Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 24-09-2011 15:10

Intégralité du discours du Président à l'ONU du vendredi 23.09.11



 


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le 24-09-2011 14:54

Journal Televise de la RTG1 du 23/09/2011



 


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le 23-09-2011 19:54

Journal Televise de la RTG1 du 22/09/2011



 


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le 23-09-2011 01:56

A deux ans de mandat du Président Ali Bongo Ondimba , l'Emergence Gabonaise avance à Grands pas , au delà des critiques stériles .


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Le lancement des projets structurants constitue à n'en point douter, le début de l'espérance de l'émergence du Gabon à l'horizon 2025, conformément à l'ambition affichée par le Président Ali Bongo Ondimba.

Dans quelques semaines, le président de la République fêtera ses deux ans à la tête du pays. Le dialogue entre le Président Ali Bongo et certains acteurs politiques de l'opposition, malgré les pesanteurs inéluctables, a été un gage d'apaisement politique et un signe avant-coureur d'une « 
émergence » sans anicroche.

Lors de son discours à la Nation, le 17 août dernier, il a réitéré son ambition. « 
Depuis maintenant bientôt deux ans, j'ai décidé d'un certain nombre de réformes qui ont pour objectif de renforcer la bonne gouvernance et l'Etat de droit dans notre pays. Ces réformes sont nécessaires à la vitalité de notre démocratie, pour un meilleur fonctionnement de notre administration publique et pour offrir un environnement plus accueillant aux investisseurs qui s'engagent à nos côtés pour développer le Gabon ». Le ton est donné par la bouche la plus autorisée du Gabon.

Le décollage de la véritable croissance, gage de l'émergence du Gabon se profile à l'horizon et plusieurs signaux forts, tracent déjà, les perspectives de l'embellie économique du pays. L'an 2011 qui se termine sur les chapeaux de roue avec l'inauguration de la Zone spéciale économique de Nkok, après son très réussi lancement, exhibe aux yeux du monde la force des biceps du chef de l'Etat et son ingéniosité à faire rêver les Gabonais d'un avenir meilleur en ce monde de turpides et d'incertitude économique.

A presque 2 ans de magistère, le constat est sans ambages : 
Ali Bongo Ondimba est différent d'Omar Bongo Ondimba. Il a mis fin à la recréation politique nationale, tout en portant haut la voix du Gabon sur la scène internationale. Sa capacité à faire ce qu'il dit et à dire ce qu'il fait marque la rupture d'avec l'époque de son père dont l'immobilisme s'aligne encore dans les tiroirs du calendrier de certains compatriotes.

Tout autour de nous, les changements sont perceptibles, à l'instar de la décision des Nations Unies, prise sur proposition de la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, très engagée dans la promotion et la protection des droits des personnes fragilisées, d'instaurer une journée internationale de la veuve et de l'orphelin, ainsi qu'une meilleure prise en charge de la gratuité des soins concernant le « paludisme simple » pour les enfants, en sus de celle relative aux ARV pour l'affection virale du Sida. Sous son impulsion, le Gabon a porté aux Nations Unies un projet de résolution qui a été adoptée par l'Assemblée Générale des Nations-Unies le 21 décembre 2010 à l'occasion d'une séance plénière (résolution 65/189). Cette résolution institue une « Journée Internationale des Veuves » le 23 juin de chaque année.

Récemment aussi la décision prise par le président Bongo d'augmenter les allocations de bourse des étudiants de 10% pour les étudiants gabonais à l'étranger et de 25 % pour les étudiants inscrits localement, dans l'intervalle temporel de l'année 2011 a fait mouche aussi bien dans la communauté estudiantine, que chez les parents d'étudiants. Cette mesure qui connait d'ailleurs beaucoup d'euphorie populaire depuis lors, permettra aux étudiants gabonais des différentes strates sociales de financer plus facilement leurs besoins académiques.

Il en est de même pour la carte d'identité biométrique ; ledit document officiel étant indispensable à toute inscription possible sur les listes électorales pour les locales de 2013. Il va sans dire que ce document qui engendrera un fort taux de participation populaire aux scrutins névralgiques qui auront lieu d'ici 2016 constituera, à n'en pas douter, un gage de crédibilité pour le Gabon, vue que le Chef de l'Etat a instruit le Gouvernement de tout mettre en œuvre pour que les élections à venir se déroulent dans la transparence et de manière crédible et juste. Il va s'en dire que cette mesure spéciale, et inédite, prise par le chef de l'Etat au sujet de la carte d'identité numérisée rallonge la liste des surprises radieuses qu'augure l'introduction prochaine de la biométrie dans le fichier électoral en vue de fiabiliser les opérations électorales à venir.

