Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 05-01-2011 23:15

Le premier ministre Paul Biyoghé Mba va s’employer à « gagner de manière transparente les législatives de 2011 »

- Le premier ministre, chef du gouvernement, Paul Biyoghé Mba, affirmé mercredi que grâce à l’ « action positive » de l’équipe gouvernementale, il s’emploierait  « sans relâche » à  « gagner de manière honnête et  transparente les élections législatives de 2011 » excluant, d’emblée, une cohabitation telle que « susurrée » par « certains esprits », a-t-il ironisé.

 

A ceux qui « rêvent d’une cohabitation », Paul Biyoghé Mba suggère qu’ils ont « dès maintenant intérêt à se réveiller » sachant que « naturellement qu’on  ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué ».

Il n’écarte non plus  l’hypothèse d’une « disparition de certains de nos  adversaires  de la scène politique, dans la  transparence ».

D’où l’engagement du premier ministre à préparer avec « le gouvernement et d’autres acteurs majeurs de la majorité ce passage important de 2011 » et « gagner » avec en  ligne de mire les locales de 2013 et les sénatoriales (2015).

Sur sa lancée, M. Biyoghé Mba a souligné que l’ « action positive du gouvernement sous les orientations permanentes  du chef de l’Etat » devrait amener le peuple gabonais à accorder sa confiance à Ali Bongo Ondimba lors de la présidentielle de 2016 avec un vote à « 51% » au minimum.

En face, André Mba Obame, secrétaire général de l’Union Nationale (UN, opposition), avait déclaré, à son retour de France, jeudi dernier,  que «  2011 doit être l’année de la victoire et de l’alternance. Et ce n’est possible que si nous le voulons ».

L’actuel parlement gabonais (Assemblée nationale et Sénat) est largement dominé par le Parti Démocratique Gabonais (PDG).

 


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le 05-01-2011 23:12

Discours intégral du président de la République adressé aux Représentants des Institutions constitutionnelles

 Après les allocutions des différents responsables des institutions républicaines à l’occasion de la cérémonie solennelle des vœux au chef de l’Etat, ce mercredi à la présidence de la République, le président Ali Bongo Ondimba dont notre Fédération vous livre l’intégralité a répondu à ses hôtes  

Monsieur le premier Ministre, 
Madame le Président du Sénat,Monsieur le président de l’Assemblée Nationale, 
Madame le Président de la Cour constitutionnelle,
Monsieur le Président du Conseil National de la Communication, 
Monsieur le Président du Conseil Economique et social, 
Monsieur le premier Président du Conseil d’Etat, 
Monsieur le Maire de la Commune de Libreville, 
Mesdames et Messieurs.

J’ai été très sensible aux vœux que vous venez de présenter à mon endroit et à celui de mon épouse, de ma famille, au nom des institutions que vous dirigez.

 Je voudrais donc à mon tour former pour vous et pour l’ensemble des serviteurs de l’Etat des vœux Républicains autant que chaleureux pour l’année 2011. Je voudrais aussi au nom du peuple gabonais vous remercier, vos collègues, collaborateurs avec vous, pour votre dévouement à la chose publique, et  votre contribution inestimable au fonctionnement régulier de nos institutions.

Mesdames et messieurs, l’année qui vient de s’achever nous a permis de jeter des bases, les nécessaires réformes devant permettre à notre pays de s’inscrire sur la voie du progrès économique et social.  Autant, Mesdames et Messieurs, les gabonais attendent plus que jamais à tous ceux à qui ils ont confié une parcelle de pouvoir et de responsabilité, qu’ils fassent violence au quotidien en exigeant toujours le respect de la norme et de l’intérêt général sur l’illégal et les intérêts particuliers.

Monsieur le premier Ministre, j’ai noté -comme vous- avec satisfaction les progrès accomplis en une année par notre pays dans la notation de nombre d’organisations; l’action de votre gouvernement doit donc être louée. Toutefois  ma satisfaction demeure relative car je pense que nous pouvons -et nous devons- faire beaucoup mieux si l’ensemble du gouvernement et de l’administration s’appropriait plus fortement et plus rapidement le projet que j’ai proposé aux gabonais.

