernement de l’Emergence, à l’écoute de l’ensemble des compatriotes aux fins d’une amélioration progressive et substantielle de leurs conditions de vie ».

« Cette démarche vise également à susciter davantage d’espoir auprès des opérateurs économiques, où qu’ils soient installés dans le pays, afin qu’ils créent plus d’activités génératrices de croissance et de richesse, de même que ces dernières seront pourvoyeuses d’emplois pour les jeunes et les femmes, partout dans le pays, pour participer, ainsi, à un schéma d’aménagement efficient et équilibré du territoire national. »

Rappelons que le Conseil des ministres de Port-Gentil a été marqué par l’annonce de plusieurs mesures à très fort impact économique et social annoncées au peuple gabonais, aux opérateurs économiques, aux partenaires au développement et à la communauté internationale par le Président de la République lui-même au cours de la conférence de presse qu’il a animé ce jour là.

Pour le séjour du Chef de l’Etat dans le Woleu-Ntem, René Ndemezo Obiang appelle à la mobilisation de tous.

« J’invite les cadres, les parlementaires, les responsables des partis politiques, les artistes, les associations et autres à se mobiliser massivement pour réserver un accueil chaleureux au Président de la République. Il est possible que le Chef de l’Etat accorde des audiences aux notables… mais il faudra s’organiser », a indiqué René Ndemezo Obiang.

Une chose est vraie, le Conseil des ministres du 22 décembre se tiendra bel et bien à Oyem.

 


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le 13-12-2010 19:24

" GABON D'ABORD " notre président Ali Bongo Ondimba impose une politique implacable

 

Transformation sur place du bois, création d’une compagnie pétrolière nationale, discussions avec les Chinois et les Français... Ali Bongo Ondimba impose " Gabon d'abord " a tous les niveaux.

 

 

 

 

Durant la campagne présidentielle,  Ali Bongo Ondimba, promettait de « remettre les Gabonais au travail ». Un an après l’investiture le « Tsunali », la « menace » a été mise à exécution! Toutes les réformes économiques engagées vont dans la même direction: réduire le train de vie de l’État pour en finir avec le pantouflage fort lucratif dans les allées du pouvoir, solder les comptes d’une puissance publique qui avait pris la fâcheuse habitude de laisser des ardoises et, enfin, valoriser le pactole (mines, bois et pétrole) pour tourner la page d’une économie de rente.

Le coup de tonnerre à l’issue du Conseil des ministres, en octobre dernier, n’était que le prologue d’un train de mesures – aussi opportunes qu’audacieuses – censées remettre le Gabon et les Gabonais au cœur des priorités. La nonchalance généreuse a laissé place à une hyperactivité patriotique. 

La première cible a été la filière bois, qui représente 4 % du produit intérieur brut (PIB), mais qui est le deuxième employeur (autour de 30000 personnes) du pays après la fonction publique. L’interdiction d’exporter les grumes a plongé les forestiers – dont le groupe français Rougier – dans la stupeur.

Avant, seuls 25 % des troncs étaient  transformés sur place ,désormais c’est la totalité du bois qui est transformé sur place,une véritable révolution. Grace à cette mesure la Société nationale des bois du Gabon (SNBG) a pû générer 500 nouveaux emplois .

Deuxième cible, la manne pétrolière, soit plus de la moitié de la richesse nationale. En mars dernier, le chef de l’État a annoncé la création d’une compagnie nationale Gabon Oil Company (GOC) pour contrôler la participation de l’État dans les sociétés pétrolières, gérer l’exploration et l’exploitation ainsi que la distribution .

L’enjeu est de taille: les hydrocarbures représentent déjà la moitié des recettes publiques, mais notre pays importe une large part des produits raffinés faute de capacités industrielles. Pour l’heure, Total Gabon – dont 25 % des parts sont détenues par l’État gabonais – et Shell, les deux principales majors implantées dans le pays, font le dos rond alors que l'Etat Gabonais vient de mettre sur le marché, 42 blocs d’exploration. Le nouvel exécutif sait très bien ce qu’il fait et jusqu’où il peut aller .