Mais il n'y a pas que le Président Ali Bongo qui a positivement changé. Des évolutions sont également légion dans les domaines sociopolitiques, diplomatiques et économiques… Ils augurent des années d'abondance d'ici la fin de son septennat et de reprise en main de divers secteurs névralgiques d'activités.

Quelques raisons de croire à l'avancement de l'émergence

Avec la certitude de l'organisation prochaine de la CAN, 2012 s'annonce a priori comme l'ère qui suscitera, le plus, un sursaut d'espoir pour les populations qui semblaient déjà sclérosées par les ragots sur l'échec probable de cette manifestation sportive déclamé par une opposition longtemps restée aux antipodes de la légalité républicaine.

Après 2 ans de magistère, le paysage politique du Gabon a épousé, malgré la parenthèse de l'ex-UN, un contexte d'apaisement avéré.

Au-delà des clivages et divergences purement idéologiques et des détails liés à l'adoption de la biométrie pour les prochaines élections législatives, par exemple, seul l'intérêt du peuple gabonais semble polarisé par l'attention sur les deux familles politiques les plus importantes du pays. Le PDG et l'ACR. Il semble à l'évidence que les rencontres entre Ali Bongo et Pierre Mamboundou soient bien notées par la communauté internationale et les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux.

C'est bien pour cette raison qu'une rencontre au sommet entre les deux hommes serait en préparation. Celle-ci pourrait, selon certaines indiscrétions, accoucher des décisions historiques et ancrer définitivement l'ACR dans la majorité. Pierre Mamboundou récoltant au passage le poste de vice-président de la République et ses alliés de l'ACR, trois portefeuilles ministériels, un pour Ndaot et son groupe, un autre pour Kombila et les siens, et enfin un dernier pour Mayila et son équipe.

En effet, à leur suite, tous les autres protagonistes de la scène politique de ce camp politique se verront casser dans la haute administration et devraient ainsi tout mettre en œuvre pour soutenir la politique de l'émergence afin de ne pas rater le tournent de 2011, gage de paix propice à l'organisation de la CAN 2012 et aux investissements étrangers.

En 2011, la diplomatie gabonaise a été marquée par le rayonnement du Gabon sur la scène internationale et du sceau de la solidarité internationale (aide à la Somalie) et du dialogue, plus que par le passé.

Sous l'impulsion du Président Ali Bongo la diplomatie gabonaise continuera à s'exprimer dans les forums régionaux et internationaux sur toutes les questions qui concernent l'équilibre mondial. Le Gabon continuera ainsi à défendre la voix de l'Afrique sur toutes les tribunes du monde pour demander un meilleur équilibre entre les pays riches et les pays pauvres.

Depuis les deux dernières années, l'omniprésence du Gabon sur les sommets internationaux est remarquée. En tant qu'exemple de paix et de développement, la voix du Gabon compte de plus en plus… Il ne reste plus qu'à capitaliser les retombées économiques de cette offensive diplomatique…

Les desseins d'autonomie énergétique affichés par le Gouvernement renforceront les projets énergétiques en cours de démarrage comme la construction imminente des barrages hydroélectrique en projet qui donneront une autonomie électrique au Gabon, sans omettre les possibilités d'exportation de la manne électrique vers les pays de la CEMAC.

L'exploitation de réserves minières telles que le manganèse, le niobium, le nickel, le cobalt, le cuivre, la bauxite, le diamant, l'or et le fer permettront d'accroitre les richesses du Gabon, et de juguler le chômage dans un pays où les seuls recrutements à la Fonction publique ne peuvent garantir son essor économique.

Une page importante de l'histoire du Gabon s'est ouvert en 2009, maculée par des embellies tous azimuts qui préfigurent des lendemains qui chantent pour le peuple gabonais.

Il va sans dire que le Gabon a besoin de se défaire de certaines pesanteurs pour réaliser tous les projets promoteurs qui peuvent le hisser au rang d'une nation émergente. Il faut secouer les reines de l'inertie, combattre la corruption avec la dernière énergie car, elle a son lit dans la Fonction Publique.

En déclarant : « Je veux faire du Gabon un pays émergent, un dragon de croissance, un océan de développement partagé par tous », on de bonnes raisons de d'espérer qu'avec l'ouverture de la ZES de Nkok, que 2011 est le point de départ d'une émergence possible en 2025

 

Michel Ogandaga 

 


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