C’est dire que des efforts restent à faire en termes d’efficacité du management public, d’intégrité et de gestion rigoureuse des ressources de l’état, toutes choses sans lesquelles notre pays ne saurait être le pôle d’attraction que nous souhaitons tous. C’est pourquoi je ferai mienne l’exhortation de madame la Présidente du Sénat en vue d’une évolution profonde de nos mentalités vers plus de vertu. De la même façon j’encourage, monsieur le Président de l’Assemblée Nationale,  chacun à détruire son logiciel mental et comportemental ancien. Il nous faut faire en sorte que l’Etat crée le cadre favorable au développement des activités permettant de libérer la croissance , comme il nous revient de mettre en place une véritable gestion de la ressource essentielle qu’est l’homme,  en libérant l’esprit d’initiative et en l’encourageant à la productivité.

Mesdames et messieurs, j’ai noté chez chacun d’entre vous et particulièrement chez monsieur le Président de l’Assemblée Nationale, Madame le Président de la Cour Constitutionnelle, Monsieur le Président du Conseil de la Communication et Monsieur le Président du Conseil Economique et Social, une inquiétude, presque -pourrait-on dire- une angoisse face à certaines dérives à coloration identitaire susceptible de porter de sérieux coups à la cohésion nationale. Je dois vous avouer que, en ma qualité de premier garant de l’unité de notre nation, je partage pleinement cette préoccupation. 
Je suis en effet préoccupé par certains discours, par certains comportements, par certaines pratiques au demeurant prohibées par toutes nos lois à commencer par la plus haute, la Constitution. Il n’est pas tolérable que certains aient choisi comme métier, la stigmatisation des communautés qui constituent la nation, comme il est inacceptable que d’autres se fassent les chantres de l’auto-stigmatisation identitaire. Et il est proprement honteux que sous prétexte de la liberté, certains médias se fassent la vitrine de ce combat d’arrière-garde.

Un simple rappel : le Gabon est un et indivisible et il le demeurera !

Aucune de nos communautés ne pourrait prétendre avoir à elle seule le mérite de la construction de notre pays. Aucune de nos communautés ne saurait souffrir seule nos échecs, aucune de nos communautés n’est constituée d’anges ni aucune de nos communautés n’est constituée de démons. Aucune communauté ne devrait décemment  prétendre à quelque intimidation que ce soit, au-delà de nos emprunts identitaires nous sommes d’abord gabonais nous devons, par conséquent assumer ensemble et au quotidien toutes les exigences du « vivre au ensemble ».

C’est dans cette esprit que j’ai instauré la Journée du Drapeau, qui a été évoquée tout à l’heure. Je souhaite désormais aller plus loin,  en transformant quelque peu cette Journée du Drapeau en une Journée du Drapeau et de la Nation, qui nous permettrait de revisiter chaque année ces symboles essentiels de notre « Vivre Ensemble ».

Mesdames et messieurs, j’ai pu constater avec vous tous, en écoutant le Président du Conseil National de la Communication nous donner les chiffres du nombre des ondes radios et télévisions existant dans notre pays,  que le Gabon n’est nullement le pays  que décrivent certains oiseaux de mauvaise augure ; de même, j’engage le gouvernement à œuvrer au renforcement permanent de  la couverture de nos organes audiovisuels publics.

Monsieur le Premier Président du Conseil d’Etat, vous avez attiré mon attention sur les besoins énormes de la justice malgré les efforts faits pour la modernisation de notre système judicaire et vous avez raison.

Mais vous avez aussi rappelé les principes qui fondent la mission du service public de la justice, les qualités de tous les justiciables, la continuité du service public et le droit d’accès. Or, de par tout ce qui peut nous parvenir dans le pays, monte la clameur  qui montre  notre système judiciaire foulant au pied ses principes et vous serez d’accord avec moi que cela ne peut continuer. La séparation des pouvoirs   compare nos institutions, il ne revient pas au pouvoir exécutif ou au pouvoir législatif de faire respecter au quotidien ces principes il est donc temps que la justice gabonaise  fasse sa nécessaire mue et que le Conseil Supérieur de la Magistrature se réunisse plus souvent dans sa formation disciplinaire qui n’est composée, faut-il le rappeler, que de membres de la corporation.