Troisième dossier, les mines. Notre Président Ali Bongo Ondimba a renégocier avec les Chinois la convention sur le fabuleux gisement de fer de Belinga (Nord-Est) pour lequel les investissements sont estimés à 3 milliards d’euros. C’était dans l’air du temps durant la campagne électorale. Les choses se précisent aujourd’hui.

Le coût de ce projet tel qu’il est à présent proposé est exagérément lourd , a expliqué, le 3 mai, de retour de Shanghai, Ali Bongo Ondimba , qui rejette « un contrat d’exploitation aux seules fins d’exportations ». Ambiance plus apaisée à Paris, où Eramet s’est déclaré « très ouvert » à la proposition de Libreville d’entrer au capital du groupe (entre 10 % et 15 %) et d’augmenter sa participation de 25 % à 33 % dans la Comilog, sa filiale gabonaise.

« Le président défend les intérêts du Gabon. Et même si certaines positions françaises sont affectées à court terme, ces réformes vont dans le sens du développement économique du pays », estime Alexandre Vilgrain, PDG du groupe Somdiaa (qui compte une filiale gabonaise, la Smag, dans l’agro­alimentaire) et président du Conseil français des investisseurs en Afrique (Cian).

 


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le 13-12-2010 02:18

La CAF en terre gabonaise pour inspection générale , à 13 mois du coup d’envoi

Arrivée en début de soirée , ce dimanche , dans la capitale gabonaise, la  délégation  de la Confédération Africaine de Football (CAF) conduite par  M. Almamy Kabélé, (membre du comité exécutif) en lieu et place du général Seyi Memene empêché,  va procéder  à  une  inspection générale des infrastructures  prévues  dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations de Football (CAN) 2012, dans les deux villes ( Libreville et Franceville)  qui doivent abriter cet évènement dans treize mois.

Cette inspection (12 -19 décembre) de la CAF,  première du genre par son ampleur,  concerne, en effet,  tous les secteurs entrant dans l’organisation de la CAN (4ème évènement sportif mondial) à savoir : les infrastructures routières, sportives (stades de compétition, d’entraînements), les hôtels, les transports, les aéroports, les hôpitaux, les télévisions et autres  installations sanitaires.

L’inspection démarrera par la visite des différents stades de Libreville et leurs voies d’accès avant d’enchainer  avec les autres sites notamment les hôpitaux (l’hôpital des instructions des armées entre autres), les hôtels (Re-Ndama, Méridien etc).

Aux côtés  de la délégation de la CAF,  on notera sur le terrain  du COCAN Guinée Equatoriale en plus de leurs hôtes du Gabon (COCAN Gabon).

Après l’étape gabonaise, la mission de  la CAF mettra le cap sur la  Guinée Equatoriale cette fois accompagnée du COCAN Gabon. Le but étant que chaque comité national  constate  l’état d’avancement des travaux de son coorganisateur.

De source officielle, le général Seyi Memene, premier Vice président de la CAF est absent de cette inspection pour des raisons de santé. Il pourrait subir une intervention chirurgicale.

 


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le 12-12-2010 23:45

Un nouveau champ pétrolifère au Gabon

Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba,  a inauguré vendredi le champ pétrolifère de Koula exploité par la compagnie anglo-néerlandaise Shell Gabon,  près de Mandji (sud-ouest),  dont les réserves sont estimées à 60 millions de barils.

Shell Gabon produit actuellement entre 60.000 et 65.000 barils par jour, mais cette production pourra être portée entre 82.000 et 87.000 barils par jour grâce au nouveau champ.

Présente dans ce pays depuis 1960, la compagnie Shell Gabon qui emploie 530 personnes, est basée à Gamba, la seconde ville pétrolière et son capital est détenu à 75 pc par le Groupe Royal Dutch Shell Plc et à 25 pc par l'Etat gabonais.
 


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