Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 04-12-2012 15:19

Le PRÉSIDENT DU PARTI DÉMOCRATE RUSSE REÇU EN AUDIENCE PAR LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PDG

Le Secrétaire Général du PDG, Faustin Boukoubi, avait reçu en audience,  le Président du Parti Démocrate Russe, Mr Andrei BOGDANOV le Mardi 13 novembre2012, dans les locaux qu'abrite le PDG sis au quartier Louis, dans la capitale gabonaise.

 

Le Secrétaire Général Adjoint Emanuel NZE BEKALE et le Secrétaire National Axel Jesson Ayenoue  prenaient également part à cette rencontre.

 

Monsieur Bogdanov  était accompagné de son Conseiller en Politique africaine et du Camarade Noel MAGANGA, Secrétaire Fédéral du PDG en Russie.

 Au cours de cette rencontre, la coopération bilatérale entre le Gabon et la Russie a été évoquée en matière de politique et d’économie.


L’homme politique russe a présenté son Parti comme étant affilié au Parti Russie Unie, Formation politique au pouvoir dont le chef est l’actuel Président Vladimir POUTINE.

C’est fort de cela qu’il souhaite que le pouvoir politique gabonais ainsi que le pouvoir russe puissent raffermir leur coopération et que l’amitié entre les deux peuples soit renforcée par de plus en plus d’échanges.

La Russie souhaite, selon Andrei BOGDANOV prendre part à l’œuvre de construction du Gabon émergent « aux cotés du Président Ali Bongo ONDIMBA qui a montré des signes forts dans sa volonté de diversifier les partenaires économiques du Gabon.».

Le Parti Démocratique Gabonais est résolument décidé à servir le Président Ali Bongo ONDIMBA en relayant le projet ambitieux du Gabon Emergent auprès des Partis Politiques amis d’Afrique et d’ailleurs. Le PDG est un Parti de Dialogue et a toujours été ouvert aux échanges, à l’intérieur comme à l’extérieur du Gabon » selon le Secrétaire National Axel AYENOUE, qui traite des questions de relations extérieurs au sein du Parti au pouvoir. 

 

Source:Secretariat Executif du PDG 

 


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le 04-12-2012 00:19

Le commandant de la police, le General Leon Mistoul reste aux commandes

 

 

Le commandant en chef de la police nationale, le général Léon Mistoul, n’a jamais été suspendu, a annoncé samedi sur les antennes de la télévision nationale gabonais, le Ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou.

« Cela relève de la rumeur, il n’a jamais été suspendu, vous le voyez à côté de moi », a affirmé M. Ndongou en présence du général Mistoul au terme d’une tournée dans les casernes pour « moraliser » la troupe dont l’image est ruinée par une série de scandales.

 

Le général, à la droite du ministre pendant l’interview, semblait se réjouir d’un tel démenti. Des journaux indépendants ont affirmé la semaine dernière que le commandant en chef de la police a été suspendu pour une période d’un mois.

 

Peu avant cette annonce, la presse nationale a fait ses choux gras sur des policiers qui se sont rendus coupables de braquage au domicile des paisibles citoyens, des bagarres sur la voie publique et autres actes répréhensibles.

 

La cerise sur le gâteau a été cette bastonnade en règle d’un frère cadet du chef de l’Etat. Yussuf Bongo Ondimba circulait paisiblement dans une luxueuse Mercédès au quartier Louis lors qu’il a été pris en chasse par des policiers en armes qui ont prétexté que l’automobiliste a refusé de s’arrêter à un contrôle. Maîtrisé le citoyen a été tiré de sa voiture puis molesté. Il a eu la vie sauve grâce à une intervention rapide de la garde républicaine.

 

L’hebdomadaire Echos du nord a affirmé que les hautes autorités du pays ont suspendu le commandant en chef de la police nationale suite à cet incident. La rumeur s’est aussi propagée dans la cité à défaut d’informations officielles.

 

Auteur:Martin Safou

 


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le 30-11-2012 12:17

Le President de la Republique, Ali Bongo Ondimba au premier forum de l’investissement à Londres

Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba est actuellement en visite à Londres pour renforcer les liens économiques entre le Gabon et le Royaume Uni.

Dans la matinée, le Chef de l’Etat s’est rendu à la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique et y a prononcé un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et du All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.

Lors de son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la diversification de l’économie, le renforcement des institutions et le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Il a ainsi réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.