Mesdames et messieurs, en écoutant les serviteurs et représentants de la démocratie locale que sont Madame le Président du Sénat, Monsieur le Président du Conseil Economique et social, monsieur le Maire de Libreville, j’ai noté le vœu d’une accélération de la politique de décentralisation, déjà bien engagée dans notre pays.

Nous devons, en effet, libérer la démocratie locale des entraves qui enveloppent l’épanouissement, il nous faut convenir que la décentralisation, notamment en ce qui concerne les ressources ne saurait être uniquement constitutive de droits, elle suppose aussi des devoirs au rang desquels l’efficacité de la dépense, la gestion rigoureuse des ressources et le contrôle par les organes habilités. Si nous  sommes d’accord  sur les droits et devoirs, alors je ne peux qu’inviter le gouvernement à œuvrer à la réalisation de la décentralisation.

Mesdames et messieurs, nous nous sommes engagés dans une longue marche vers la transformation du Gabon en pays et ville émergente. Nous ne pouvons nous offrir le luxe de contempler tous ceux qui n’ont que la critique stérile et le verbe négatif, quand bien même ils portent une part de responsabilité notoire dans notre retard. Nous avons choisi de réformer notre pays en renforçant autant le tissu économique que la force des institutions car il n’y a pas de liberté, il n’y a pas de développement avec un état faible;

Parce que nous avons conscience du chemin qui mène au sommet de la montagne qui est pour nous l’émergence, nous ne pouvons pas passer le temps à flâner sur les sentiers fleuris avec ceux qui n’ont rien à proposer pour le bonheur du peuple gabonais.

C’est pourquoi, en ce début d’année, je forme le souhait que l’Etat relève les nombreux défis qui se dressent devant lui et je vous renouvelle, Monsieur le Premier Ministre, Madame le Président du Sénat, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale, Madame le Président de la Cour Constitutionnelle, Monsieur le Président du Conseil National de la Communication, Monsieur le Président du Conseil Economique et Social, Monsieur le Premier Président du Conseil d’Etat, Monsieur le Maire de la Commune de Libreville, mesdames et messieurs, tous mes vœux, pour vous, pour les vôtres, pour tous les serviteurs de notre République, chacun en ses titres et fonctions.

Que Dieu nous bénisse tous.

Je vous remercie.

 


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le 05-01-2011 23:09

2010, année de baptême pour le gouvernement de l’émergence, 2011, année de la confirmation, selon Paul Biyoghé Mba

 Le premier ministre, chef du gouvernement, Paul Biyoghé Mba,  a déclaré  que l’action de son équipe au cours  cette année s’articulera sur « deux axes majeurs: la gouvernance et la gestion politique » et que « si 2010 peut être considérée comme une année de lancement, de baptême du gouvernement, 2011, en revanche,  est l’année de la confirmation », s’est-il prononcé, ce mercredi,  à l’occasion de la présentation des vœux au président de la République, Ali Bongo Ondimba.

 

« Sur la gouvernance, je mets  en priorité un accent particulier sur une  exécution efficace du budget d’investissement avec un niveau de consommation  en rapport avec les justes ambitions  » du chef de l’Etat, a dit Paul Biyoghé Mba, avant de préciser que l’objectif était d’avoir « un taux de règlement  acceptable dans les délais raisonnables ».

PRODUCTIVITE ET POUVOIR D’ACHAT

La préservation de la productivité et le relèvement pouvoir d’achat demeurent également au centre des préoccupations, a insisté le premier ministre.

A ce sujet, il a annoncé que les « mesures  prises lors des négociations avec les syndicats entrent en application dès ce mois de janvier » au moment où les consommateurs constatent déjà que le prix de la bouteille de gaz butane a baissé (6000 francs CFA  sur l’ensemble du territoire) et que l’on s’achemine  vers la réduction du  prix du kilowatt et du mètre cube d’eau (fin janvier) après la baisse, sur ces deux produits, de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) suite à la volonté du chef de l’Etat.

Pour le chef du gouvernement, «  la bonne mise en fonctionnement du fonds souverain nouvellement crée, celle du fonds forestier, celle de la caisse de dépôts et de consignation  ainsi que celle de la caisse de relance, quatre grands leviers de financements de notre économie », dont l’initiative revient au  président Ali Bongo Ondimba, a rappelé M. Biyoghé Mba qui a observé qu’ils constituaient des « axes majeurs d’action pour l’investissement ».

A signaler qu’à l’entame de son propos, le premier ministre a tenu à rappeler que le « taux de croissance (création de richesse) est passé de moins deux (-2) en  2009 » lors de l’accession  d’Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême » pour atteindre  aujourd’hui  environ 5% et les «  prévisions, pour 2001, sont plutôt  intéressantes », s’est-il réjoui.

« Il n’y pas, de nos jours, beaucoup de pays dans notre continent et en même en dehors qui aient multiplié par trois en un an l’offre de croissance », a-t-il relevé.

Au niveau de l’Indice du développement humain (IDH), il a indiqué  que « la dernière notation des Nations Unies place notre pays au 98ème rang alors qu’il était à la 108ème  » lors de l’arrivée  aux affaires de l’actuel chef de l’Etat, il y a un an, gagnant (fait rarissime dans le monde) ainsi dix places au classement. Un bond sur lequel qui suscité le satisfecit du chef du gouvernement.

Sur ce registre, il n’a pas manqué de souligner que le Gabon, avec le niveau du salaire minimum (150.000 FFCA) occupait le deuxième rang, dans la zone subsaharienne, après le Kenya, citant les statistiques du Bureau international du travail (BIT). Une situation qui doit être  continuellement améliorée, a-t-il avancé.

Sur ce plan, il a loué l’attitude des syndicats et du patronat qui se « comportent de plus en plus comme  le doivent des « partenaires et non des adversaires ».

L’environnement des affaires (aspects de droit, procédures, sécurité des personnes et des biens) se porte mieux. « Le Gabon a gagné deux places en 2010 » selon un organisme international spécialisé en la matière. « La tendance est bonne car avant, on  reculait »,  a-t-il laissé entendre.

« AVANCEES SIGNIFICATIVES »

« Tous ces  gains  ne sont pas seulement dus  à la «  bonne tenue des coût des matière premières », a  fait remarquer le premier ministre,  mais ces « avancées significatives sont  le  résultat de la mise en œuvre, efficiente,  pragmatique, pratique des justes  instructions » du chef de l’Etat par le  gouvernement de la République, « aussi bien en ce qui concerne en particulier la promotion de l’investissement direct étranger qu’en ce qui concerne  l’affectation et la localisation  de nos ressources dans des secteurs porteurs avec des coefficients multiplicateurs appréciables», a-t-il soutenu.

Toutefois, a-t-il concédé, « il y a encore beaucoup (…) à faire, des lacunes à combler, des retards à rattraper, des ajustements à opérer en vue d’un meilleur partage, d’une meilleure distribution, une articulation mieux huilée des différents rouages pour obtenir plus de gains en puissance et en vitesse et atteindre ainsi, dans les délais requis, l’émergence », destination  d’Ali Bongo Ondimba.

Dans son souci de « satisfaire la majorité des gabonais » sans rechercher l’« unanimité, Paul Biyoghé Mba a affirmé que le gouvernement était « déterminé à atteindre en temps acceptable, les objectifs de long terme, la croissance forte et l’émergence ».

Aussi, entend-il accorder une attention particulière sur l’Agence nationale des grands travaux (routes, énergie, écoles…) générateurs d’emplois;  l’Agence nationale de l’informatique;  l’entretien des berges tant à Libreville; le suivi du statut de la veuve et de l’orphelin; le suivi jour et nuit des travaux de la Coupe d’Afrique des Nations(CAN) de football qui aura lieu effectivement  à Libreville et Franceville en 2012 et la mise en forme de l’équipe nationale ‘’les Panthères’’.

GAGNER LES LEGISLATIVES DANS LA TRANSPARENCE

Et, sur le plan politique, a-t-il conclu, « ceux qui rêvent d’une cohabitation  en 2011 ont intérêt à se réveiller » à propos des législatives que P. Biyoghé Mba va, aux côtés des autres partis de la majorité république pour l’émergence  « gagner dans la transparence ».