« Nous savons très bien que nous ne pourrons pas atteindre un niveau satisfaisant de développement économique, d'égalité sociale et de préservation de l'environnement sans des institutions fortes et respectées (…). Nous avons réduit de moitié la taille du gouvernement et aligné chaque portefeuille ministériel avec nos priorités de développement national. Nous allons introduire des contrats de performance qui s'appliqueront aussi à nos fonctionnaires ; et nous avons créé une Agence nationale des Travaux publics qui a pour tâche de guider la réalisation des grands projets d'infrastructures – et de veiller à leur maîtrise technique ainsi qu'à leur gestion financière responsable. »

Dans le domaine économique, le Chef de l’État a présenté les mesures prises pour le développement du pays, s’agissant notamment des infrastructures et insisté sur l’importance de produire de la valeur ajoutée dans tous les secteurs pour générer plus de revenus et d’emplois au Gabon. Il a également mentionné la création de zones économiques spéciales pour diversifier les industries gabonaises et promouvoir les investissements étrangers dans le pays. « Doter le Gabon d’infrastructures de qualité et d’une main d’œuvre qualifiée sont des priorités absolues pour mon gouvernement. Notre plan directeur d'infrastructure compte 21 grands projets pour un investissement total estimé à plus de 8 milliards de livres sterling sur 6 ans. Ce sont les fondements dont nous avons besoin pour attirer des investissements à long terme et soutenir la croissance pour de nombreuses années (…). L'an dernier, nous avons attiré 4 milliards de dollars d'investissements en provenance de l'Asie du sud et de l'Europe dans les secteurs industriels et des services (…). De nombreuses entreprises se sont nouvellement installées dans les Zones économiques spéciales que nous avons créées à cet effet. »

Ardent défenseur de l’environnement, le Chef de l’Etat a également mis en exergue que la politique du Gabon Émergent est indissociable d’une gestion cohérente et durable des richesses environnementales :

« En Afrique, plus que sur d'autres continents, il existe un lien direct entre la gouvernance environnementale et la paix et la stabilité (…). Pour cette raison, le Gabon a mis au point des politiques pour accompagner le développement durable et la gouvernance environnementale. En 1993, à la suite du sommet de Rio, nous avons ainsi passé une loi sur l'environnement qui oblige tous les projets industriels à mener un bilan d'impact social et environnemental soumis à un examen public. »

Demain, le Chef de l’Etat présidera le premier forum d’investissement Gabon/Royaume-Uni destiné à renforcer les liens économiques entre les deux pays. Ce dernier s’inscrit dans la volonté du Chef de l’Etat de développer des partenariats forts et durables avec les entreprises internationales qui apporteront leur savoir-faire au Gabon.

« Nous sommes à la recherche de partenaires pour nous aider à développer notre économie et soutenir les emplois et le bien-être du peuple gabonais. Nous recherchons des entreprises capables de valoriser nos richesses nationales et de développer notre économie au bénéfice des Gabonais et des investisseurs ».

 

Source:COCOM 

 

 


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le 30-11-2012 12:09

Nouvelles règles du jeu pour le BEPC et le baccalauréat

Lors des tournées qu’il a effectuées dans les établissements de la capitale gabonaise, le directeur des examens et concours, Jean Eyéné Békalé, a annoncé des changements dans l’organisation du baccalauréat et du Brevet d’étude de premier cycle (BEPC).

 

D’emblée, le directeur des examens et concours a indiqué que l’épreuve de culture générale est désormais supprimée au BEPC. En outre, il faudra justifier de ce diplôme pour prétendre poursuivre en classes supérieures dans les établissements publics ou reconnus d’utilité publique. «Finis donc les cas des élèves admis en seconde sans BEPC», a-t-il déclaré. Dans les années à venir, les notes annuelles des classes de 6e, 5e et 4e seront prises en compte dans le calcul de la moyenne finale avant de décerner le diplôme sanctionnant la fin du premier cycle scolaire.

 

Pour ce qui est du bac, les nouvelles règles suppriment d’office le deuxième tour. Dorénavant, cet examen se fera en deux parties. La première, dès la classe de première. Les élèves valides devront passer obligatoirement les épreuves d’éducation physique et sportive. A cette épreuve, s’ajoutent des évaluations écrites qui varient de série en série.

Les séries scientifiques aborderont en classe de 1re les épreuves de français et d’histoire-géographie. Ceux de la filière économique (série B) seront évalués en philosophie et en seconde langue vivante. Concernant les élèves de A2, ils passeront les épreuves de troisième langue vivante et de mathématiques. Ceux de A1, plancheront sur l’histoire-géographie et la seconde langue vivante.

 

Selon Jean Eyéné Békalé, «cette innovation vise à alléger les matières au bac et à inciter les enseignants à boucler leurs programmes». Cette première partie des épreuves qui a lieu en 1re est d’autant plus importante qu’elle conditionne, en partie, l’accès ou le passage en terminale. «L’admission en cette classe dépend désormais, soit de l’obtention de la moyenne annuelle en 1re, soit de la réussite à la première partie du bac. Le candidat ayant échoué à celle-ci mais qui est admis en terminale devra passer toutes les épreuves du bac comme candidat libre», a-t-il expliqué avant de préciser qu’«avec cette réforme, il n’y aura plus de second tour».

 

En d’autres termes, le bac ne sera délivré qu’aux élèves ayant atteint la moyenne de 10 sur 20 à l’issue de la totalité des épreuves. De même, les notes obtenues depuis la classe de seconde seront progressivement prises en compte lors du calcul de la note finale du bac.

Source:gabonreview
 


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