Dans sa réponse, le président de la République a fait part de sa « satisfaction relative » devant l’action gouvernementale. « Nous pouvons faire mieux si l’ensemble de l’administration s’appropriait l’ensemble de mon projet de société », ‘’ l’Avenir en confiance’’ avant d’inviter les Gabonais à « assumer au quotidien l’exigence du vivre ensemble ».a

 


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le 05-01-2011 23:06

Ali Bongo heureux d’avoir ouvert les portes aux investisseurs étrangers

Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba a reçu ce mercredi les vœux du gouvernement de la République, des institutions constitutionnelles et des représentants diplomatiques accrédités au Gabon. Lors de cette cérémonie qui s’étend sur deux jours, le chef de l’Etat gabonais a clairement affirmé qu’il est heureux d’avoir ouvert les portes du pays aux hommes d’affaires de tous les continents.

 

 

Le doyen des diplomates accrédités au Gabon, le Guinéen Ibrahima Sory Soumah a ouvert le bal des allocutions. Ainsi, il n’a pas manqué de faire le tour des actions politique et sociale réalisées par le président gabonais tant sur le plan national qu’international, avec un plus adressé à la première dame pour le combat qu’elle a mené et qui a conduit à l’adoption, par l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unies (Onu), de la Journée internationale de la veuve, célébrée désormais le 23 juin de chaque année.

Pour sa part le chef du gouvernement Paul Biyoghé Mba a rassuré le président gabonais et le peuple tout entier qu’il prendra des mesures particulières pour impulser une nouvelle dynamique dans la réalisation des travaux de la CAN 2012. En effet, il a précisé que les travaux se dérouleront nuit et jour sur tous les chantiers du pays.

Répondant aux vœux des uns et aux autres, Ali Bongo a indiqué que : « je voudrais en commençant mon propos, vous remercier pour tous les souhaits que vous avez bien voulu exprimer au nom de vos pays, à l’endroit des responsables des institutions de la République et à moi-même pour l’année nouvelle. En me prêtant à ce rituel des vœux de nouvel an, je tiens à vous dire que je suis heureux de fêter une fois de plus, l’année nouvelle avec vous ».

Le n°1 gabonais a par la suite laissé entendre « que le Gabon a vécu une année 2010 particulière intense car, marqué par des reformes aux plans : politique, économique social et diplomatique. »

« Dans la plus part des scenarios qu’ébauchait mon projet de société, des actes hautement significatifs initiés par le gouvernement ont été appréciés par le peuple gabonais dans un élan patriotique et avec l’espoir que les changements initiés peut amener la société gabonais toute entière à évoluer en profondeur.

C’est avec une confiance renouvelée à notre capacité à relever des défis importants qui se posent à notre nation que nous abordons cette année 2011. Le fait majeur qui sous tends cette volonté inébranlable, est que le peuple gabonais ait repris son destin en mains après une année 2009 marquée par des deuils difficiles », a déclaré Ali Bongo.


Sur le plan économique, le président a souligné qu’il ne ménagerait aucun effort pour que l’environnement des affaires soit davantage soit assaini et sécurisé.

Aussi, le président gabonais n’a pas manqué de fustiger les comportement déviant de certains hommes politiques qui pensent tout résoudre par la force et les armes notamment pour servir leurs ambitions « ce tableau optimiste n’occulte pas l’autre réalité, celle d’un certains nombres de pays en Afrique et dans le monde qui ont encore recoure aux armes pour faire triompher leurs ambitions.

Sur le plan international, le président du Gabon a déclaré que "des élections se sont déroulées en Afrique ou vont se dérouler dans des conditions qui demeurent extrêmement imprévisibles. La diplomatie devrait pouvoir trouver ses lettres de noblesse dans ces différentes situations qui exigent que des dialogues s’amorcent, que des actions préventives constituent la véritable arme des dirigeants et que la solidarité prévale face aux égoïsmes." avant d’ajouter qu’il ne pourra que se réjouir si "le dialogue et la négociation et la solidarité l’emportent sur la force, sur l’arrogance et sur l’égocentrisme".

"Oui je formule des vœux comme monsieur le doyen lui-même l’a fait, pour que la paix et la stabilité soient le credo de l’action politique diplomatique de nos Etats", a-t-il conclu.

Ce jeudi le président présentera ses vœux aux communicateurs au palais de la présidence de la République, précise t-on.

 


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